1 Soit De la création du cosmos à la faculté créatrice chez l’homme 2 Sujets De la causalité à une existence consciente au virtuel et au réel 3 Relation de cause à effet – l’eau 5 Le Big Bang - cette singularité initiale – et l’émotion 5 Le Big Bang ne réfère pas à un instant « initial » de l’histoire de l’Univers 7 De cette énergie sombre ou énergie noire d’avant le Big Bang 7 Énergie sombre, matière noire et leur gravitation (Wikipédia) 7 Les débuts de la matière (Wikipédia) 8 Catégories de particules 10 L'interaction forte 10 La baryogénèse de grande unification 11 L’antimatière et son mystère 13 Regard sur l‘avant et l‘après Big Bang 14 Lumière – vie – matière – photon 15 L‘humanité et son immanence 16 Qu’est-ce qui nous ouvre la porte aux pensées créatives? 16 De la création du cosmos à la faculté créatrice chez l’homme 17 Du virtuel au réel pour l’âme 17 3 De la causalité à une existence consciente au virtuel et au réel Hors de la matière, la conscience existe-t-elle en tant que garde rapproché à notre âme, cette lumière interactive. Retourne-t-elle dans le monde des esprits ? La causalité, c'est la relation de cause à effet : par exemple, il y a causalité entre le ruissellement des eaux et la constitution des cours d'eau. C'est aussi un principe, philosophique, d'après lequel «tout phénomène a une cause et, dans les mêmes conditions, la même cause est suivie du même effet.» La cause est une notion, universelle, désignant ce qui produit l'effet, une force productive engendrant un effet et se prolongeant en lui. (Wikipédia p.3) La conscience. La formule de Socrate, tirée de l'oracle de Delphes : « connaistoi toi-même », montre qu'une mauvaise connaissance de soi a un impact sur la connaissance du monde et réciproquement, puisque nous faisons partie du monde. En fait, la conscience de soi désigne la conscience de phénomènes particuliers reliés au concept de soi. La conscience de soi est la présence de l’esprit à lui-même dans ses représentations, comme connaissance réflexive du sujet qui se sait percevant. Par cette présence, un individu prend connaissance, par un sentiment ou une intuition intérieure, d’états psychiques qu’il rapporte à lui-même en tant que sujet. Cette réflexivité renvoie à une unité problématique du moi et de la pensée, et à la croyance tout aussi problématique, que nous sommes à l’origine de nos actes. (Wikipédia p.3) L’esprit (wikipédia). En métaphysique et dans les religions, le mot esprit désigne normalement l'élément immatériel incarné en l'être humain. Par extension se dit aussi de tous les êtres immatériels supposés doués d'intelligence : Dieu, les anges, les démons, etc. Les ondes de torsion ont le potentiel d’initier un changement de paradigme fondamental. Elles serviraient à combler le fossé entre l’esprit et la matière d’une manière qui n’a jamais été rendu possible, et valideraient par là même les thèses des mystiques et occultistes. Divers chercheurs considèrent ces ondes de torsion comme similaire à la conscience elle-même. Puisque les ondes de torsion sont une caractéristique fondamentale et omniprésente du cosmos, nous pouvons alors supposer que l’âme conscientisée l’est aussi. En tant que valeur virtuelle, elle est une force réelle et détectable qui peut agir sur l’environnement à la fois localement et à distance. 4 Sol Luckman se réfère à l’énergie de torsion en tant que « lumière intelligente de l’énergie ou intention émanant de dimensions supérieures» et note qu’il se distingue à la fois de la gravité et du rayonnement électromagnétique. (Onde de torsion – clé de la théorie du tout – incluant la conscience. Google p.3) L’âme (Aristote Wikipédia). La nature tient une place importante dans la philosophie d'Aristote. Selon lui, les matières naturelles possèdent en ellesmêmes un principe de mouvement (en telos echeïn). Par la suite, la physique est consacrée à l'étude des mouvements naturels provoqués par les principes propres de la matière. Au-delà, pour sa métaphysique, le dieu des philosophes est le premier moteur, celui qui met en mouvement le monde sans être lui-même mû (pour mouvoir). De même, tous les vivants ont une âme, mais celle-ci a diverses fonctions. Les plantes ont seulement une âme animée d'une fonction végétative, celle des animaux possède à la fois une fonction végétative et sensitive, celle des hommes est dotée en plus d'une fonction intellectuelle. En conclusion, le but de cet exercice de recherches est de m’enquérir, au plan virtuel, s’il existe une influence équivalente à notre présente conscience