cardio-pulmonaire du chien aire du chien naire du

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11 Dr Marine Renaud et Pr Frédéric Beugnet
Merial
DIROFILARIOSE
La
cardio-pulmonaire du chien
Une maladie PARASITAIRE
transmise par les MOUSTIQUES
Inoculation des larves
parasites par PIQÛRE
DE MOUSTIQUE
Parasite : Dirofilaria immitis
L3
Microfilaires
Photo: Parasitologie ENV
un ver rond (filaire)
Le cycle de
développement
dure 5 à 6 mois
Migration
dans
L4
les tissus
Arrivée au cœur
par voie sanguine
Artères
pulmonaires
L3
L4
Cœur droit Adulte
Microfilaires
Les femelles adultes libèrent
des microfilaires dans le sang
Lésions de dirofilariose
cardiaque
Principale victime :
le chien
Ph
oto
:M
eria
l
Plus rarement : le chat, le furet,
les carnivores sauvages ou l’homme.
Microfilaire dans le sang.
Longévité des filaires
jusqu’à 7 ans dans le coeur du chien
D
ZONES ET PÉRIODES À RISQUE
Distribution de la dirofilariose
en Europe
C
SYMPTÔMES
La maladie évolue sur
des mois ou des années
(absence à détresse cardiorespiratoire)
Merial
Photo: L. Rinaldi
Photo: Merial
Photo: Merial
• Toux, difficultés respiratoires,
fatigabilité
• Insuffisance cardiaque :
perte de poids, ascite, œdèmes
• Syndrome hémolytique
aigu possible
Infestation possible
mais rare, signes
cliniques très variables
Zones de forte endémie
Zones d'endémie modérée
• Réchauffement
d’animaux en zones à
climatique et activité des moustiques
• Expansion du moustique tigre (Aedes albopictus). Originaire
d’Asie et importé en Italie dans les années 90, il est aujourd’hui
présent dans le tiers sud de la France, remontant jusqu’à Lyon
Moustiques
Tiques &
Puces...
offensive
des maladies
vectorielles
Ascite
Zones de cas sporadiques
CAUSES D’EXTENSION (vers l’Est et le Nord)
• Tourisme et adoption
risques
Autopsie: D. immitis
dans la cavité cardiaque
Extraction de D. immitis
par cathétérisme
de la veine jugulaire
Autre espèce de filaire sous diagnostiquée :
Dirofilaria repens, agent de la dirofilariose
SOUS-CUTANÉE
• En France : endémique dans les deux tiers nord du pays
• Nodules sous-cutanés ou tissulaires, chez le chien
et parfois chez l’homme
Plus de
umains
c
0
80 as h s
o
p
p
ra rté
en Europe
Hôte accidentel :
les larves ne terminent pas (D. repens)
leur développement et meurent.
Risque principal : confusion avec des tumeurs
• Diagnostic souvent établi après actes chirurgicaux
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