Soit De la création du cosmos à la faculté créatrice chez l`homme

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Soit
De la création du cosmos à la faculté créatrice chez
l’homme
2
Sujets
De la causalité à une existence consciente au virtuel et au réel
3
Relation de cause à effet – l’eau
5
Le Big Bang - cette singularité initiale – et l’émotion
5
Le Big Bang ne réfère pas à un instant « initial » de l’histoire de l’Univers 7
De cette énergie sombre ou énergie noire d’avant le Big Bang
7
Énergie sombre, matière noire et leur gravitation (Wikipédia)
7
Les débuts de la matière (Wikipédia)
8
Catégories de particules
10
L'interaction forte
10
La baryogénèse de grande unification
11
L’antimatière et son mystère
13
Regard sur l‘avant et l‘après Big Bang
14
Lumière – vie – matière – photon
15
L‘humanité et son immanence
16
Qu’est-ce qui nous ouvre la porte aux pensées créatives?
16
De la création du cosmos à la faculté créatrice chez l’homme
17
Du virtuel au réel pour l’âme
17
3
De la causalité à une existence consciente au virtuel et au réel
Hors de la matière, la conscience existe-t-elle en tant que garde rapproché à
notre âme, cette lumière interactive. Retourne-t-elle dans le monde des esprits ?
La causalité, c'est la relation de cause à effet : par exemple, il y a causalité
entre le ruissellement des eaux et la constitution des cours d'eau. C'est aussi un
principe, philosophique, d'après lequel «tout phénomène a une cause et, dans
les mêmes conditions, la même cause est suivie du même effet.» La cause est
une notion, universelle, désignant ce qui produit l'effet, une force productive
engendrant un effet et se prolongeant en lui. (Wikipédia p.3)
La conscience. La formule de Socrate, tirée de l'oracle de Delphes : « connaistoi toi-même », montre qu'une mauvaise connaissance de soi a un impact sur la
connaissance du monde et réciproquement, puisque nous faisons partie du
monde. En fait, la conscience de soi désigne la conscience de phénomènes
particuliers reliés au concept de soi.
La conscience de soi est la présence de l’esprit à lui-même dans ses
représentations, comme connaissance réflexive du sujet qui se sait percevant.
Par cette présence, un individu prend connaissance, par un sentiment ou une
intuition intérieure, d’états psychiques qu’il rapporte à lui-même en tant que sujet.
Cette réflexivité renvoie à une unité problématique du moi et de la pensée, et à la
croyance tout aussi problématique, que nous sommes à l’origine de nos actes.
(Wikipédia p.3)
L’esprit (wikipédia). En métaphysique et dans les religions, le mot esprit désigne
normalement l'élément immatériel incarné en l'être humain. Par extension se dit
aussi de tous les êtres immatériels supposés doués d'intelligence : Dieu, les
anges, les démons, etc.
Les ondes de torsion ont le potentiel d’initier un changement de paradigme
fondamental. Elles serviraient à combler le fossé entre l’esprit et la matière d’une
manière qui n’a jamais été rendu possible, et valideraient par là même les thèses
des mystiques et occultistes.
Divers chercheurs considèrent ces ondes de torsion comme similaire à la
conscience elle-même. Puisque les ondes de torsion sont une caractéristique
fondamentale et omniprésente du cosmos, nous pouvons alors supposer que
l’âme conscientisée l’est aussi. En tant que valeur virtuelle, elle est une force
réelle et détectable qui peut agir sur l’environnement à la fois localement et à
distance.
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Sol Luckman se réfère à l’énergie de torsion en tant que « lumière intelligente de
l’énergie ou intention émanant de dimensions supérieures» et note qu’il se
distingue à la fois de la gravité et du rayonnement électromagnétique. (Onde de
torsion – clé de la théorie du tout – incluant la conscience. Google p.3)
L’âme (Aristote Wikipédia). La nature tient une place importante dans la
philosophie d'Aristote. Selon lui, les matières naturelles possèdent en ellesmêmes un principe de mouvement (en telos echeïn). Par la suite, la physique est
consacrée à l'étude des mouvements naturels provoqués par les principes
propres de la matière.