qui balise notre destinée dans la matière, c’est oui : Si on accepte que l’effet est un continuum de la cause. Que le soi est la résultante d’un regard intérieur qui interroge cette lumière immatérielle évocatrice et constitutive, l’âme. À la validation des ondes de torsion, qui comblent le fossé entre l’esprit et la matière, qu’il y aurait similitude à ceux de l’âme conscientisée ellemême. Puisque les ondes de torsion sont une caractéristique fondamentale et omniprésente du cosmos, nous pouvons alors supposer que la conscience dans la matière est un continuum de celle du cosmos. Que selon Aristote, l’âme a la fonction d’animer. Que Sol Luckman se réfère à l’énergie de torsion en tant que « lumière intelligente de l’énergie ou d’intention émanant de dimensions supérieures », unissant âme et sa résultante (conscience). Et que dans la constitution des règnes par les particules de lumière s’est développée une approche référentielle, intuitive et de perception; la conscience sur laquelle s’appuyer. Effectivement, la conscience est d’une valeur constituante du cosmos. Tandis que l’esprit de lumière (l’âme) continue de puiser dans le contenu d’intelligence cosmique, à la poursuite de sa continuité créative. 5 La conscience et ses acquis est la relation qu’a l’âme avec le constitutif autant du réel que du virtuel. L’âme fait office d’amalgame avec la conscience en gestation. Ainsi va l’expression à l’existence consciente. (Nov. 2015) Relation de cause à effet – l’eau L’eau lors d’un réchauffement augmente de volume. En langage plus scientifique : lorsqu’on élève la température l’agitation moléculaire donne naissance à un libre parcours moyen non nul, qui se traduit par une apparente dilatation. (Anomalie dilatométrique Mécanisme Wikipédia) le libre parcours moyen est la distance moyenne parcourue par une particule se déplaçant (telle qu'un atome, une molécule, un photon) entre deux impacts successifs (collisions) modifiant sa direction, son énergie ou d'autres propriétés. Aujourd'hui, on considère que l'énergie interne des systèmes est constituée d’énergies cinétique et potentielle microscopiques. La chaleur n'est plus un fluide, c'est un transfert d'énergie désordonnée à l'échelle microscopique. La capacité calorifique est désormais appelée capacité thermique (voir capacité thermique Wikipédia). Il y avait surchauffe. Bien s’en est résulté que l’excès ait fait voler en éclats les murs de l’absence de créativité pour une présence. L’excès, non plus, n’a pas sa place dans l’effet. Prêtons un moment de conscience à ce point infiniment petit de l’avant Big Bang pour imaginer dire : je n’étais pas à l‘aise dans ce réduit. Le Big Bang – cette singularité initiale – et l’émotion Le grand mérite revient à Gamow cosmologue russe qui avait eu le premier l’idée extraordinaire que la matière que nous connaissons avait été fabriquée à un moment où le cosmos était immensément chaud (85). L’univers avait connu, au moment de sa création une phase très dense et très chaude. Ce début d’une violence indescriptible avait dû laisser des traces quelque part (90), tel qu’un rayonnement primordial (Le visage de Dieu p.91). De l’avant Big Bang qui initie l’après, du point zéro à l’inimaginable, du vide s’il y a à l’existence, de l’absence à la présence de particules, de cette singularité à cette diversité d’éléments subatomiques, de l’équilibre thermique à son déséquilibre, de l’inconscient au conscient, de ce point inerte à cette intensité, de ces extrêmes séparés par le mur de Planck, mur ou l’absence devient présence, ou la nullité passe à la conscience, ou la nuit devient le jour, ou des ténèbres jaillit la lumière, ou l’inanimé devient animé, ou le moment devient l’effet sans 6 cause (apparente), ou la création prend son élan, ou de ce presque rien qui passe au tout, ou l’infiniment petit passe au gigantisme et/ou de l’énergie sombre s’étale matière et lumière. Que d’antagonistes à cette litanie. Tel est le résultat du Big Bang, de cette singularité initiale. Pour une analyse comparative, il est difficile de faire un certain lien entre des extrêmes quant l’on ne peut localiser chez les deux au même instant ou quand un moment d’existence ne peut se comparer tel que pour l’avant, la source d’une future lumière (énergie) primordiale à même et l‘après, cette lumière et l‘arrivée du temps. Puisque matière est lumière, il faut nécessairement éveiller son entendement ou sa compréhension que le « Je suis » est lumière. Ce Je suis opère autant dans le virtuel que le réel mais non dans les