entreprises d`économie sociale : travaillons ensemble À NOTRE

publicité
initiative de
édition automne 2013
entreprises
d’économie sociale :
travaillons ensemble
à notre richesse collective
Numéro de convention de la poste-publications 40037621
Ta b le d e s m at i èr e s
2
Mot du
directeur général
L’économie sociale,
beaucoup plus que du
développement économique
3
À la CDEVR (CLD)
Le FDEÉS, c’est quoi?
4
Signatures
Théâtre Parminou
Société protectrice des
animaux d’Arthabaska
Télévision communautaire
des Bois-Francs (TVCBF)
Parc Marie-Victorin
Station du Mont Gleason
La Manne
10
Jeunes
entrepreneurs
Club de boxe KO-96 et
Local Skateparc de
Victoriaville
11
Dernière heure
Coop de solidarité de
Notre-Dame-de-Ham
Légende des programmes d’aide
reçus par les entreprises :
FDEÉS Fonds de développement des
entreprises d’économie sociale
FJP Fonds Jeunes Promoteurs
FCJE Fondation Canadienne
des Jeunes Entrepreneurs
FLI Fonds local d’investissement
STA Soutien au travail autonome
AT Aide technique
M Mentorat
Le bulletin L’Excellence, dont le
tirage s’effectue trimestriellement,
est entièrement rédigé et conçu par
la Corporation de développement
économique de Victoriaville et
sa région (CLD). Il est distribué
dans toutes les entreprises manufacturières, de distribution et de
services aux entreprises sur le
territoire ainsi qu’aux partenaires
économiques. Les renseignements
contenus dans les pages du bulletin
visent non seulement à informer les
lecteurs sur les derniers événements
économiques, mais aussi à faciliter
le réseautage entre entreprises.
747, boulevard Pierre-Roux Est
Victoriaville (Québec) G6T 1S7
Téléphone : 819 758-3172
Site Internet : www.cdevr.ca
Courriel : [email protected]
Mot du directeur général
L’économie sociale,
beaucoup plus que du
développement économique
La réussite économique d’une région dépend
de plusieurs facteurs. Sur notre territoire, nos
gens d’affaires ont su démontrer une ouverture
aux changements en développant une remarquable capacité d’adaptation face aux défis.
Passant d’un milieu économique dédié en
grande partie aux secteurs du textile et du bois
ouvré dans les années 80, nos entrepreneurs
ont diversifié leur offre, multipliant les PME
et s’assurant ainsi d’une plus grande stabilité
économique. Cependant, cette stabilité
provient également de nos entreprises en
économie sociale qui contribuent, pour une large
part, à notre équilibre économique. Ce qui
distingue l’économie sociale des autres formes
d’économies, sont les principes d’autonomie
de gestion, de gouvernance démocratique,
d’activité économique (production de biens ou
de services) et de distribution limitée ou interdite des excédents.
La Manne qui, avec plus de 5 000 membres,
demeure le leader de la région en alimentation
saine, et laissez-vous charmer également par
les 28 ans d’existence du Parc Marie-Victorin.
Une entreprise en économie sociale comprend
une entité double : en plus d’être une association
de personne, réunie dans un cadre démocratique pour réaliser un objectif commun, c’est
également une entreprise qui développe des
activités économiques en produisant et vendant
des biens et des services dans le but de permettre à l’organisation de réaliser sa mission.
Dans tous les cas, l’entreprise d’économie
sociale est gérée selon une philosophie entrepreneuriale. Sa viabilité économique repose
principalement sur les revenus autonomes qu’elle
tire de ses activités marchandes (Pôle d’économie sociale Centre-du-Québec).
Albert Einstein
Cette édition spéciale de L’Excellence regorge
d’articles concernant l’économie sociale. Elle
vous permettra d’en apprendre davantage sur la
mission des entreprises qui y sont rattachées.
