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La conscience et ses acquis est la relation qu’a l’âme avec le constitutif autant du
réel que du virtuel. L’âme fait office d’amalgame avec la conscience en gestation.
Ainsi va l’expression à l’existence consciente. (Nov. 2015)
Relation de cause à effet – l’eau
L’eau lors d’un réchauffement augmente de volume. En langage plus
scientifique :
lorsqu’on élève la température l’agitation moléculaire donne naissance à
un libre parcours moyen non nul, qui se traduit par une apparente
dilatation. (Anomalie dilatométrique Mécanisme Wikipédia)
le libre parcours moyen est la distance moyenne parcourue par une
particule se déplaçant (telle qu'un atome, une molécule, un photon) entre
deux impacts successifs (collisions) modifiant sa direction, son énergie ou
d'autres propriétés.
Aujourd'hui, on considère que l'énergie interne des systèmes est
constituée d’énergies cinétique et potentielle microscopiques. La chaleur
n'est plus un fluide, c'est un transfert d'énergie désordonnée à l'échelle
microscopique. La capacité calorifique est désormais appelée capacité
thermique (voir capacité thermique Wikipédia).
Il y avait surchauffe. Bien s’en est résulté que l’excès ait fait voler en éclats les
murs de l’absence de créativité pour une présence. L’excès, non plus, n’a pas sa
place dans l’effet. Prêtons un moment de conscience à ce point infiniment petit
de l’avant Big Bang pour imaginer dire : je n’étais pas à l‘aise dans ce réduit.
Le Big Bang – cette singularité initiale – et l’émotion
Le grand mérite revient à Gamow cosmologue russe qui avait eu le premier l’idée
extraordinaire que la matière que nous connaissons avait été fabriquée à un
moment où le cosmos était immensément chaud (85). L’univers avait connu, au
moment de sa création une phase très dense et très chaude. Ce début d’une
violence indescriptible avait dû laisser des traces quelque part (90), tel qu’un
rayonnement primordial (Le visage de Dieu p.91).
De l’avant Big Bang qui initie l’après, du point zéro à l’inimaginable, du vide s’il y
a à l’existence, de l’absence à la présence de particules, de cette singularité à
cette diversité d’éléments subatomiques, de l’équilibre thermique à son
déséquilibre, de l’inconscient au conscient, de ce point inerte à cette intensité, de
ces extrêmes séparés par le mur de Planck, mur ou l’absence devient présence,
ou la nullité passe à la conscience, ou la nuit devient le jour, ou des ténèbres
jaillit la lumière, ou l’inanimé devient animé, ou le moment devient l’effet sans