deux à la fois. Tout se déroule dans un état vibratoire à des niveaux différents pour le réel ou le virtuel. Dans le virtuel, il faut considérer la lumière que l’âme conscientisée utilise est vibrations infinies et non divisée. Elle peut être utilisée par l’âme conscientisée dans les deux vibrations illimitées ou limitées. Le mot thermique signifie une production d’énergie par rayonnement. Dans un équilibre thermique, derrière le mur de Planck, rien ne bouge. L’équilibre thermique est un transfert d'énergie thermique d’un corps à un autre corps. Il représente la situation où entre les deux corps, la température au sein d'un tel système est uniforme. Qu’est-ce qui a débalancé l’équilibre thermique ? Un élément subit imprévisible. Il revient aux physiciens à trouver ce qui a pu déséquilibrer la température au sein d'un système uniforme, de ce bris d’équilibre occasionnant le Big Bang. Estce un débalancement entre deux états, irrésistible, qui a causé la déflagration ? Je laisse le soin aux cosmologues de tenter d’élucider la question. L’émotion. Avant l’instant de celle-ci, l’humain est dans un état d’équilibre. Qu’il y ait surprise ou décontenancement chez l’humain, c’est comme un état latent ou à venir qui surgit. L’humain subit une décharge du champ électromagnétique qui fait varier ses vibrations. L’excès d’énergie excite le cœur. Le virtuel se voit également débalancé les siennes quand le tout se passe sous forme de déflagration qui libère un potentiel d’énergie. Il y a similarité entre l’émotion ressentie et la déflagration imprévisible à la naissance de l’Univers. Même dans l’énergie il y a la relation de cause à effet. 7 Le Big Bang ne réfère pas à un instant « initial » de l’histoire de l’Univers Il indique seulement que celui-ci a connu une période dense et chaude. De nombreux modèles cosmologiques décrivent de façons très diverses cette phase dense et chaude. Le statut de cette phase a d’ailleurs été soumis à maints remaniements. Dans un de ses premiers modèles, Georges Lemaître, en 1925, proposait un état initial dont la matière aurait la densité de la matière nucléaire (1015 g /cm3). Lemaître considérait (à juste titre) qu’il était difficile de prétendre connaître avec certitude le comportement de la matière à de telles densités, et supposait que c’étaient la désintégration de ce noyau atomique géant et instable qui avait initié l’expansion, (hypothèse de l’atome primitif) (Wikipédia). De cette énergie sombre ou énergie noir d’avant le Big Bang De cette singularité, les cosmologues essaient d’en découvrir les causes. « Qu’y avait-il avant le Big Bang » s’interrogeait George Smoot en 1993 dans son livre. Et la réponse était tombée : « Face à cette question ultime, notre foi dans la puissance de la science à trouver des explications à la nature vacille ». Si cette recherche s’avère un échec, comme porte de sortie, on pourra toujours alléguer que ce fut la seule création de Dieu. Mot étroitement liée à cette notion de lumière emprisonnée précédant le Big Bang et issue de cette énergie sombre ou noire qui se comporte comme une force gravitationnelle répulsive (Wikipédia). Comme le dit si bien Ramtha, une entité souveraine ayant vécu sur terre, dans le message à un médium ci-après : « La lumière et ses particules dont les âmes en sont issues seraient la seule création de Dieu en tant que Créateur ». Depuis le Big Bang, l’avènement des quatre règnes est l’œuvre de ces particules de lumière conscientisées, les âmes conscientisées (Texte : « De ce Un à la multitude »/Ramtha). Cette énergie sombre est une composante majeure représentant environ 68% de la densité d’énergie totale de l’Univers. Je vous réfère au chapitre 21 du livre « Le visage de Dieu ».qui fait largement mention d’un – champ – d’une force étrange venue du fond des temps, avant le Big Bang. Énergie sombre, matière noire et leur gravitation (Wikipédia) En cosmologie, l'énergie sombre ou énergie noire (dark energy en anglais) est une forme d'énergie hypothétique emplissant uniformément tout l'Univers et dotée d'une pression négative L'existence de l'énergie sombre est nécessaire pour expliquer diverses observations astrophysiques, notamment l'accélération de l’expansion de l’Univers détectée au tournant du XXI siècle. 