À preuve, je tiens à souligner les 40 ans du
Théâtre Parminou, pionnier et chef de file du
théâtre d’intervention au Québec, de même
que les 35 ans d’histoire de la coopérative
De plus, saviez-vous que la CDEVR (CLD), en
collaboration avec le Comité régional d’économie
sociale du Centre-du-Québec (CRÉS-CQ),
peut apporter aux entreprises d’économie
sociale un service tant financier que technique?
En effet, grâce au Fonds de développement
des entreprises d’économie sociale (FDEÉS),
c’est près de soixante entreprises d’ici qui
contribuent, par leurs activités, à l’augmentation
nette de notre richesse et qui permettent également le développement démocratique, par la
promotion des valeurs et d’initiatives de prise
en charge individuelle et collective.
« Ce qui compte ne peut pas toujours être
compté, et ce qui peut être compté ne
compte pas forcément. »
En terminant, permettez-moi, au nom de
l’équipe de la CDEVR (CLD) et en mon nom
personnel, de vous souhaiter un très heureux
temps des fêtes et que la nouvelle année vous
apporte à tous santé, bonheur et prospérité!
Brillons tous ensemble
par nos valeurs de partage!
René Thivierge,
directeur général
3
À la CDEVR (CLD)
Le FDEÉS, c’est quoi?
La CDEVR (CLD) gère de nombreux fonds, dont un dédié uniquement aux entreprises d’économie sociale : le Fonds de développement des entreprises d’économie sociale (FDEÉS). L’objectif de
celui-ci est de stimuler la création, l’expansion ou la consolidation
d’organismes à but non lucratif (OSBL) ou de coopératives dont
la mission consiste à répondre aux besoins sociaux de la communauté, tout en assurant leur viabilité financière par la vente d’un
produit ou d’un service.
C’est la conseillère aux entreprises, Johanne
Therrien, qui s’occupe du FDEÉS. « Pour être
admissible au soutien financier et au soutien
technique de ce fonds, certaines conditions
sont exigées. La future entreprise d’économie
sociale doit être issue du secteur manufacturier,
commercial ou de services, elle est à but non
lucratif ou sous forme de coopérative et doit se trouver sur le
territoire de Victoriaville et sa région. De plus, elle doit créer, au
minimum, un emploi à temps plein. Elle doit également répondre
aux critères de l’économie sociale soit : l’enracinement dans le milieu, la finalité à la collectivité, la génération de revenus autonomes
et le fonctionnement démocratique. Une mise de fonds de 20 %
des coûts du projet est également exigée », explique la conseillère.
Qui parle d’économie sociale parle nécessairement du Comité
régional d’économie sociale du Centre-du-Québec (CRÉS-CQ).
Le CRÉS-CQ, reconnu Pôle Centre-du-Québec par une entente
partenariale avec le Chantier de l’économie sociale, se veut un lieu de
concertation et d’harmonisation, de planification du développement
régional ainsi que d’interface et d’arrimage entre le gouvernement
et les milieux locaux, dans le domaine spécifique de l’économie
sociale. « Le 7 novembre dernier se tenait une activité de réseautage
dans le cadre de la 4e édition de la Semaine de l’économie
sociale du Centre-du-Québec. Cette activité, organisée en partenariat avec le CRÉS-CQ et la CDEVR (CLD), a permis à plus
ou moins 40 personnes, issues du milieu, de partager leurs réalités respectives. Sur notre territoire, c’est près d’une soixantaine
Votre
mobilier
de bureau
en 5 étapes faciles
Selon les dernières données du Chantier de l’économie sociale,
l’économie sociale québécoise est composée d’environ 7 000
entreprises, coopératives et OSBL, œuvrant dans 20 secteurs
économiques (arts et culture, agroalimentaire, commerces de
détail, environnement, immobilier collectif, loisirs et tourisme, technologies de l’information et des communications, manufacturier,
services aux personnes, etc.). Elle emploie plus de 150 000
personnes et génère un chiffre d’affaires de plus de 17 milliards
de dollars annuellement, ce qui représente autour de 8 % du PIB
québécois.
