Métropole du Québec, Montréal se positionne comme une ville
internationale et cosmopolite, solidaire d'un Québec prospère et
dynamique. Elle se distingue par sa capacité d'accueil et son
ouverture sur le monde. Du Cirque du soleil aux entreprises du
multimédia, en passant par l'inventivité de son milieu associatif,
Montréal fait la preuve de sa capacité à innover et à s'imposer
comme leader mondial, aux plans de la culture et du savoir1.
Son ouverture se traduit à la fois par ses exportations et son accueil des
immigrants. On y retrouve 45 % des entreprises exportatrices du Québec et un
volume d'exportation correspondant à 45 % de la valeur totale des exportations québécoises. Plus d'un demi million de per-
sonnes, soit 28 % de la population de la région, sont issues de l'immigration. Elles apportent leur contribution au dynamisme
de la région et consolident son équilibre migratoire.
Le quart de la population québécoise habite Montréal et autant y travaille. Montréal contribue, pour la moitié au PIB de la
grande région métropolitaine, lequel représente 52 % du PIB du Québec.
Trois facteurs caractérisent son activité et son développement économique : la tertiairisation de son économie, où se con-
centrent 80 % de l'emploi; l'importance constante de son secteur de la fabrication, qui maintient 19 % de l'emploi -les
quelques 3 304 établissements manufacturiers sur le territoire montréalais représentent 45 % de l'activité manufacturière
québécoise- et une mutation des secteurs traditionnels -transformation alimentaire, textiles et vêtements- vers l'économie du
savoir et de la culture -les secteurs de la haute technologie représentent 24 % de l'emploi manufacturier.
Dans le secteur tertiaire, les soins de santé et les services sociaux représentent le premier employeur, avec 11,2 % de l'em-
ploi; suivent, à égalité avec chacun 9,5 % de l'emploi, les services professionnels et techniques et le commerce de détail;
l'industrie de l'information et l'industrie de la culture cumulent, quant à eux, 6 % de l'emploi. Toutefois, le taux de chômage
de la région se maintient à 10 % depuis quelques années.
Superficie
498 km2(0,04% du Québec)
Population (2005)
1 873 813 habitants (25% du Québec)
7erégion administrative sur 17
Solde migratoire (2004-2005)
5 059 habitants (34 238 au Québec)
Perspectives démographiques 2001-
2026
14,8% (9,3% au Québec)
Taux de population urbaine
100% (80,4% au Québec)
L’ÉCONOMIE SOCIALE
Revenu disponible par habitant (2005)
30 014 $ (29 499 $ au Québec)
Adultes ayant un diplôme collégial ou
universitaire
40,1% (31,7%
au Québec)
LA RÉGION EN CHIFFRES
Taux d’activité (2005)
65,7% (67,5% en 2004)
Taux d’emploi (2005)
58,7% (61,7% en 2004)
Taux de chômage
Montréal
10,3% (2004) 10,8% (2005)
Québec
8,4% (2004) 8,2% (2005)
MONTRÉAL
MONTRÉAL 1
Montréal
1 873 813
L’économie de Montréal
1. CRÉ de Montréal, Innover pour se développer,
Plan quinquennal de développement 2005-2010, septembre 2005.
Quelques 500 entreprises d'économie
sociale, dont 267 centres de la petite
enfance, contribuent au développement
économique de Montréal. Elles se dis-
tinguent par des pratiques qui contribuent
au mieux-être collectif et renforcent la
cohésion sociale. La mission sociale qui
les a vu naître colore leur façon de faire et
confère une valeur ajoutée aux biens et
services qu'elles produisent.
Ces entreprises « différentes » créent et
maintiennent 6000 emplois durables et de
qualité, participent à la vitalité des
quartiers ou contribuent à la protection de
l'environnement. Soucieuses d'aider les
personnes à s'intégrer au marché du tra-
vail et à se réapproprier une citoyenneté
pleine et entière, elles ont souvent recours
à des pratiques innovantes qui devien-
dront la norme.