8 La matière noire ou matière sombre (traduction de l'anglais dark matter), parfois aussi nommée de façon plus réaliste matière transparente, désigne une catégorie de matière hypothétique, invoquée pour rendre compte d'observations astrophysiques, notamment les estimations de masse des galaxies et des amas de galaxies et les propriétés des fluctuations du fond diffus cosmologique. Gravitation. La matière noire se comporte comme une force gravitationnelle attractive, force qui attire son environnement en regard de sa masse. L’énergie sombre se comporte comme une force gravitationnelle répulsive (qui repousse son environnement). L’une est positive, l’autre est négative. Répartition de la densité d’énergie de l’Univers suite aux données du satellite Planck. Énergie sombre – 68,3%. Matière noire – 26,8% (non baryonique). Matière ordinaire – 4,9%. Les débuts de la matière (Wikipédia) On appelle particules élémentaires les constituants fondamentaux de l'Univers. On distingue les particules élémentaires qui ont un spin demi-entier (le spin est à la base du magnétisme) et obéissent à la Statistique de Fermi-Dirac et au principe d’exclusion de Pauli. Celles qui ont un spin entier obéissent à la statistique de Bose-Einstein. Les premières sont appelées fermions et constituent la matière baryonique. Les secondes sont appelées bosons et constituent les champs de force ou plutôt d'interactions sans tenir compte de la gravitation, qu'on n'a pas encore réussi à intégrer au modèle. (Particules élémentaires) Les photons sont des « paquets » d’énergie élémentaires, ou quantum de rayonnement électromagnétique, qui sont échangés lors de l’absorption ou de l’émission de lumière par la matière. De plus, l’énergie et la quantité de mouvement (pression de radiation) d’une onde électromagnétique monochromatique sont égales à un nombre entier de fois celles d’un photon (photon). Voici ce qu’a repéré le satellite Planck. Pendant l'inflation, moins de 10-32 seconde après le « temps zéro », des fluctuations (vagues) de densité de matière et des ondes gravitationnelles (vagues) auraient été engendrées. Les ondes gravitationnelles, pouvant se propager malgré des densités de matière élevées, peuvent nous renseigner sur l'état de l'univers avant qu'il ne soit âgé de 10-32 seconde. Il en est pas de même pour la lumière. Il a fallu attendre 380.000 ans pour qu'elle puisse se déplacer dans le cosmos observable (Planck Wikipédia). 9 Même s’il a fallu tout ce temps à la lumière d’être observable, il n’en demeure pas moins que sa capacité interactive était déjà à l’œuvre, tel le gluon qui est l’un de la famille du boson responsable de l'interaction forte (voir ci-après). De façon générale, le terme « Big Bang » est associé à toutes les théories qui décrivent notre Univers comme issu d'une dilatation rapide qui fait penser (abusivement) à une explosion, et est également le nom associé à cette époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a 13,8 milliards d’années sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire (Big Bang Wikipédia). Gamow réalise en effet que les fortes densités de l’Univers primordial doivent avoir permis l’instauration d’un équilibre thermique entre les atomes, et par suite l’existence d'un rayonnement émis par ceux-ci. Ce rayonnement devait être d’autant plus intense que l'Univers était dense, et devait donc encore exister aujourd’hui, bien que considérablement moins intense. Ce rayonnement est appelé aujourd’hui fond diffus cosmologique (fond diffus cosmologique – Big Bang). L’existence d’un rayonnement de corps noir est facile à expliquer dans le cadre du modèle du Big Bang : par le passé, l’Univers est très chaud et baigne dans un rayonnement intense. Sa densité, très élevée, fait que les interactions entre matière et rayonnement sont très nombreuses, ce qui a pour conséquence que le rayonnement est thermalisé, c’est-à-dire que son spectre électromagnétique est celui d’un corps noir (fond diffus cosmologique – Big Bang). Bien que correspondant à un rayonnement à basse température et peu énergétique, le fond diffus cosmologique n’en demeure pas moins la plus grande forme d’énergie électromagnétique de l’Univers : près de 96 % de l’énergie existant sous forme de photons est dans le rayonnement fossile. 380 000 ans après le Big Bang, alors que l’Univers est mille fois plus chaud et un milliard de fois plus dense qu’aujourd’hui, les étoiles et les galaxies n’existaient pas encore. Ce moment marque l’époque où l’Univers est devenu suffisamment peu dense pour que la lumière puisse s’y propager, essentiellement grâce au fait que le principal obstacle à sa propagation était la présence d’électrons libres. Lors de son refroidissement, l’Univers voit les électrons libres se combiner aux noyaux atomiques pour former les atomes (Recombinaison – Big Bang). L’univers actuel contient plusieurs formes de matières Les photons, c’est-à-dire les particules représentant toute forme de rayonnement électromagnétique. Les neutrinos. 