Accès ? En bus : face à la gare de Namur : quai D1 bus n°4 – Arrêt facultatif « La Pairelle », Monter à pied la rue Marcel Lecomte (1km) jusqu’au calvaire : Suivre le panneau « Centre Spirituel ». En taxi : De la gare de Namur : 5km. En voiture : E411, sortie Bouge (n° 14). Traverser Namur en direction de Dinant (N 92). A la sortie de Namur, monter à droite la rue Marcel Lecomte. A 1km, un panneau indique le Centre Spirituel. Parcours Sa 17 octobre 2015 Sa. 5 mars 2016 Sa 21 mai 2016 Le Centre Spirituel ignatien « La Pairelle » animé par des jésuites, des religieuses et des laïcs, propose un large éventail d’activités pour jeunes et adultes : retraites individuelles et de groupes selon les Exercices Spirituels de Saint Ignace, sessions sur des sujets d’actualité, cycles de formation sur le discernement et l’accompagnement spirituel. CSI La Pairelle ASBL, éd. resp. Michel Danckaert, rue Marcel Lecomte, 25 –5100 Wépion - www.lapairelle.be. A l’écoute des spirituels d’Orient Bulletin d’inscription à renvoyer à : Centre Spirituel–Secrétariat–25 rue Marcel Lecomte–5100 Wépion Tél. : 081 468 111 - Fax : 081/468 118 - [email protected] – www.lapairelle.be Journée « A l’écoute des spirituels d’Orient » Date : ……………………………………… M/ Me / Sr /P (entourez la mention utile) Prénom ............................ Nom ................................................... Profession ....................... Congrégation.................................... Adresse ............................................................................................ Code postal ................ Ville ........................................................ Date de Naissance ....................... …………………………………. Téléphone ..................… E-mail .................................................... Date et Signature Prix par journée: 35€ (31€ pour étudiants et chercheurs d’emploi). Pour les 3 jours : 90€ (80€ pour étudiants et chercheurs d’emploi). En cas de difficulté financière, contactez-nous. IBAN : BE 58 3601 0697 8979 BIC : BBRUBEBB Communication : nom de l’activité + nom de la personne inscrite. Animateur : P. Jacques Sheuer sj, professeur émérite d’histoire des religions de l’Asie, à l’UCL. Samedi 17 octobre : Tradition hindoue Râmânuja ou l’attention méditative ; Toukârâm ou les psaumes du pèlerin Poètes et saints, penseurs et maîtres spirituels offrent aux chrétiens d’Occident un accès privilégié aux patrimoines de l’Asie : hindouisme, bouddhisme, taoïsme… Deux témoins de la tradition spirituelle hindoue, très différents par l’origine sociale et le bagage culturel, mais animés d’une même confiance, un même amour du Seigneur. Râmânuja (11ème siècle) affirme que la majesté du Seigneur n’empêche pas sa proximité. Brahmane du Sud de l’Inde, ce grand penseur enseigne que toute réalité (le cosmos, l’individu humain avec son corps, ses émotions, son affectivité…) est une manifestation de la gloire divine. Chaque journée proposera deux témoins d’une même tradition, la lecture commentée d’extraits de leur œuvre, des temps de silence et de méditation personnelle. Animateur : Jacques Scheuer Jésuite, professeur émérite d’histoire des religions de l’Asie à l’UCL (Louvain-la-Neuve). Il fait partie de l’équipe d’animation des « Voies de l’Orient » (Bruxelles). Il est notamment l’auteur de Un chrétien dans les pas du Bouddha (éditions Lessius). Illustrations au verso : La Roue du Dharma Ashoka Chakra « Aum » Toukârâm (1598-1650) n’a pas le prestige social ni l’autorité religieuse d’un Râmânuja. Petit boutiquier de village en pays marathe, il s’exprime dans la langue du petit peuple dont il chante la foi et la dévotion. Avec des milliers de villageois de la région, il se rend chaque année au sanctuaire de Krishna. Samedi 5 mars : Tradition hindoue Lalla, l’amante de Śiva ; Kabîr, le chantre de la ‘mort vivante’ Si Râmânuja et Toukârâm partagent une confiance apaisée, deux autres personnages connaissent un parcours plus chaotique et des expériences contrastées. Lalla (14ème s.), mariée très jeune, en butte à la méchanceté de sa belle-famille, parcourt les routes de son Cachemire natal, en quête du Seigneur Śiva. Ses chants très personnels disent son désarroi, ses épreuves, mais aussi, par-delà la mort à soi-même, l’émerveillement de la rencontre. Kabîr (15ème s.), humble tisserand de la ville sainte de Bénarès, à l’interface de l’hindouisme et de l’islam, dénonce les hypocrisies et les étroitesses des hommes de religion. Ses chants invitent à dépasser la sécurité des croyances et des rites afin de répondre aux exigences de l’appel intérieur. Samedi 21 mai : Tradition bouddhique Śântideva, la bonté bienveillante Centré sur la méditation, le chemin du bouddhisme ne semble guère faire de place à la prière. Mais le bouddhiste formule des souhaits à l’intention de tous les êtres vivants. Le célèbre Soûtra de la bonté bienveillante (metta) n’exprime pas un simple « vœu pieux » mais l’aspiration essentielle de qui le prononce. Sa récitation régulière transforme l’esprit et le cœur ; elle aide à dépasser les réactions spontanées : attirance, indifférence, hostilité… Śântideva (8ème s.), moine indien est auteur d’un traité sur les étapes vers le plein Éveil. À mesure que l’on progresse en non-attachement et en sagesse, la compassion et la bienveillance se développent spontanément. Le disciple consacre toute son existence au soulagement de la souffrance d’autrui et à la libération de tous les êtres