Les forces de l’économie sociale tiennent à sa capacité de
détecter les nouveaux besoins et de les satisfaire, de transformer
ces besoins en emplois, de mobiliser les forces et les réseaux les
plus divers et les plus nombreux. Elle contribue également à assurer
une meilleure utilisation des ressources financières provenant
de la redistribution étatique. En s’appuyant sur l’implication des
membres de la communauté, elle contribue à la démocratisation
de la société et à une citoyenneté plus active.1
« Les entreprises d’économie sociale sont des entreprises collectives durables, rentables sur le plan social et viables sur le plan
économique », conclut Mme Therrien.
1
http://economiesocialequebec.ca/?module=document&uid=108&division=24
Le dîner réseautage de l’économie sociale
1
Vous téléphonez chez Buropro
2
Un de nos spécialistes vous rend visite, prend des mesures et note vos besoins
3
Nous réalisons les dessins et calculons les coûts puis nous vous les soumettons
4
Vous commandez
5
Nous livrons et installons votre mobilier
505, boul. Jutras Est VICTORIAVILLE 819 752-7777
BELOEIL | DRUMMONDVILLE | VICTORIAVILLE
buropro.qc.ca
d’entreprises d’économie sociale qui ont à cœur le bien commun »,
de rajouter Mme Therrien.
4
Signatures
théâtre parminou : 40 ans et toujours la même ferveur
L’équipe permanente
du Parminou
Pionnier et chef de file du théâtre
d’intervention au Québec, le
Théâtre Parminou fête, cette
année, ses 40 ans d’existence.
Créé en 1973 par des finissants du
Conservatoire d’art dramatique de Québec
et de Montréal, le Théâtre Parminou s’installe à Victoriaville en 1976, ayant pour
mission artistique de développer un théâtre
populaire engagé dans les problématiques
sociales. « Nous sommes essentiellement
un théâtre de tournée; nos troupes se rendant partout au Québec et dans les autres
provinces canadiennes. Notre expertise est
reconnue en Europe, en Afrique et en
Amérique centrale. Par notre volonté d’être
accessible, nous rejoignons les gens là où
ils sont : les écoles, les salles communautaires, les centres culturels, les organisations, les milieux de travail, etc. », explique
M. Carl Lafontaine, directeur de développement au Théâtre Parminou.
Les créations du Parminou se regroupent
sous trois volets : les spectacles de tournée,
les ateliers communautaires (des spectacles conçus par la troupe et interprétés par
les participants) ainsi que les créations sur
mesure (créées spécialement pour un événement). Leurs interventions théâtrales
abordent différentes thématiques, que ce
soit la toxicomanie, l’intimidation, la violence
faite aux aînés, la santé et la sécurité au
travail, etc.
Depuis 1988, le
Théâtre a pignon sur
rue dans un centre
abritant l’équipe d’administration, les salles
de répétition et les
ateliers de décors et
de costumes. Pour
coordonner les différents projets, une
quinzaine d’employés
permanents y travaillent et une quarantaine de pigistes professionnels se joignent
à l’équipe de base chaque année. Fait
notable, l’entreprise collective réussit à
s’autofinancer à 80 % grâce à la vente de
ses spectacles. « Annuellement, c’est
environ 400 représentations qui sont
données par la troupe, ce qui représente
au-delà de 500 créations originales et
plus de 2 millions de spectateurs de
tous âges depuis nos débuts! », mentionne
fièrement le directeur.
Pour fêter son 40e anniversaire, le Théâtre
Parminou s’offrira, en 2014, une cure de
jeunesse en procédant à des travaux de
mise à niveau de son centre de création.
Un agrandissement ainsi que l’aménagement d’un parc, entre le bâtiment du boulevard des Bois-Francs Nord et la piste
cyclable, sont à venir. « De plus, nous
venons de refaire notre image corporative
et, bientôt, notre site Internet sera complètement renouvellé », conclut M. Lafontaine.