10 La matière baryonique, qui forme les atomes. Une ou plusieurs formes de matière inconnues en laboratoire mais prédites par la physique des particules appelées matière noire. responsable entre autres de la structure des galaxies, bien plus massives que l’ensemble des étoiles qui les composent, Une forme d’énergie aux propriétés inhabituelles, appelée énergie noire ou constante cosmologique, responsable de l’accélération de l‘expansion de l’Univers observée aujourd’hui (et probablement sans rapport direct avec l’inflation). Catégories de particules (Pour plus de détails : texte « Merci à la science ») On appelle fermions : l’électron, le neutrino et le quark. Ces particules sont des particules élémentaires ou constituants fondamentaux qui conservent leur identité première. Elles ont un spin demi-entier et n’occupent pas le même état quantique. De par leur masse légère, ils font également partie de la famille des leptons, désignation qui signifie léger. (particules élémentaires Wikipédia). On appelle bosons : le photon, le gluon et le boson. Ces particules ont un spin entier à l’exception du boson de Higgs, d’un spin zéro, associé au champ de Higgs. Ils constituent des champs de force, étant considérées comme des champs d’interactions. La gravitation n’en fait pas partie (Liste des particules – Wikipédia). L'interaction forte (Wikipédia) L'interaction forte, ou force forte, appelé parfois force de couleur, complète le modèle standard avec l'interaction électromagnétique et l'interaction faible. Après un siècle de physique nucléaire, les lois et constantes fondamentales de l'interaction forte sont toujours inconnues, au contraire des lois de Coulomb et de Newton. On sait depuis deux millénaires que l'ambre (elektron) frottée attire la poussière, neutre; pourtant, un proton peut attirer de même un neutron pas si neutre que cela. La toute première des interactions observées dans l'histoire, l'interaction gravitationnelle, ajoute sa contribution dans la Grande unification des quatre interactions fondamentales dont seules celles de l'électricité et de la gravitation sont connues quantitativement. Seuls les quarks et les antiquarks (constituants des protons et des neutrons) sont affectés par cette force forte qui est portée par des bosons appelés gluons (de la même façon que la force électromagnétique est portée par les photons). Cette force forte maintient les quarks ensemble pour former les baryons, tels que 11 les protons ou les neutrons et pour former les mésons, (nombre pair de quarks et d'antiquarks). tel les pions ou les kaons de la famille des mésons. Tous les ensembles de quarks (i.e. les baryons et les mésons) sont nommés hadrons. L'interaction forte affecte les quarks et les particules constituées de quarks (les hadrons). Elle n'affecte pas les leptons. L'interaction forte affecte en revanche les gluons, ce qui fait d'elle la seule interaction fondamentale à affecter les bosons qui la transportent. En effet, les photons n'ont pas de charge électrique et ne sont donc pas affectés par les champs électromagnétiques, les gravitons, particules hypothétiques, sont prévus sans masse, et si les bosons W + et W – de l'interaction faible possèdent une charge électrique, les conséquences sur l'interaction faible sont négligeables. La théorie prévoit que l'intensité de l'interaction forte tend vers zéro quand la distance tend vers zéro. Le potentiel de l‘interaction forte avait donc sa niche avant le Big Bang. Le phénomène est appelé liberté asymptomatique, et permet aux quarks de se déplacer librement au sein des hadrons. Lorsque la distance augmente, l'intensité de l'interaction forte augmente (contrairement aux autres forces). En dessus d'une distance limite, l'énergie est suffisante pour créer des pairs quark-antiquark qui reforment des hadrons. Cette propriété est appelée confinement de couleur. Dans les années 1970 les protons et neutrons étaient considérés comme les particules élémentaires et l'expression interaction forte désignait ce qu'on appelle aujourd'hui la force nucléaire. La baryogénèse de grande unification (qui réunit les quatre forces) En cosmologie, la baryogénèse désigne une ou des périodes de formation des baryons lors de l'univers primordial. Ainsi, d'après la théorie du Big Bang, lors des premiers instants de l'Univers, ce dernier était trop chaud pour permettre l'existence de la matière. Cette dernière ce serait formée à partir du moment où l'Univers est devenu suffisamment froid pour ce faire. L'époque de la baryogénèse n'est pas connue avec certitude. Elle se situerait entre 10 -32 et 10-12 seconde après le Big Bang. Une fraction de fraction de seconde. Les principales hypothèses situent la baryogénèse dans deux ères : La baryogénèse de grande unification, qui se produirait pendant, ou peu après l'ère de grande unification, et la baryogénèse électrofaible, qui se produirait lors de la transition électrofaible. 