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REMERCIEMENTS
En premier lieu, je tiens ici à adresser ma profonde gratitude à Jacques Barou, mon
directeur de thèse, pour ces six années où il a su pas à pas me suivre et m’orienter, malgré tous les
doutes et les questionements qui ont émaillé mon parcours de recherches. Ne l’ayant jamais eu
comme professeur à l’université, je le remercie ici de m’avoir fait confiance dès le début pour
cette ô combien prenante et éprouvante expérience parfois, mais qui se révéla finalement si riche.
Il a su trouver les mots et l’attitude adéquats afin de me faire advenir à moi-même ; nos entrevues
et nos discussions se sont toujours révélées précieuses ; ce fut un honneur de “chercher” sous sa
direction.
Toute ma reconnaissance va aussi aux membres du jury qui ont examiné mon manuscrit
de thèse et accepté de participer à ma soutenance.
Ici, qu’il me soit donné de remercier tous les gens rencontrés et interviewés à Dakar. Tout
d’abord, Khadim sans lequel mon terrain de recherches notamment dans les régions religieuses
n’aurait jamais pu avoir lieu ; sans oublier Mariétou, Kemo, Moussa, Pape Laye, Talla… et tous
les autres, trop nombreux à citer ici, qui ont bien voulu me supporter et m’aider pendant les sept
longs mois de mon second séjour. Ainsi que les professeurs et les chercheurs dakarois,
notamment ceux de l’UCAD dont surtout mon tuteur d’accueil Ousseynou Faye ; mais aussi
Mamadou Cissé, Sokhna Sané… Ou ceux rencontrés ailleurs, par exemple au CODESRIA ou à
l’ENTSS. Sans oublier l’équipe du LARTES-JEREMI : Maty Diagne, Abdou Salam Fall,
Mohamadou Sall, Tidiane Ndoye… et tous les doctorants croisés au gré de mes passages plus ou
moins réguliers dans ces hauts lieux du savoir. Enfin, les membres d’organismes d’aide qui ont
accepté de discuter avec moi, quelquefois à plusieurs reprises : Abdoulaye Diop, Youssouph Badji
et plus généralement toute l’équipe du Samusocial Sénégal ; Abdoul Karim Gueye du Learning
Centre pour l’enfance…
Bien sûr, à ma famille… Et à mes amis, que je ne saurai tous citer ici ; je souhaiterais les
remercier tous pour leur écoute, leurs encouragements, leur confiance en moi qui a souvent été
plus forte que la mienne ; préférant ne froisser personne, je me permets de rester discrète à ce
sujet. Qu’ils soient à Lyon, Marseille, Grenoble, en Savoie ; ou plus récemment à Nancy, Paris et
Metz, ils sauront se reconnaître s’il leur arrive de lire ce manuscrit. J’ose escompter qu’alors,
chacun d’entre eux pourra comprendre qui sont les taalibe-mendiants...