FDEÉS
150, boulevard des Bois-Francs Nord
Victoriaville (Québec) G6P 6S8
Téléphone : 819 758-0577
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.parminou.com
Le centre de création du Parminou abrite, entre autres, un atelier de couture et un costumier;
un énorme « garde-robe » où s’entassent costumes, perruques et accessoires
portés par les comédiens au fil des 40 dernières années.
Les comédiens
Hélène Desperrier
et Réjean Bédard,
alias Lulu et Balloune,
interprétant une
adaptation de
la pièce « Quête
de sens » lors du
dîner réseautage de
l’économie sociale du
7 novembre dernier.
5
Société protectrice des
animaux d’arthabaska,
pour l’amour et le respect
La Société protectrice des animaux
d’Arthabaska (SPAA) a vu le jour le
22 janvier 2007. Depuis ce temps,
chats, chiens et autres animaux à
poils et à plumes ont un endroit
adapté à leurs besoins.
L’organisme, qui offre ses services à la
population de Victoriaville, mais aussi à plus
d’une vingtaine d’autres municipalités, a pour
mandat d’accueillir les animaux errants,
abandonnés, blessés ou dont les propriétaires ne sont plus en mesure de les garder.
Le personnel de la SPAA fait tout en son
pouvoir afin d’aider ces animaux à trouver
une nouvelle famille d’adoption. « Chaque
année, c’est environ 2 500 chats et chiens
qui passent nos portes. Il est important de
savoir que chaque animal est disponible
pour l’adoption après avoir été examiné par
un vétérinaire, vacciné, vermifugé et stérilisé,
soutient la directrice générale, Marie-Josée
Roy. « La stérilisation est la solution à la
surpopulation; elle est pratiquée lorsque
l’animal est adopté », rajoute Mme Roy.
L’équipe de la SPAA considère que l’adoption d’un de ses pensionnaires représente
une étape importante dans sa vie. « Afin de
rendre cette étape agréable pour la bête et
son nouveau maître, nous demandons au
futur propriétaire de prévoir du temps pour
faire connaissance avec l’animal. Évidemment,
nous sommes disponibles pour répondre à
toutes les questions. Dans l’incertitude, les
gens doivent revenir un autre jour pour bien
réfléchir à leur décision. Cette façon de
faire nous permet d’évaluer si l’animal et
son futur propriétaire sont compatibles et
d’augmenter les chances de réaliser un bon
match d’adoption », mentionne Mme Roy.
En plus de l’adoption, la SPAA offre plusieurs
services; notamment celui de patrouille, de
transport d’urgence, de location de cagetrappe et des ateliers-conférences. La protection des animaux étant une priorité pour
l’organisme, celui-ci interviendra dans les
cas d’usine à chiots, de cruauté et de saisie.
Il collabore également avec différents intervenants tels que la Sureté du Québec, le
MAPAQ, le service des incendies, etc.
Le parc canin, implanté depuis 2011 par
la SPAA, en collaboration avec la Ville de
Victoriaville, est le lieu idéal pour socialiser
son chien dans un environnement adapté
pour lui. Clôturé et muni d’un abreuvoir, cet
emplacement délimite un plus large espace
aux chiens de grande taille, réservant le
quart du terrain aux petites races. Afin de
rendre cette sortie des plus agréables, l’endroit a été aménagé de bancs, d’arbres et
d’une fontaine pour leur maître; bref, de quoi
plaire à tout le monde!
FDEÉS
691, rue de L’Acadie
Victoriaville (Québec) G6T 1T9
Téléphone : 819 758-4444
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.spaavic.com
6
Signatures
télévision communautaire
des bois-francs (TVCBF) :
l’image des gens d’ici
Selon les derniers sondages, la TVCBF
est l’une des télévisions communautaires les plus regardées au Québec,
diffusée dans 22 000 foyers et vue
approximativement par 61 000 personnes, autant à la télévision que sur
le site Internet. C’est aussi une des
plus importantes au Québec, tant en
termes de production de contenu
original, de la superficie au niveau
des locaux que d’employés. « Nous
transmettons une information locale
Madame Ève Champagne, au centre, entourée de son équipe
qui n’est pas traitée par les médias
La TVCBF a pour mission de faire rayonner traditionnels. Notre objectif est de donner une voix à monsieur et
et de participer au développement de la
la communauté de Victoriaville et sa région à madame Tout-le-monde
me
région
»,
termine
M
Champagne.
travers la réalisation et la diffusion de projets
FDEÉS
télévisuels basés sur ses préoccupations,
en privilégiant l’implication citoyenne dans le
processus.
