Dans l’équipe, je tiens particulièrement à remercier Laurent. Par où commencer, il y a
tellement à dire ?! Tout d’abord, merci d’avoir fait de ce bureau l’un des endroits les plus
sympas et les plus gais du bâtiment. Merci pour toutes les discussions scientifiques, les idées
de manip à tester, les conseils et les relectures de posters, de présentations, mais surtout de
thèse. Merci pour tous les coups de main donnés lors de mes expériences aux mille boîtes, le
comptage des colonies qui aurait selon lui des vertus déstressantes et de me laisser appliquer
sur ses gels (cela est déstressant !). Merci pour toutes les petites pauses sympas et de m’avoir
tant écoutée. Merci pour la vie au labo si agréable mais également en dehors du travail : les
cinés, les plans « loose » (choucroute dans un clergé, courts-métrages endormants …), les
Pilates, les trajets à vélo, les vacances et les flamants roses !...
Je remercie aussi l’équipe Wagner, qui m’a hébergée dans ses labos les premiers mois.
Un merci particulier à Christel, qui de collègue est devenue amie et à Renaud, bien qu’il
quémande toujours des gâteaux. Merci également à Alaa avec qui j’ai partagé mon premier
bureau, toujours souriant et de bonne humeur, tout comme Dayana.
Merci aux nombreux « secoueurs de boîtes », qui ont eu pitié de moi, ensevelie sous ces
montagnes de plastique et de milieu gélosé : Laurence, Bruno, Dorine, Pierre et beaucoup
d’autres.
Je remercie également Olivier (meilleur binôme de tous les temps), pour tous les supers
moments passés ensemble depuis déjà quelques années. Merci à Camille qui, du fin fond de sa
Bretagne, a toujours eu le mot pour rire dans ses mails.
Passons maintenant à la famille proche, qui a toujours été présente autour de moi. Tout
d’abord, le chat, Mohas, omniprésent lors de la rédaction, lové sur les genoux…mais préférant
la véritable place de « greffier » vautré sur les papiers, la tête sur le bord du clavier (comme
en ce moment même). Un grand merci à l’infographiste de la famille, Bri, pour avoir toujours
réalisé de superbes premières pages pour chacun de mes stages et maintenant pour ma thèse.
Je ne sais comment remercier mes parents, qui ont toujours cru en moi, qui m’ont toujours
épaulée mais surtout qui m’ont permis d’arriver où je suis aujourd’hui. Mille mercis pour tous
les moments à me remonter le moral au téléphone ou en webcam, ou à l’inverse, à écouter
toutes les petites joies de la science. Merci à mon père qui a découpé tous les bouts de tuyaux
nécessaires à la croissance des tomates, sans lui, je ne sais comment les expériences auraient
été possibles. Merci à ma mère pour les relectures à la recherche des fautes d’orthographe.
Pour finir, merci à Benoît, présent chaque jour à mes côtés, qui m’a suivie chaque fois que