Au-delà, pour sa métaphysique, le dieu des philosophes est le premier moteur,
celui qui met en mouvement le monde sans être lui-même mû (pour mouvoir). De
même, tous les vivants ont une âme, mais celle-ci a diverses fonctions. Les
plantes ont seulement une âme animée d'une fonction végétative, celle des
animaux possède à la fois une fonction végétative et sensitive, celle des
hommes est dotée en plus d'une fonction intellectuelle.
En conclusion, le but de cet exercice de recherches est de m’enquérir, au plan
virtuel, s’il existe une influence équivalente à notre présente conscience qui
balise notre destinée dans la matière, c’est oui :
 Si on accepte que l’effet est un continuum de la cause.
 Que le soi est la résultante d’un regard intérieur qui interroge cette lumière
immatérielle évocatrice et constitutive, l’âme.
 À la validation des ondes de torsion, qui comblent le fossé entre l’esprit et
la matière, qu’il y aurait similitude à ceux de l’âme conscientisée ellemême. Puisque les ondes de torsion sont une caractéristique
fondamentale et omniprésente du cosmos, nous pouvons alors supposer
que la conscience dans la matière est un continuum de celle du cosmos.
 Que selon Aristote, l’âme a la fonction d’animer.
 Que Sol Luckman se réfère à l’énergie de torsion en tant que « lumière
intelligente de l’énergie ou d’intention émanant de dimensions
supérieures », unissant âme et sa résultante (conscience).
 Et que dans la constitution des règnes par les particules de lumière s’est
développée une approche référentielle, intuitive et de perception; la
conscience sur laquelle s’appuyer.
Effectivement, la conscience est d’une valeur constituante du cosmos. Tandis
que l’esprit de lumière (l’âme) continue de puiser dans le contenu d’intelligence
cosmique, à la poursuite de sa continuité créative.
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La conscience et ses acquis est la relation qu’a l’âme avec le constitutif autant du
réel que du virtuel. L’âme fait office d’amalgame avec la conscience en gestation.
Ainsi va l’expression à l’existence consciente. (Nov. 2015)
Relation de cause à effet – l’eau
L’eau lors d’un réchauffement augmente de volume. En langage plus
scientifique :
 lorsqu’on élève la température l’agitation moléculaire donne naissance à
un libre parcours moyen non nul, qui se traduit par une apparente
dilatation. (Anomalie dilatométrique Mécanisme Wikipédia)
 le libre parcours moyen est la distance moyenne parcourue par une
particule se déplaçant (telle qu'un atome, une molécule, un photon) entre
deux impacts successifs (collisions) modifiant sa direction, son énergie ou
d'autres propriétés.
 Aujourd'hui, on considère que l'énergie interne des systèmes est
constituée d’énergies cinétique et potentielle microscopiques. La chaleur
n'est plus un fluide, c'est un transfert d'énergie désordonnée à l'échelle
microscopique. La capacité calorifique est désormais appelée capacité
thermique (voir capacité thermique Wikipédia).
Il y avait surchauffe. Bien s’en est résulté que l’excès ait fait voler en éclats les
murs de l’absence de créativité pour une présence. L’excès, non plus, n’a pas sa
place dans l’effet. Prêtons un moment de conscience à ce point infiniment petit
de l’avant Big Bang pour imaginer dire : je n’étais pas à l‘aise dans ce réduit.
Le Big Bang – cette singularité initiale – et l’émotion
Le grand mérite revient à Gamow cosmologue russe qui avait eu le premier l’idée
extraordinaire que la matière que nous connaissons avait été fabriquée à un
moment où le cosmos était immensément chaud (85). L’univers avait connu, au
moment de sa création une phase très dense et très chaude. Ce début d’une
violence indescriptible avait dû laisser des traces quelque part (90), tel qu’un
rayonnement primordial (Le visage de Dieu p.91).