134, rue Notre-Dame Est
Victoriaville (Québec) G6P 3Z6
Téléphone : 819 758-3688
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.tvcbf.qc.ca
En activité depuis 1974, cet organisme est devenu un média incontournable, mettant à la disposition des gens de la région un
moyen d’expression et de communication. Porteuse de valeurs
sociales et professionnelles, elle représente les réalités locales et
éveille les sentiments d’appartenance et de fierté de la population.
En plus de produire des émissions et de faire circuler l’information
régionale, la TVCBF offre une gamme de produits et de services
tels que la production audiovisuelle de messages commanditaires,
un service de location d’équipements et de locaux, de même que
le transfert de vidéos. « La TVCBF pourra même procéder à la
captation de votre événement, tout en la diffusant simultanément
sur grand écran et sur Internet, ainsi que de produire des vidéos
corporatifs », renchérit l’administratrice.
exposeimage.com
La quarantaine de bénévoles qui gravitent autour de la TVCBF
exécutent une moyenne de 52 heures de travail par semaine, que
ce soit devant ou derrière la caméra. À cela s’ajoute le travail des
membres du conseil d’administration et de la dizaine d’employés.
« Nous maintenons un rythme de production de neuf heures de
nouvelles émissions hebdomadairement, dont le magazine d’actualités locales L’Urbain, diffusé deux fois par semaine », fait
savoir la directrice générale Ève Champagne.
parc marie-victorin,
un univers horticole unique et surdimensionné
Le Parc Marie-Victorin a été inauguré en 1985
afin de commémorer le centenaire du réputé
botaniste, originaire de Kingsey Falls, Conrad
Kirouac, mieux connu sous le nom de Frère
Marie-Victorin.
Passant rapidement d’une superficie de 3 à 29 acres, le Parc
emploie, année après année, une trentaine d’employés dont trois
font partie de l’équipe permanente. Étant un organisme à but non
lucratif, le Parc doit l’ensemble de son budget annuel à ses différents bailleurs de fonds, ses généreux donateurs, aux profits
engendrés par ses divers événements et services, ainsi qu’à sa
principale activité annuelle de financement.
Depuis ses débuts, le Parc
Marie-Victorin demeure un leader
provincial dans l’utilisation et la
transmission des connaissances
et techniques en horticulture
écologique et en aménagement
de mosaïcultures tridimensionnelles. Le Parc est d’ailleurs le seul jardin à vocation touristique à
exposer autant de ces étonnantes créatures végétales, et ce, de
façon continuelle! En 2010, il est devenu également le premier
jardin touristique à obtenir la plus haute distinction du programme
ICI ON RECYCLE!, par ses efforts continus à sensibiliser ses
visiteurs et ses employés à la valorisation des matières potentiellement réutilisables.
Le Parc Marie-Victorin est d’autant plus
fier d’afficher qu’il figure à titre de lauréat
national or dans le cadre des Grands
Prix du tourisme québécois 2013. « En
tant qu’attraction touristique centricoise
d’importance, nous avons su nous démarquer nationalement en ce qui a trait
au renouvellement des infrastructures
du site et l’introduction de nouveaux
attraits comme le Parcours du Géant et le
laboratoire sur la botanique. Toujours dans une vision du slogan
« Tellement Grand », nous poursuivons notre vision de développement constant du site pour émerveiller, d’année en année, les
visiteurs », mentionne Karine Thibault, directrice générale du Parc
Marie-Victorin. FDEÉS
de Kingsey Falls
parcmarievictorin.com
385, boulevard Marie-Victorin
Kingsey Falls (Québec) J0A 1B0
Téléphone : 819 363-2528
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.parcmarievictorin.com
8
Signatures
station du mont gleason,
le secret le mieux gardé au Québec
toutes les approbations gouvernementales
pour puiser l’eau de la rivière des Pins,
située à Warwick. « Ce projet de 750 000 $
répond aux besoins actuels et futurs de
la Station et permettra d’augmenter, de
manière significative, l’approvisionnement
d’eau pour la fabrication de neige. Jusqu’à
1 500 gallons d’eau par minute pourront y
être captés », précise Mme Pépin.