Bien ancrées dans la réalité montréalaise,
leurs activités se déploient dans une
douzaine de secteurs économiques, sou-
vent dans une approche multisectorielle.
De l'agrotourisme à la zoothérapie, des
services de proximité aux produits du
commerce équitable, elles créent
annuellement une activité économique de
l'ordre de 300 millions de dollars.
Diversité des entreprises
Les entreprises d'économie sociale mon-
tréalaises répondent aux problématiques
liées à la pauvreté, à l'exclusion, aux iné-
galités sociales, à la revitalisation des
quartiers, à l'accessibilité du logement et à
la démocratisation culturelle. Au plan
environnemental, elles s'investissent prin-
cipalement dans le réemploi et la valorisa-
tion des matières. L'économie sociale
génère, outre les bénéfices économiques
immédiats, des bénéfices sociaux, envi-
ronnementaux et culturels.
En 2002, la Ville de Montréal lançait
l'opération Solidarité 5 000 logements,
visant la construction de logements so-
ciaux et communautaires pour les person-
nes et les familles à revenu faible ou
modé ré. Acteurs majeurs de l'habitation
communautaire, les quatre groupes de
ressources techniques (GRT) de Montréal
ont grandement contribué au succès de
cette opération, en réalisant 3 937 de ces
nouveaux logements, répartis dans 105
bâtiments. Depuis leur création, les GRT
ont œuvré à la réalisation de plus de
17 300 logements communautaires et
coopératifs sur l'île de Montréal.
Grâce à une meilleure connaissance
mutuelle, les partenariats entre les entre -
prises se multiplient. À Montréal, l'éco -
nomie sociale a connu de nombreuses
avancées, mais les enjeux pour faire recon-
naître l'économie sociale et promouvoir sa
contribution au développement économique
et social demeurent importants.
Rôle des politiques publiques
La mise en place de politiques pro -
vinciales sectorielles a favorisé le
déploiement d'entreprises d'aide domes-
tique et de centres de la petite enfance
(CPE). Des politiques spécifiques en
environnement ont également soutenu
l'éclosion de nouvelles entreprises et le
développement de nouveaux projets.
De 1998 à 2001, une entente spécifique
sur l'économie sociale, regroupant le
Conseil régional de développement de
l'île de Montréal (CRDÎM), le ministère
de la Métropole et Emploi-Québec a
rendu accessible un financement pluri-
annuel et dégagé des fonds pour des pro-
jets régionaux structurants.
Le soutien du CRDÎM, devenu la
Conférence régionale des élus (CRÉ) de
Montréal, a assuré le financement d'une
ressource et des activités du Comité d'éco-
nomie sociale de l'île de Montréal
(CÉSÎM), permettant ainsi le développe-
ment d'une vision régionale concertée.
En 2004, le gouvernement du Québec
transférait la responsabilité du développe-
ment local aux municipalités et décentra-
lisait le fonds de développement des
entreprises d'économie sociale vers les
centres locaux de développements (CDEC
et CLD). Une étroite collaboration entre
le CÉSÎM et la Ville de Montréal a permis
d'inscrire l'économie sociale dans les
politiques municipales : stratégie de
développement économique, plan d'action
du développement social, politique cul-
turelle, plan d'action pour un développe-
ment durable, politique en habitation
et, bientôt, politique d'égalité entre les
genres.
La Ville de Montréal fait également une
bonne place à l'économie sociale dans ses
communications internes et institution-
nelles. Ces initiatives contribuent à la pro-
motion de l'économie sociale auprès des
gestionnaires et du grand public. La reddi-
tion de compte sur les investissements en
économie sociale, demandée à chacun des
CLD et des CDEC montréalais, constitue
également une mesure d'appui.
Ces diverses initiatives, incluant une poli-
tique d'achat public visant à favoriser l'at-
tribution de contrats à des entreprises
d'économie sociale par l'ajout de clauses
sociales, environnementales ou éthiques
seront prochainement intégrées dans une
Politique de reconnaissance et de soutien
à l'économie sociale, annoncée par le
maire de Montréal.