De l’avant Big Bang qui initie l’après, du point zéro à l’inimaginable, du vide s’il y
a à l’existence, de l’absence à la présence de particules, de cette singularité à
cette diversité d’éléments subatomiques, de l’équilibre thermique à son
déséquilibre, de l’inconscient au conscient, de ce point inerte à cette intensité, de
ces extrêmes séparés par le mur de Planck, mur ou l’absence devient présence,
ou la nullité passe à la conscience, ou la nuit devient le jour, ou des ténèbres
jaillit la lumière, ou l’inanimé devient animé, ou le moment devient l’effet sans
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cause (apparente), ou la création prend son élan, ou de ce presque rien qui
passe au tout, ou l’infiniment petit passe au gigantisme et/ou de l’énergie sombre
s’étale matière et lumière. Que d’antagonistes à cette litanie. Tel est le résultat
du Big Bang, de cette singularité initiale.
Pour une analyse comparative, il est difficile de faire un certain lien entre des
extrêmes quant l’on ne peut localiser chez les deux au même instant ou quand
un moment d’existence ne peut se comparer tel que pour l’avant, la source d’une
future lumière (énergie) primordiale à même et l‘après, cette lumière et l‘arrivée
du temps.
Puisque matière est lumière, il faut nécessairement éveiller son entendement ou
sa compréhension que le « Je suis » est lumière. Ce Je suis opère autant dans
le virtuel que le réel mais non dans les deux à la fois. Tout se déroule dans un
état vibratoire à des niveaux différents pour le réel ou le virtuel. Dans le virtuel, il
faut considérer la lumière que l’âme conscientisée utilise est vibrations infinies et
non divisée. Elle peut être utilisée par l’âme conscientisée dans les deux
vibrations illimitées ou limitées.
Le mot thermique signifie une production d’énergie par rayonnement. Dans un
équilibre thermique, derrière le mur de Planck, rien ne bouge. L’équilibre
thermique est un transfert d'énergie thermique d’un corps à un autre corps. Il
représente la situation où entre les deux corps, la température au sein d'un tel
système est uniforme.
Qu’est-ce qui a débalancé l’équilibre thermique ? Un élément subit imprévisible.
Il revient aux physiciens à trouver ce qui a pu déséquilibrer la température au
sein d'un système uniforme, de ce bris d’équilibre occasionnant le Big Bang. Estce un débalancement entre deux états, irrésistible, qui a causé la déflagration ?
Je laisse le soin aux cosmologues de tenter d’élucider la question.
L’émotion. Avant l’instant de celle-ci, l’humain est dans un état d’équilibre. Qu’il
y ait surprise ou décontenancement chez l’humain, c’est comme un état latent ou
à venir qui surgit. L’humain subit une décharge du champ électromagnétique qui
fait varier ses vibrations. L’excès d’énergie excite le cœur. Le virtuel se voit
également débalancé les siennes quand le tout se passe sous forme de
déflagration qui libère un potentiel d’énergie.
Il y a similarité entre l’émotion ressentie et la déflagration imprévisible à la
naissance de l’Univers. Même dans l’énergie il y a la relation de cause à effet.
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Le Big Bang ne réfère pas à un instant « initial » de l’histoire de l’Univers
Il indique seulement que celui-ci a connu une période dense et chaude. De
nombreux modèles cosmologiques décrivent de façons très diverses cette phase
dense et chaude. Le statut de cette phase a d’ailleurs été soumis à maints
remaniements. Dans un de ses premiers modèles, Georges Lemaître, en 1925,
proposait un état initial dont la matière aurait la densité de la matière nucléaire
(1015 g /cm3). Lemaître considérait (à juste titre) qu’il était difficile de prétendre
connaître avec certitude le comportement de la matière à de telles densités, et
supposait que c’étaient la désintégration de ce noyau atomique géant et instable
qui avait initié l’expansion, (hypothèse de l’atome primitif) (Wikipédia).
De cette énergie sombre ou énergie noir d’avant le Big Bang
De cette singularité, les cosmologues essaient d’en découvrir les causes. « Qu’y
avait-il avant le Big Bang » s’interrogeait George Smoot en 1993 dans son livre.
Et la réponse était tombée : « Face à cette question ultime, notre foi dans la
puissance de la science à trouver des explications à la nature vacille ».