Voilà maintenant plus de 45 ans
que petits et grands peuvent
s’adonner à leur sport de glisse
préféré dans le centre qualifié
comme le secret le mieux gardé
au Québec : la Station du Mont
Gleason.
cours des années 90. « Ce nouvel outil
représente un atout important, car il permet
d’assurer une quantité minimum de neige
afin de contrecarrer les mauvaises intentions de dame nature ainsi qu’une surface
de glisse de qualité supérieure », explique
la gestionnaire.
L’aventure débute en 1967. Un groupe de
11 personnes fait l’acquisition de la ferme,
où se trouve actuellement le Mont Gleason,
pour en faire un centre de ski. « Ce n’est
cependant qu’en 1968 que la Station
accueille ses premiers skieurs. À l’époque,
les clients remontaient la pente à l’aide
d’un simple T-Bar », fait savoir la directrice
générale, Mme Nadia Pépin.
Une nouvelle ère débute pour le centre
de ski. Conscient de l’importance de la
Station pour le développement de la région,
M. Laurent Lemaire prend en charge la
dette de l’organisme, en plus de faire un don
annuel de 100 000 $. Cet appui de taille
donne l’élan nécessaire à la Station pour
son épanouissement.
En 1979, M. Pierre Patry se porte acquéreur
de la Station. Étant à la merci des conditions climatiques, qui s’avèrent souvent
capricieuses, et dépourvue d’équipements
d’enneigement, la Station ferme malheureusement ses portes.
C’est en 1985 que la relance de la Station est
mise en branle , et ce, grâce à M. Pierre Ling
et à de nombreux bénévoles. Celle-ci devient
alors une corporation à but non lucratif. Par
la suite, de multiples améliorations sont apportées au centre de ski dont, entre autres,
un système d’enneigement artificiel au
Gageons qu’avec toutes ces améliorations,
il y a fort à parier que le secret le mieux
gardé au Québec ne le restera pas bien
longtemps!
FDEÉS
280, chemin Mont Gleason
Tingwick (Québec) J0A 1L0
Téléphone : 819 359-2300
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.montgleason.ca
L’ajout d’une remontée mécanique aérienne,
l’acquisition de nouveaux équipements
d’enneigement et de machineries servant
à conditionner la neige, l’agrandissement
du chalet et le développement de nouvelles
surfaces de glisse sur la montagne ne sont
que quelques-uns des éléments qui ont
permis à la Station du Mont Gleason de
passer de petite station à station intermédiaire.
La saison 2013-2014 ne fait que débuter,
mais elle s’annonce déjà plus enneigée que
jamais! En effet, après deux années d’études, le centre de ski a finalement obtenu
Aperçu des travaux permettant de puiser
l’eau directement de la rivière des Pins
La Manne répond aux besoins d’approvisionnement de ses membres en produits alimentaires
depuis maintenant 35 ans. Au fil des ans, elle
a offert à la population de Victoriaville et sa
région, non seulement une épicerie santé, mais
aussi un centre de ressources incontournable
pour tous ceux qui recherchent une meilleure
qualité de vie.
Avec plus de 5 000 membres, la coopérative demeure le chef de
file de la région en alimentation saine. La recherche de nouveautés,
le contrôle de qualité et l’information de pointe, qui sont ses
priorités quotidiennes, lui ont permis d’établir sa réputation
d’excellence.
