Un physicien allemand affirme que le changement climatique
anthropique n’est que pure absurdité
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changement climatique causé par l’homme.
Klaus-Ekart Puls, physicien et météorologue, est l’un de ces professionnels peu convaincu.
Fin 2011, Puls a fait une conférence sur les niveaux marins lors du 4ème symposium sur le
climat à Munich.
Il s’est avancé à dire que l’affirmation du panel international des Nations-Unies sur le
changement climatique (le GIEC en français, Groupe d’Experts Intergouvernemental sur
l’Évolution du Climat, créé par l’ONU en 1988) comme quoi une régulation du CO2 pourrait
« réguler » le climat, est une « pure absurdité ».
Puls rappelle qu’il avait l’habitude de répéter comme un perroquet ce que le GIEC lui disait,
mais qu’en enquêtant sur les faits derrière leurs revendications, il avait découvert qu’il n’y
avait aucune donnée scientifique qui soutenait que le CO2 ou les humains étaient
responsables d’un changement climatique.
Puls disait : « J’ai commencé un jour à contrôler les faits et les données – j’ai démarré avec
un sentiment de doute mais j’ai ensuite été outré en découvrant qu’une majorité de ce que le
GIEC et les médias nous disaient était une pure absurdité et ne s’appuyait même pas sur
des faits scientifiques et des mesures. »
Selon Puls, le changement climatique est normal car la planète passe par des phases de
réchauffement, « il y en avait même beaucoup qui dépassaient de loin l’étendue que nous
observons aujourd’hui. Mais il n’y a pas eu de réchauffement depuis 1998. En fait les
données fournies par le GIEC montrent même un léger refroidissement. »
Le GIEC prétend que leurs modèles de projection indiquent qu’il y aura une tendance à un
réchauffement de 0,2°C tous les dix ans avec une culmination de 2 à 4°C en 2100.
Puls dit que cette assertion est basée sur « des modèles de projection spéculatifs, soi-disant
des scénarios – et non des pronostics. En raison de la forte complexité du climat, des
pronostics fiables ne sont juste pas possibles. »
Alors que le débat sur le CO2 manque de réelles données mondiales dans les modèles de
projection, le GIEC suppose que le réchauffement climatique n’est basé que sur des
« mécanismes d’amplification spéculatifs » qui ne prennent pas en compte des données
empiriques réelles.
Les niveaux de CO2 ont augmenté et pourtant la terre est dans une phase de