12 À la suite de ce processus, on constate une asymétrie entre la matière et l'antimatière, au minimum dans la répartition spatiale, qui permet l'existence de la matière. Un baryon est, en physiques des particules, une catégorie de particules, dont les représentants les plus connus sont le proton et le neutron. Le terme « baryon » vient du grec barys qui signifie « lourd » ; il se réfère au fait que les baryons sont en général plus lourds que les autres types de particules. Les baryons appartiennent à la famille des hadrons, c'est-à-dire qu'ils sont composés de quarks. Les baryons sont composés de trois quarks. En tant qu'hadrons, les baryons sont sensibles à l'interaction forte. Les fermions composés de quarks contiennent donc des hadrons (baryons ou mésons). Les baryons sont donc soumis au principe d’exclusion de Pauli et décrits par la statistique de Fermi-Dirac. Les baryons ont leurs propres antiparticules, les antibaryons, qui sont constitués de trois antiquarks. Le terme « matière baryonique » désigne la matière composée principalement de baryons (en pourcentage de la masse totale). Cela inclut les atomes et donc à peu près la totalité de la matière ordinaire (Baryogénèse). Un hadron est un composé de particules subatomiques régi par l'interaction forte. Dans le modèle standard de la physique des particules, ces particules sont composées de quarks et/ou d'anti quarks ainsi que de gluons (Hadron). Un quark est une particule élémentaire et un constituant de la matière observable. Les quarks se combinent entre eux pour former des hadrons, particules composites dont les protons et les neutrons sont des exemples connus, parmi bien d'autres. En raison d'une propriété dite de confinement, les quarks ne peuvent être isolés ou observés directement. On les trouve dans certains hadrons tels les baryons ainsi que dans les mesons. En raison du confinement, tout ce que l'on sait des quarks provient indirectement de l'observation des hadrons. Les quarks sont des fermions que la théorie du modèle standard décrit, en compagnie de la famille des leptons, comme les constituants élémentaires de la matière. Ce sont des particules de spin 1⁄2, des fermions en raison du théorème 13 spin-statistique et ils sont les plus petites particules connues à ce jour dans la matière (Quarks). En physique, le gluon est le boson responsable de l'interaction forte. Les gluons confinent les quarks ensemble en les liant très fortement. Ils permettent ainsi l'existence des protons et des neutrons, ainsi que des autres hadrons et donc de l'univers que nous connaissons (Gluon) Proton neutron électron Les atomes sont constitués de particules extrêmement minuscules appelés protons, neutrons et électrons. Protons et les neutrons sont dans le centre de l'atome, ils constituent le noyau. Les électrons entourent le noyau. Les protons ont une charge positive. Les électrons ont une charge négative. La charge sur le proton et l'électron sont exactement de la même taille mais opposée. Les neutrons n’ont pas de charge. Des charges opposées attirent protons et électrons. L’antimatière et son mystère (Antimatière Wikipédia) L'antimatière n'existe qu'en quantités infimes dans l'univers local. Les travaux sur l'antimatière consistent en grande partie à expliquer pourquoi cette rareté alors que nécessairement, selon la théorie du Big Bang, la matière et l'antimatière auraient été présentes en quantités égales. L'antimatière est l'ensemble des antiparticules des particules composant la matière classique — celle dont est faite la Terre. Le préfixe « anti- » signifie que l'antimatière est « l'opposée » de la matière. L'opposition se fait au niveau des charges (dont la charge électrique). Suite à la présence de ces deux opposés lors du Big Bang, j’émets l’hypothèse qu’avant la dilatation, dans un relatif équilibre thermique, des valeurs opposées pouvaient s’y retrouver. Ce point d’équilibre par la suite s’est effondré, projetant de puissants flots de