Au Sénégal
~
le terme Peste des Petits
X1
tout les agents du service de l’élevage qui
dé!
tion des PR caractérisée par des symptômes
resl
d’autres symptômes.
Bien que la souche originale du virus
P:
ce n’est que dans l’espisce caprine que la
‘Pesti
rose primaire. Les formes
aigues
et
surmarquée,
les ovins. Dans cette espèce il semble que le
’
des facteurs 6tiologiques des pneumopollues,
m
téries
(PasteweZZa
et
MgcopZasm)
jouent un
rN
g6nie
de ces affections.
L’enquête sérologique effectuge en
1357
vèle que plus de 50
X
des wins ont des antico
peut parler d’anticorps anti-Peste petits
Rumi
sbrums
sont pollu& dans une zone indemne de
P
possible de distinguer les anticorps dirig4s c
contre le virus PPR.
La prophylaxie contre la Peste des peti
l’aide du vaccin Peste Bovine de culture cellu
réalisés au Dahomey et au
S&Ggal
sur plusieur
montrer leurs efficacité tant dans les conditi
Bourdin et col1 (2) (5). Pour ce qui est des o
que cette méthode de prophylaxie soit
indiquée
exact joué par ce virus dans cette esp8ce. 11
recommandable en l’état actuel de nos connais
tre les Pasteurelloses plutôt que contre la Pe
2-
Clavelée
““--.m.aI----y--m.uw.
La maladie est signalée en
1968
dans la
1970
à
Kaolack,
Dahra et
Dakar*
Bourdin
(3),
e
mauritaniens en 1980 dans la région de Louga
isolées en 1970 et en
1980
3
partir de mouton
1
.
u
inants est largement connu de
s’gnent par ce terme toute
affec-
b
pi
iratoireg ,
-aasoci6s
ou non
2
:
&
ait
Et6
isolée chez un ovin,
des
PR se
rW!le
être une
vi-
sont rarement
observees
ches
irus PPR intervient comme l’un
is dans cette
esp&ce,
les bac-
le déterminant dans la patho-
par Bourdin et Bernard (4) ré-
ps
anti-Peste bovine. On ne
ants
que dans la mesure
oil
les
ste bovine puisqu’il n’est pas
ntre le virus PB de ceux dirigés
s
Ruminants est rdalisée
B
aire (Tissupest). Les essais
milliers de
chêvres
semblent
s naturelles
ns9
rien ne prouve jusqu:ici
puisqu’on ne connait pas le rôle
ous
parait donc
3
priori plus
ance
de vacciner les ovins
con-
ste des petits Ruminants.
1
rggion
de Tambacounda puis en
n 1977 chez des transhumants
;t
Dahra. Des souches ont été
i de Dahra.
La diffusion de la maladie est favoris r
les mouvements d’animaux
(Tabaski, transhumance), Elle se caractérise lésions ca-tn6e.s
sur
la
têm et le
amp-s,
parfois
X.3
xsoelle
chez
lu0
I~AHJ
et la muqueuse buccale
chez les jeunes. Le diagnostic
différerMe
rs être fait avec
1’Bcthyma.