« À la coopérative La Manne, vous trouverez diverses marchandises
d’usage courant, caractérisées par un mode de production et/ou
une durabilité, favorisant le respect des gens et des lieux. Notre
certification biologique vous garantit l’authenticité de cette appellation. Tous nos produits sont sélectionnés en fonction de leur
Pour les gens qui aiment casser la croûte, tout en délaissant la
traditionnelle option du fast-food, Le Resto santé La Manne est
l’endroit idéal; une ambiance accueillante qui invite au partage,
tout en nous faisant découvrir de nouveaux aliments.
« Être membre de la coopérative La Manne comporte plusieurs
avantages, entre autres, vous pourrez assister à des conférences
gratuitement, obtenir des rabais sur des cours et des ateliers ainsi
que sur de nombreuses marchandises sélectionnées. Consultez
notre site Web, une foule d’information vous y attend », conclut
M. Lambert.
FDEÉS
194, rue Notre-Dame Est
Victoriaville (Québec) G6P 4A1
Téléphone : 819 758-1211
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.cooplamanne.com
PANNES INFORMATIQUES ET PERTE
DE DONNÉES
Saviez-vous que 67% des coûts d'exploitation TI sont dépensés à effectuer
des entretiens d'urgence?
Nos spécialistes peuvent vous aider à diminuer ces coûts :
• Planification de sauvegarde
• Télésurveillance préventive de systèmes
• Virtualisation de serveur
• Planification de sauvegarde
• Télésurveillance préventive de systèmes
819.751.6660
WWW.VERTISOFTPME.COM
la manne :
la référence régionale
pour un choix de
produits sains et
biologiques
qualité, exempts d’additifs nocifs, de colorants ou de saveurs artificielles, d’édulcorants synthétiques et de gras trans. Outre les
aliments frais, allant des fruits et légumes à la viande d’élevage
biologique, sans hormone, en plus des plats préparés à emporter,
nous offrons également à notre clientèle un vaste choix d’aliments
sains et naturels provenant du Centre-du-Québec tels que des
produits cosmétiques, de soins corporels, d’entretien ménager,
des revues et livres spécialisés, etc., ainsi qu’une immense sélection de suppléments nutritionnels (vitamines et minéraux, formules
homéopathiques, huiles essentielles, etc.) », explique M. Luc
Lambert, directeur général de l’organisme.
10
Jeunes entrepreneurs
Club de boxe ko-96 et Local
skateparc de Victoriaville :
le duo idéal pour faire bouger les jeunes
Pratique de la boxe olympique, du BMX et
du skateboard, trois activités auxquelles
peuvent maintenant s’adonner les sportifs
de Victoriaville et sa région, et ce, dans le
bâtiment jadis occupé par le concessionnaire Thibodeau Chevrolet, ayant pignon
sur la rue Notre-Dame Est à Victoriaville,
tout près du CÉGEP, de la Polyvalente Le
boisé et du centre-ville.
En effet, les athlètes, jeunes et moins jeunes, sont conviés à
découvrir les nouveaux locaux de Local Skateparc et du Club de
boxe KO-96. Le premier a ouvert ses portes à la mi-septembre
et le second, accueillera sa clientèle dès le début de janvier 2014.
« Le Club de boxe existe depuis 1996 et
compte plus de 160 membres. Notre relocalisation permettra à ceux-ci de bénéficier
d’un espace de 6 500 pi2 (comparativement
à 3 500 pi2 auparavant) parfaitement aménagé pour la pratique de ce sport olympique.
De plus, les différents galas de boxe de l’organisation pourront également avoir lieu sur
place, ce qui était impossible auparavant
étant donné la petitesse des lieux », fait savoir M. Jean-François
Pellerin, vice-président du Club.
Les deux dirigeants se réjouissent de l’ouverture de ce complexe
sportif, d’autant plus qu’il pourrait aider à contrer le décrochage
scolaire en offrant une activité aux élèves en difficulté. Les deux
organismes pourraient également recevoir des étudiants dès la
rentrée scolaire 2014-2015, considérant leur demande faite
auprès du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport pour l’obtention d’un programme sport-études en boxe et en skateboard.
