1 comprimé, 3 fois par jour.
Population pédiatrique
L’utilisation chez les enfants âgés de moins de 12 ans n’est pas recommandée (voir 4.4 Mises en garde
spéciales et précautions d’emploi).
Mode d'administration
Les comprimés doivent être avalés entiers, avec de l’eau ou une autre boisson. Les comprimés ne doivent pas
être mâchés.
Durée d’utilisation
Si les symptômes persistent au-delà de 2 semaines d’usage continu de Valdispert Stress, il faut consulter un
médecin ou un pharmacien.
La durée totale de traitement avec Valdispert Stress ne peut pas dépasser 6 mois.
4.3 Contre-indications
Hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
4.4 Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Population pédiatrique
Valdispert Stress n’est pas recommandé chez les enfants de moins de 12 ans, en raison d’un manque de
données adéquates.
Ce médicament contient du glucose (46,5 mg par comprimé). Les patients présentant une malabsorption du
glucose-galactose rare ne doivent pas prendre ce médicament.
Ce médicament contient du lactose (14,45 mg par comprimé). Les patients souffrant de troubles héréditaires
rares comme une intolérance au galactose, une carence en lactase de Lapp ou une malabsorption du glucose-
galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
Ce médicament contient du saccharose (166,17 mg par comprimé). Les patients souffrant de troubles
héréditaires rares comme une intolérance au fructose, une malabsorption du glucose-galactose ou une
insuffisance en saccharase-isomaltase ne doivent pas prendre ce médicament.
4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
Seule une quantité limitée de données sur les interactions pharmacologiques avec d’autres médicaments est
disponible. Aucune interaction cliniquement significative avec les médicaments métabolisés par les voies
CYP 2D6, CYP 3A4/5, CYP 1A2 ou CYP 2E1 n’a été observée.
L’association avec des sédatifs synthétiques n’est pas recommandée.
4.6 Fécondité, grossesse et allaitement
Grossesse
Il n’existe pas ou que peu de données relatives à l’utilisation de la valériane ou du houblon chez la femme
enceinte. Les études animales sont insuffisantes pour ce qui se rapporte à la toxicité reproductive (voir
section 5.3).
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