Si cette recherche s’avère un échec, comme porte de sortie, on pourra toujours
alléguer que ce fut la seule création de Dieu. Mot étroitement liée à cette notion
de lumière emprisonnée précédant le Big Bang et issue de cette énergie sombre
ou noire qui se comporte comme une force gravitationnelle répulsive (Wikipédia).
Comme le dit si bien Ramtha, une entité souveraine ayant vécu sur terre, dans le
message à un médium ci-après : « La lumière et ses particules dont les âmes en
sont issues seraient la seule création de Dieu en tant que Créateur ». Depuis le
Big Bang, l’avènement des quatre règnes est l’œuvre de ces particules de
lumière conscientisées, les âmes conscientisées (Texte : « De ce Un à la
multitude »/Ramtha).
Cette énergie sombre est une composante majeure représentant environ 68% de
la densité d’énergie totale de l’Univers. Je vous réfère au chapitre 21 du livre
« Le visage de Dieu ».qui fait largement mention d’un – champ – d’une force
étrange venue du fond des temps, avant le Big Bang.
Énergie sombre, matière noire et leur gravitation (Wikipédia)
En cosmologie, l'énergie sombre ou énergie noire (dark energy en anglais) est
une forme d'énergie hypothétique emplissant uniformément tout l'Univers et
dotée d'une pression négative L'existence de l'énergie sombre est nécessaire
pour expliquer diverses observations astrophysiques, notamment l'accélération
de l’expansion de l’Univers détectée au tournant du XXI siècle.
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La matière noire ou matière sombre (traduction de l'anglais dark matter),
parfois aussi nommée de façon plus réaliste matière transparente, désigne une
catégorie de matière hypothétique, invoquée pour rendre compte d'observations
astrophysiques, notamment les estimations de masse des galaxies et des amas
de galaxies et les propriétés des fluctuations du fond diffus cosmologique.
Gravitation. La matière noire se comporte comme une force gravitationnelle
attractive, force qui attire son environnement en regard de sa masse. L’énergie
sombre se comporte comme une force gravitationnelle répulsive (qui repousse
son environnement). L’une est positive, l’autre est négative.
Répartition de la densité d’énergie de l’Univers suite aux données du satellite
Planck. Énergie sombre – 68,3%. Matière noire – 26,8% (non baryonique).
Matière ordinaire – 4,9%.
Les débuts de la matière (Wikipédia)
On appelle particules élémentaires les constituants fondamentaux de l'Univers.
On distingue les particules élémentaires qui ont un spin demi-entier (le spin est à
la base du magnétisme) et obéissent à la Statistique de Fermi-Dirac et au
principe d’exclusion de Pauli. Celles qui ont un spin entier obéissent à la
statistique de Bose-Einstein. Les premières sont appelées fermions et
constituent la matière baryonique. Les secondes sont appelées bosons et
constituent les champs de force ou plutôt d'interactions sans tenir compte de la
gravitation, qu'on n'a pas encore réussi à intégrer au modèle. (Particules
élémentaires)
Les photons sont des « paquets » d’énergie élémentaires, ou quantum de
rayonnement électromagnétique, qui sont échangés lors de l’absorption ou de
l’émission de lumière par la matière. De plus, l’énergie et la quantité de
mouvement (pression de radiation) d’une onde électromagnétique
monochromatique sont égales à un nombre entier de fois celles d’un photon
(photon).
Voici ce qu’a repéré le satellite Planck. Pendant l'inflation, moins de 10-32
seconde après le « temps zéro », des fluctuations (vagues) de densité de
matière et des ondes gravitationnelles (vagues) auraient été engendrées. Les
ondes gravitationnelles, pouvant se propager malgré des densités de matière
élevées, peuvent nous renseigner sur l'état de l'univers avant qu'il ne soit âgé de
10-32 seconde. Il en est pas de même pour la lumière. Il a fallu attendre 380.000
ans pour qu'elle puisse se déplacer dans le cosmos observable (Planck Wikipédia).
