Encyclopédie : Le Garçon aux Bâtons d’Encens
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
ENCYCLOPÉDIE DE TITILATULIPE : Edition 2012 © Tous droits réservés
Chapitre : XXXX – HADÈS
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe
Dans l'ancien temps, Dionysos était assimilé à Bacchus chez les Romains (lire sous
Dionysos, lire sous Eurydice où il est complice de Phébus – lire sous Léto). Le dieu
Dionysos régissait le principe du Monde de la Folie. Tout autant que Dionysos
gouvernait sur le principe du monde « des Esprits fous », lui – même ayant connu ce
stade de Folie psychique ; et l’ayant de surcroit vaincu, bien que frappé de la colère
d’Héra (lire sous Héra). Dionysos obtint le respect de tous dans l’Olympe, ce, en
ramenant sa propre mère Sémélé emprisonnée dans le monde des Enfers. Ainsi,
Dionysos brava les lois d’Hadès. Et Asclépios après lui également en ressuscitant les
morts (lire sous Apollon). Dionysos dont le précieux vin ouvrait aux hommes de la Terre,
les portes des voies les plus insoupçonnées. Était un dieu redouté des rois grecs. De ce
fait, dans les esprits de l'époque antique, ainsi il exista une certaine proximité
mythologique entre le Monde de la Folie et le Monde de la Mort. Tout d'abord, ladite
proximité mythologique indiquée se traduisait jadis par « le Mythe de Sémélé », une
amante de Zeus (lire sous le mythe de Sémélé). Le mythe de Sémélé est un mythe grec
ancien au courant duquel récit, Dionysos, le dieu de la Vigne : retourna de sa propre
personne dans le Monde obscur de la Mort pour y braver les lois principielles du dieu
Hadès, le dieu du Monde de la Mort et des Défunts, dans le cadre de la mythologie
grecque. Dionysos viola les lois des Enfers grecs pour y reprendre sa mère Sémélé,
défunte par Zeus (lire sou Héra). C'est ainsi que le dieu Dionysos personnification de la
Folie combattit le dieu suprême Hadès, la Mort. Et Dionysos marqua lors de sa venue
dans le monde des morts, certaines des lois des Enfers grecs. Et vraisemblablement, c'est
ainsi que le dieu Dionysos l'emporta provisoirement du moins sur le dieu des Enfers
(Hadès). La mortelle Sémélé fut ainsi rappelée à la résurrection de la vie par son fils
Dionysos, qui en devint l’un des symboles sacrés. Et c'est ainsi que Sémélé fut
exceptionnellement autorisée à rejoindre son fils Dionysos dans la céleste Olympe. Zeus
concéda ce prodige divin. Il le fit également pour Perséphone fille de Déméter (lire sous
Perséphone, Déméter). Olympe : Haut lieu céleste et célèbre, par excellence, parmi les
différents lieux mythologiques que les dieux grecs de jadis avaient prétendument créés
dans le cadre des récits de la croyance mythologique hellénistique. Lesdites Enfers
souterraines (Hadès), quant à elles, gardèrent semble-t-il un très mauvais souvenir de ce
passage du dieu des fous (lire sous Dionysos). Si bien que l'histoire racontait également
parfois, ce, dans les anciens récits mythologiques les plus divers, qu'une certaine folie y
régnait toujours. Dans les Enfers qui furent condamnées à accueillir les criminels et les
coupables et les mauvais esprits, les déments les y rejoignent. C'est ainsi que la Folie
régna également alors dans le monde des Enfers du dieu Hadès. Lieu où rien n'est plus
jamais normal pour les hommes après la mort. C'est pourquoi, notamment, des suites de
la venue du dieu Dionysos en ces lieux infernaux (ou devenus infernaux, lire sous
Dionysos) : que la mort engendra de plus en plus de la crainte dans l’Esprit des Hommes.
Ceci reste certainement ce qui donna peut - être lieu par la suite dans le subconscient
collectif des auteurs antiques, et à l'origine dans l'esprit des Hommes : à toutes ces
peurs et à toutes ces craintes, le plus souvent justifiées par des récits animés et
provenant des témoignages des paysans un peu simple d'esprit, ou tirés des rêves
envoyés par les dieux aux dirigeants et gouvernants politiques des anciennes Cités
hellénistiques.