« La concrétisation de ces projets serait une excellente nouvelle,
car la pratique de ces sports insiste sur des valeurs éducatives
et formatrices pour l’épanouissement de l’individu. Nous croyons
sincèrement que ces programmes contribueront au mieux-être de
nos jeunes et ainsi participer à rendre notre société meilleure »,
terminent les deux gestionnaires. FDEÉS
389, rue Notre-Dame Est
Victoriaville (Québec) G6P 4A8
Téléphone : 819 751-0096
Courriel : [email protected]
Facebook : club-de-boxe-ko-96
10, rue de l’Exposition
Victoriaville (Québec) G6P 4V9
Téléphone : 819 604-7557
Courriel : [email protected]
Site Internet : www.localskateparc.com
Pour sa part, l’entreprise d’économie sociale Local Skateparc
vient combler un besoin exprimé par les jeunes de Victoriaville
et des environs. « Dans cette étude, réalisée par la Politique
jeunesse au printemps 2013, il a été mentionné que le désir d’utiliser ce type d’équipement sportif est arrivé à l’intérieur des cinq
priorités énoncés par les jeunes de notre région. Sans compter
que plusieurs adeptes de ces sports se déplaçaient régulièrement
vers Montréal ou Québec pour pratiquer leurs hobbys », explique
le directeur général, M. Éric Alain.
Afin de réunir l’offre de service pour le BMX et le skateboard, la
Ville de Victoriaville déménagera son skate parc extérieur dans le
stationnement voisin au Local Skateparc au printemps 2014. Ce
déménagement permettra d’offrir un encadrement sécuritaire du
site, servant à l’ensemble des utilisateurs. L’accès sans frais au
skate parc extérieur sera maintenu après le déménagement.
Local Skateparc est le plus grand lieu de pratique du BMX
et du skateboard en dehors de la région métropolitaine.
Au plafond, on peut apercevoir les oeuvres de l’artiste
victoriavilloise André-Anne Laberge.
11
Dernière heure
cooP de solidarité
notre-dame-de-ham
lauréate aux Grands Prix de la ruralité
C’est le 10 octobre dernier qu’avait
lieu l’événement des Grands Prix
de la ruralité, décernant à la Coop
de solidarité Notre-Dame-de-Ham
le prix Organisme rural.
Ce prix, récompensant le leadership d’un
organisme dans le développement durable
de sa communauté, représente exactement
la mission de cette coopérative des plus
dynamiques, qui a vu le jour en mai 2012.
En effet, la Coop de solidarité NotreDame-de-Ham participe à la revitalisation
de la municipalité du même nom. Cette
démarche est d’autant plus importante
puisque 111 membres, d’une communauté
de 430 habitants, se sont associés à ce
projet mobilisateur. Plusieurs citoyens ont
mis la main à la pâte en transformant
l’ancien garage de mécanique de la place
en une coopérative où sont réunis certains
services, créant ainsi six emplois.
L’entreprise n’en est pas à son premier prix!
Avant même son ouverture officielle, ses
artisans avaient remporté le premier prix
dans la catégorie Économie sociale lors de
la finale régionale du Concours québécois
en entrepreneuriat 2012. De plus, le 25
octobre dernier, la Coop recevait une bourse
de 5 000 $ provenant de Desjardins, pour
le projet Des jardins à la Tablée. Ce projet,
d’envergure locale et régionale, propose
un kiosque à aires ouvertes permettant
aux artisans, maraîchers et producteurs
de tenir une vitrine sur la route 161.
FDEÉS
Coop de solidarité
Notre-Dame-de-Ham
11, rue Principale
Notre-Dame-de-Ham (Québec) G0P 1C0
Téléphone : 819 464-0011
La coopérative englobe dans le même
emplacement : un poste à essence, un
dépanneur, un miniclub vidéo ainsi que
le casse-croûte La tablée du village.
Téléchargement