matière et de lumière. L'antimatière et la matière, quand elles entrent en contact, peuvent s'annihiler mutuellement. Elles sont alors transformées en énergie radiative (deux photons) suivant la célèbre équation d’Einstein. Pour une particule élémentaire de charge nulle, il est possible d'être sa propre antiparticule Dans ce cas ici le photon n’est 14 pas annihilé. Tout comme le potentiel de l‘interaction forte pourrait avoir sa niche avant le Big Bang, il peut en être de même pour photon. Pour Sakharov, il existe un univers constitué d'antimatière avant l'instant zéro, et de matière après (anti-univers Sakharov wikipédia). Dans l’après Big Bang et ses photons, on se retrouve avec une lumière radiative ayant une capacité de transmission d'énergie impliquant onde et particule. Regard sur l‘avant et l‘après Big Bang Les causes du changement et leurs pertinences. La chaleur est une cause de dilatation autant dans le subatomique que dans le moléculaire. Certaines particules élémentaires constituent des champs de force. Il y a pluralité d’éléments aux influences infinitésimales, à la fois expansives et répulsives. Tout se passe en vase clos. Il n’y a pas de polarité aux particules. Le Big Bang ajoute un potentiel d’énergie (photons), favorisant un rapport entre matière et antimatière. Il y a possibilité d’existence. Le changement de particules entre l‘avant Big Bang et l‘après. De la matière de valeur positive et de l‘antimatière de valeur négative aux quarks positif et antiquarks négatif, constituants subatomique de l’atome. Le léger excédent de matière issue du Big Bang est de 4,9%. Changement à l’instant zéro de la densité et de sa surchauffe en éclats de lumière avec faculté d’interaction. Interaction, appliquée sur l’excédent de matière, par un champ électromagnétisme issue de la lumière. Surchauffe de 10 milliards de degrés qui donne naissance à des photons, quarks, antiquarks et gluons. Base subatomique pour développer les constituants de l’atome, proton positif et neutron négatif. Dans cet éclatement, d’innombrables particules de lumière entrent en collision avec les nouvelles particules, c’est le début de la baryogénèse. La foudre illustre généralement l'énergie à l'état naturel. Paradoxalement elle en contient assez peu. Sa violence vient surtout de la rapidité et de l'extrême localisation du phénomène (Énergie Wikipédia). Violence, rapidité et extrême localisation du phénomène, celui d’un point infiniment petit, de l’avant Big Bang 15 auraient donné des attributs à la lumière lors de la dilation. À petite échelle, y a-til une similarité d’action de la foudre avec le Big Bang ? Dans l’avant Big Bang, c’est à qui prendrait le dessus. D’égalité à inégalité de potentiel, un écart s’est signifié. Avec violence, douée d’énergie inhérente, la lumière surpassant la force répulsive s’est projetée dans l‘infini, initiant espace et temps. Même dans l‘effet, tout comme dans la cause, l’infiniment petit réagit aux écarts de température. S’il y a pareille réaction dans l‘effet, la cause doit en être attribuée d’autant. De l’équilibre thermique à son déséquilibre d’avant le Big Bang, tout est en puissance pour la naissance d’un nouveau monde. Lumière – vie – matière – photon La lumière est une ride ondulatoire de la cinquième dimension qui relie la matière aux dimensions supérieures. C’est le champ électromagnétique. Le photon est l’unité de lumière et de véhicule d’énergie. La lumière présente une dualité en ce sens qu’elle est en même temps onde et particule du fait qu’elle évolue simultanément dans la dimension physique et dans la dimension hyper spatiale. Les objets animés communiquent entre eux par le biais de la lumière qui devient leur véhicule bioénergétique. Le cerveau et le système nerveux communiquent quant à eux par un système de transmission basé sur la lumière. La lumière est en rapport d’harmonique avec les formes sonores et géométriques. Elle est ce qui représente la matière et ce qui transporte l‘information holographique encodée de tout l’Univers. La lumière blanche est la somme de toutes les couleurs. La vie est mouvement. Les influences interactives et attractives le confirment. Par ses qualificatifs, la lumière en soi est vie. L’âme conscientisée, avec capacité d’introspection issue de son vécu, est lumière qui anime sa propre interaction. Comme si c’était inné chez la lumière, dès les premiers instants de l’Univers primordial, celle-ci a démontré une capacité d’interaction forte spécifique au confinement de quarks et antiquarks dans le proton et le neutron. Il s’agit du gluon qui a les influences que la lumière. 