Cette reconnaissance ouvre sur de nou-
veaux partenariats qui se tissent entre la
Ville de Montréal et les entreprises d'éco-
nomie sociale, notamment dans le secteur
de l'environnement.
MONTRÉAL 2
L’ÉCONOMIE SOCIALE À MONTRÉAL
C’est...
* 532 entreprises d’économie
*sociale
* 6 000 emplois
* Plus de 300 M $ de chiffre
*d’affaires
* 2 443 emplois créés ou con-
*solidés (avec l’aide des CLD 2002-
*2004)
* 115 entreprises mises sur
*pied (avec l’aide des CLD 2002-
*2004)
LES RÉUSSITES EN ÉCONOMIE SOCIALE
Les défis à relever
Les défis se sont transformés au fil des
années. Le financement et le virage entre-
preneurial des entreprises d'une part, la
concertation entre les acteurs et le
développement de l'expertise locale dans
l'accompagnement des entreprises, d'autre
part, ont été au cœur des préoccupations
des premières années. La reconnaissance
des spécificités de l'entrepreneuriat col-
lectif et le soutien de la mission sociale
des entreprises demeurent des enjeux
importants pour la pérennité des entrepri-
ses, particulièrement dans le contexte
montréalais où un grand nombre d'entre-
prises, multisectorielles, ne bénéficient
pas des politiques publiques provinciales
ou, parce qu'elles sont à portée régionale
ou nationale, ne reçoivent pas des struc-
tures locales tout le soutien requis.
L'obligation d'atteindre des standards de
rentabilité exerce une pression sur la réa-
lisation de la mission sociale de l'entre-
prise. Cette contrainte entraîne souvent
des changements dans le mode d'organisa-
tion et les pratiques de gestion, voire dans
la gouvernance des entreprises.
Les autres défis auxquels les entreprises
collectives sont aujourd'hui confrontées
sont liés au stade de développement
qu'elles ont atteint soit la promotion, la
commercialisation des produits, la planifi-
cation stratégique et le développement des
marchés.
Enfin, la participation citoyenne, la con-
certation des acteurs socioéconomiques et
la gouvernance autonome des organismes
de développement local ont été, et sont
toujours, des facteurs extrêmement favo-
rables au développement de l'économie
sociale. Ces conditions permettent d'inté-
grer des préoccupations sociales et envi-
ronnementales dans le développement de
nos villes. Il faut assurer la pérennité du
modèle de développement local concerté
et intégré, un outil essentiel pour le
développement de l'économie sociale en
milieu urbain.
Les pistes d’action
Le soutien à un réseautage d'affaires entre
les entreprises d'économie sociale ou l'a-
jout de ressources de mentorat adaptées
pourraient aider les entreprises en permet-
tant de partager les meilleures pratiques.
À elles seules, ces mesures ne sont toute-
fois pas suffisantes devant les probléma-
tiques de pérennité et de santé financière
des entreprises d'économie sociale.
Un renforcement des politiques publiques
de développement de l'économie sociale
et du développement local, permettant
d'assurer un financement pluriannuel, des
mesures de soutien spécifiques - tech-
niques, fiscales ou autres - et de nouvelles
politiques sectorielles, notamment pour
les secteurs de la culture et du tourisme,
sont aussi requis.
Par ailleurs, l'augmentation de l'intérêt du
public et la sensibilisation à une produc-
tion et à une consommation responsables
représentent des opportunités de consoli-
der les entreprises d'économie sociale et
de développer de nouveaux secteurs, par
exemple dans le domaine du réemploi ou
de la santé. La forte présence des entre-
prises en restauration solidaire pourrait
également servir de pivot au développe-
ment d'un secteur de la transformation ali-
mentaire qui serait en soutien au réseau de
la sécurité alimentaire.
Le manque de soutien aux entreprises qui
oeuvrent dans des secteurs non soutenus
ou qui ont développé une approche multi-
sectorielle, empêche l'émergence de
plusieurs initiatives d'économie sociale.
