2 LA FÊTE DES TROMPETTES
trois jours plus tard ils n’arrivaient même plus à en trouver la moindre
trace. Et alors, elle est à l’école, très heureuse. Je suis sûr que l’église se
souvient de la fois où on l’a amenée dans la pièce, ici.
7 Il y a aussi le petit bébé qui était né avec les intestins, comme, à
l’extérieur. Pour une raison ou pour une autre les médecins, et l’état de la
petite, la façon dont les intestins étaient formés, on ne pouvait pas les
remettre à leur place. Ils avaient peur de toucher à la petite, car c’était un
nouveau-né. Et maintenant, la petite a peut-être un an, je pense, quelque
chose comme ça, avec des intestins normaux, tout est parfaitement
normal. C’est seulement la grâce de Dieu, Il est tellement bon pour nous.
8 Maintenant, aujourd’hui, je voulais annoncer que la réunion que
nous avions prévue, à laquelle je prévoyais me rendre la semaine
prochaine, en–en Afrique, pour être avec Frère Joseph Boze, là-bas, au
Kenya et au Tanganyika. Nous ne pourrons pas faire la réunion, nous
avons reçu un télégramme de Frère Boze: “La semaine dernière, trois de
nos missionnaires ont été tués, assassinés.”
9 Il y a un soulèvement là-bas en ce moment. Les communistes
fournissent clandestinement des armes à feu aux indigènes, on dit qu’ils
ont des bateaux de pêche un peu partout, la Chine communiste et la
Russie; et ils fournissent des armes à feu aux indigènes, et eux, ils les
utilisent sur tout ce qu’ils trouvent comme cible, ils ne savent pas faire
autrement. Alors, là, le–le–le gouvernement a pensé qu’il ne serait pas
sage de faire la réunion en ce moment. Et d’après ce que j’ai compris
aussi, Frère Boze ne peut même pas faire ouvrir les portes de son école,
dans la région où j’allais, en ce moment. Mais ce n’est pas annulé, c’est
seulement remis à plus tard, jusqu’à ce qu’ils aient ramené le calme.
10 Très heureux ce matin, de voir parmi nous de nouveau, après bien
des années d’absence, Frère Jackson, Frère Sidney Jackson et Sœur
Jackson, de l’Afrique du Sud. Ont-ils parlé? [Frère Neville dit: “Oui.” –
N.D.É.] Et, ces gens ont été des vrais frères et sœur pour moi, et des
collaborateurs pendant la campagne en Afrique du Sud, mon dernier
voyage là-bas. Et nous espérons qu’un jour, par la grâce de Dieu, nous
pourrons retourner être avec eux, car il y a un besoin.
11 J’essaie depuis neuf ans d’y retourner. Mais, à cause des
organisations et tout, ils refusent de me laisser revenir. Alors,
dernièrement je leur ai écrit une lettre, et j’ai dit: “Dans ce cas, que le sang
de ces âmes perdues retombe sur vous et non sur moi.” En effet, je crois
que Dieu veut utiliser mon ministère là-bas, pour ces gens-là, depuis