16 Tout est accessible par le véhicule de la lumière. Les actions et résultats sont conservés dans le virtuel à caractère holographique par la lumière elle-même. Le fait d’avoir recours à ses propres actions, donne vie et continuité. Elle a accès à des radiations de toutes sortes favorisant agencement et amalgame. En vertu de la plateforme holographe, l’intention du futur s’allie à l’expérience du passé. La matière est lumière solidifiée ou énergie ralentie. La matière est continuellement en interaction avec les photons. Elle est en rapport constant avec la quatrième dimension, celle du temps. Elle avance dans le temps en vertu d’interactions avec les photons. Le photon est un véhicule d’énergie. II est unité de lumière ou quantum d’énergie qui existe dans les sept couleurs (fréquence) de base. Les photons sont les véhicules du champ électromagnétique tout en étant l‘élément transporté. Sur tout ce qui nous entoure, essentielle ou non à la vie, la lumière appose sa signature. L‘humanité et son immanence L’âme du latin « anima » signifie : « ce qui anime ». En référence à cette capacité d’animer, elle est considérée comme le cumul des expériences vécues. L’âme est vue comme un principe spirituel qui existe en soi et s’oppose au corps, synonyme de Dieu. Elle est le principe vital, immanent ou transcendant, de toute entité douée de vie (homme, animal, végétal) (wikipédia). Qu’est-ce qui nous ouvre la porte aux pensées créatives? Notre héritage remonte à la naissance de la lumière. Des vagues et des vagues de particules de lumière animeront l’humanité. L‘âme en soi est particule lumineuse, elle existe depuis le Big Bang. Cette particularité que possède la lumière par sa capacité d’amalgamer la matière et de lui donner vie, nous élèvent au statut de faculté créatrice. En tant qu’étincelles originelles de lumière et animées par le « souffle de vie », elles se sont mise à contribution dans l‘édification des règnes en devenant part de la chose à créer. Lorsque l’intelligence organique et la mémoire génétique étaient bien place, la source de vie que nous sommes s’en extrayaient et allait vers des créations plus belles encore. (Ramtha chap.8, ou texte « de ce UN à la multitude »). Si comparé avec le statut de l‘humanité dans son expérience dans la matière tout ça était de la petite bière pour la particule lumineuse, c’était du connu. 17 Maintenant c’est l‘inconnu pour la particule de lumière, aux prises à composer dans un champ vibratoire ralentie, sans aide, exposé à la survie et aux incitatifs de la chair. La capacité interactive et attractive de la lumière est en chacun de nous. Quand on projette un regard intérieur (d’introspection), cela nous permet d’avoir des pensées créatives. C’est la parcelle de lumière qui nous anime. Elle entre en contact avec le support holographique du cosmos pour les informations relatives aux choses créées ou à créer. l’intention du futur s’allie à l’expérience du passé. Ajoutons que l’homme et le cosmos utilisent la même plateforme cosmique à caractère holographique dans lequel la matière a fait son nid. Corroborons ce support ou lien par cette assertion : « Le petit dans le grand et le grand dans le petit ». Voilà pour la relation entre le cosmos tout entier et l’homme. De la création du cosmos à la faculté créatrice chez l’homme Dans la recherche de la provenance chez l’humanité de la faculté créatrice, de trouver la cause d’où origine l’effet, me fut impossible. La faculté créatrice (particule de lumière) du cosmos, sous la forme humaine, poursuit son expression dans la matière, tout en se conscientisant à un vécu dans celle-ci. Cette faculté créatrice chez l’homme est la même que celle qui a contribué à la création du cosmos. Du virtuel au réel pour l’âme Rien de comparable entre cette participation à la création dans l’énergie du virtuel et ce libre choix d’expérimenter le vécu dans la matière. Sans aucune directive, même le choix d’organiser notre ADN de comportement nous est dévolu. Dans notre développement et notre perception de la matière, nous sommes libres de choisir l’énergie de notre choix, même si elles ont des orientations opposées. Quel beau tracé pour le moi supérieur de nos âmes si comparé avec celui du moi humain découvrant le vécu et les aléas de la matière. La marche n’est pas haute pour la compréhension à atteindre. C’est le trou qui est profond à remonter. Il revient à la faculté créative de composer avec le milieu dans lequel elle a choisi. 18