Laissées à elles-mêmes et avec peu de
financement, les entreprises ne peuvent se
lancer dans des projets intégrateurs et
structurants. Elles ont besoin de politiques
de soutien pour travailler ensemble et
investir ces nouveaux secteurs.
La promotion de l'économie sociale
auprès des jeunes et l'élaboration de
mécanismes pour assurer le transfert d'ex-
pertise dans l'entreprise et entre les dif-
férents secteurs d'activités de l'économie
sociale et solidaire pourraient être des
pistes de solution face à la relève.
Le travail avec les jeunes, comme vecteur
de communication avec les communautés
culturelles et des mesures de soutien spé-
cifiques, conçues et implantées avec les
leaders des communautés, pourraient con-
stituer des avenues de solution au
développement et au réseautage d'entre-
prises issues de ces communautés.
La pérennisation du modèle de déve -
loppement économique concerté et inté-
gré faisant une place à la participation
citoyenne et à la concertation des acteurs
socioéconomiques demeure une condition
essentielle à la poursuite du développe-
ment de l'économie sociale dans un con-
texte de développement local.
La relève
Au plan régional, la promotion de l'entre-
preneuriat collectif auprès des commu-
nautés culturelles, peu présentes dans le
réseau de l'économie sociale, et auprès
des jeunes qui assureront la relève,
demeure un défi important.
Tous les secteurs de l'économie sociale ne
sont pas également confrontés à un pro-
blème de relève. Par exemple, l'environ-
nement et le commerce équitable
mobilisent les jeunes, alors qu'il est plus
difficile de les recruter dans d'autres
secteurs. Les causes portées par les orga-
nisations et, bien sûr, les conditions de tra-
vail constituent des facteurs déterminants
pour l'intégration des jeunes.
MONTRÉAL 3
PERSPECTIVES
POUR L’ÉCONOMIE SOCIALE À MONTRÉAL
Créé il y a maintenant 7 ans, l'OBNL
Cyclo Nord-Sud nous offre l'exemple d'un
projet ambitieux et original, qui a su por-
ter fruit. En effet, le projet Cyclo Nord-
Sud produit des résultats concrets en amé-
liorant les conditions de vie de milliers de
personnes à travers la planète, tout en
mettant son grain de sel dans la réduction
des gaz à effet de serre.
Cyclo Nord-Sud effectue la cueillette de
vélos usagés dans près de 50 municipali-
tés au Québec et en Ontario. Leur livrai-
son se fait vers des communautés dému-
nies des pays du Sud, comme le Bénin, le
Burkina Faso, le Togo, le Ghana, la
Bolivie, Cuba, le Pérou, le Guatemala et
le Nicaragua. Ces vélos y trouveront alors
une nouvelle vie : ils pourront servir de
moyen de transport vers l'école, le point
d'eau ou la clinique, de véhicule de travail
et donc de moyen de subsistance, ou en -
core seront utilisés pour confectionner de
nouveaux instruments à pédales. Les acti-
vités de Cyclo Nord-Sud ont donc un
impact direct sur les conditions de vie des
populations qu'elles rejoignent, et particu-
lièrement sur celles des femmes.
Au Québec, Cyclo Nord-Sud mène des
activités de sensibilisation sur le rôle du
vélo dans la réduction des gaz à effet de
serre, et milite pour un changement de nos
habitudes de vie inspiré par le recyclage-
réemploi et l'inventivité.
À ce jour, plus de 18 000 vélos ont été
expédiés vers des communautés défavori-
sées d'Afrique de l'Ouest et d'Amérique
latine par Cyclo Nord-Sud, et ceci, grâce
au dévouement de plus de 500 bénévoles
chaque année et des milliers de donateurs
à travers le Québec. L'OBNL compte
environ 150 membres individuels coti-
sants, qui se rencontrent lors des assem-
blée générale annuelle. La gestion de l'or-
ganisme est collégiale. Un nombre
impressionnant d'acteurs de la commu-
nauté offrent leur soutien à Cyclo Nord-
Sud, et de diverses façons : la CDEC
Centre-Nord, l'AQOCI, le RQCE, plu-
sieurs boutiques de vélos, etc. L'OBNL
obtient du financement de la part de la
Fondation internationale Roncalli et de
quelques autres fondations canadiennes,
mais ne dispose malheureusement d'aucu-
ne source de financement récurrente.
Aujourd'hui Cyclo Nord-Sud voit grand !
L'OBNL souhaite institutionnaliser l'orga-
nisme et développer un réseau de cueillet-
te en Ontario, ainsi qu'étendre son réseau
de bénévoles et obtenir un accès aux vélos
amassés dans les fourrières. De plus, elle
vise à s'autofinancer entièrement, notam-
ment par la vente de produits comme son
calendrier 2007, déjà en vente. Fina -
lement, l'organisme compte faire de la
recherche et développer divers instru-
ments à pédales et des vélos-cargos. Ce
n'est pas seulement original : c'est utile, ça
soigne l'environnement et ça change des
vies. Cyclo Nord-Sud semble prouver
qu'un projet de cette envergure, c'est bien
réalisable! Il suffit pour cela d'être créatif,
dévoué, et de ne pas avoir froid aux yeux.
PORTRAIT D’UNE ENTREPRISE D’ÉCONOMIE SOCIALE DE MONTRÉAL
Cyclo Nord-Sud
MONTRÉAL 4
DOCUMENT PRODUIT À
L’AUTOMNE 2006 PAR :
Chantier de l’économie sociale
4200, rue Adam
Montréal (Québec) H1V 1S9
Téléphone : 514 899-9916
1 888 251-3255
www.chantier.qc.ca
Note: le genre masculin est utilisé sans discrimination dans le seul but d’alléger le texte.
En vue du Sommet de l’économie sociale et solidaire, une cueillette d’information a été faite auprès des acteurs de l’économie
sociale dans chacune des régions du Québec. Ce document présente une synthèse de certains de leurs propos.
RÉFÉRENCES :
La tournée des régions 2006, Les Affaires, 2006. (données de la «La région en chiffres»)
Institut de la statistique du Québec. (taux de chômage, données de la carte : population totale en 2005 pour chaque MRC)
Aides accordées par les CLD aux entreprises d’économie sociale : Retombées prévues sur les emplois et les entreprises, par
année, MDEIE - DGAER, Direction des programmes et des mesures, juillet 2006. (certaines données de « l’économie sociale à
Montréal »)
Faits saillants de la situation économique Île-de-Montréal, Développement économique Canada, 2006.
Photographies : (p. 1.) Image modifiée, Réal Boissy, © Le Québec en images, CCDMD, (p. 3.) Image modifiée, Inconnu, © Le
Québec en images, CCDMD.
MONTRÉAL
LE PÔLE RÉGIONAL D’ÉCONOMIE SOCIALE
Le rôle des pôles est de promouvoir l’économie sociale et de favoriser la concertation et le partenariat entre les intervenants locaux
et régionaux en économie sociale afin d’harmoniser les interventions et d’en maximiser les effets. Ces pôles sont constitués de
représentants d’entreprises d’économie sociale et des structures intermédiaires locales et régionales de soutien au développement.
C'est le Comité d'économie sociale de l’Île de Montréal (CÉSIM) qui a signé l'entente avec le Chantier de l'économie sociale pour
devenir le Pôle régional d'économie sociale de Montréal; ce dernier siège maintenant au conseil d'administration de cet organisme.
Membre du Réseau québécois de recherche partenariale en économie sociale et reconnu par la CRÉ de sa région, le pôle est majori-
tairement composé d'entreprises d'économie sociale. Le pôle est partenaire de l'organisation de la Foire nationale d'économie sociale
et solidaire et du commerce équitable, dans le cadre de la Saison de l'économie sociale et solidaire.
Personnes-ressources : Danielle Ripeau, CRÉ & Comité d'économie sociale de l'île de Montréal (CÉSIM)) et Pierre Morrissette, RESO
Imprimé sur papier fait à 100 % de fibres postconsommation, sans chlore
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