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Même s’il a fallu tout ce temps à la lumière d’être observable, il n’en demeure
pas moins que sa capacité interactive était déjà à l’œuvre, tel le gluon qui est
l’un de la famille du boson responsable de l'interaction forte (voir ci-après).
De façon générale, le terme « Big Bang » est associé à toutes les théories qui
décrivent notre Univers comme issu d'une dilatation rapide qui fait penser
(abusivement) à une explosion, et est également le nom associé à cette époque
dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a 13,8 milliards d’années sans que
cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son
histoire (Big Bang Wikipédia).
Gamow réalise en effet que les fortes densités de l’Univers primordial doivent
avoir permis l’instauration d’un équilibre thermique entre les atomes, et par suite
l’existence d'un rayonnement émis par ceux-ci. Ce rayonnement devait être
d’autant plus intense que l'Univers était dense, et devait donc encore exister
aujourd’hui, bien que considérablement moins intense. Ce rayonnement est
appelé aujourd’hui fond diffus cosmologique (fond diffus cosmologique – Big Bang).
L’existence d’un rayonnement de corps noir est facile à expliquer dans le cadre
du modèle du Big Bang : par le passé, l’Univers est très chaud et baigne dans un
rayonnement intense. Sa densité, très élevée, fait que les interactions entre
matière et rayonnement sont très nombreuses, ce qui a pour conséquence que
le rayonnement est thermalisé, c’est-à-dire que son spectre électromagnétique
est celui d’un corps noir (fond diffus cosmologique – Big Bang).
Bien que correspondant à un rayonnement à basse température et peu
énergétique, le fond diffus cosmologique n’en demeure pas moins la plus grande
forme d’énergie électromagnétique de l’Univers : près de 96 % de l’énergie
existant sous forme de photons est dans le rayonnement fossile.
380 000 ans après le Big Bang, alors que l’Univers est mille fois plus chaud et un
milliard de fois plus dense qu’aujourd’hui, les étoiles et les galaxies n’existaient
pas encore. Ce moment marque l’époque où l’Univers est devenu suffisamment
peu dense pour que la lumière puisse s’y propager, essentiellement grâce au fait
que le principal obstacle à sa propagation était la présence d’électrons libres.
Lors de son refroidissement, l’Univers voit les électrons libres se combiner aux
noyaux atomiques pour former les atomes (Recombinaison – Big Bang).
L’univers actuel contient plusieurs formes de matières
 Les photons, c’est-à-dire les particules représentant toute forme de
rayonnement électromagnétique.
 Les neutrinos.
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


La matière baryonique, qui forme les atomes.
Une ou plusieurs formes de matière inconnues en laboratoire mais
prédites par la physique des particules appelées matière noire.
responsable entre autres de la structure des galaxies, bien plus massives
que l’ensemble des étoiles qui les composent,
Une forme d’énergie aux propriétés inhabituelles, appelée énergie noire
ou constante cosmologique, responsable de l’accélération de l‘expansion
de l’Univers observée aujourd’hui (et probablement sans rapport direct
avec l’inflation).
Catégories de particules (Pour plus de détails : texte « Merci à la science »)
On appelle fermions : l’électron, le neutrino et le quark. Ces particules sont des
particules élémentaires ou constituants fondamentaux qui conservent leur
identité première. Elles ont un spin demi-entier et n’occupent pas le même état
quantique. De par leur masse légère, ils font également partie de la famille des
leptons, désignation qui signifie léger. (particules élémentaires Wikipédia).
On appelle bosons : le photon, le gluon et le boson. Ces particules ont un spin
entier à l’exception du boson de Higgs, d’un spin zéro, associé au champ de
Higgs. Ils constituent des champs de force, étant considérées comme des
champs d’interactions. La gravitation n’en fait pas partie (Liste des particules –
Wikipédia).
L'interaction forte (Wikipédia)
L'interaction forte, ou force forte, appelé parfois force de couleur, complète le
modèle standard avec l'interaction électromagnétique et l'interaction faible. Après
un siècle de physique nucléaire, les lois et constantes fondamentales de
l'interaction forte sont toujours inconnues, au contraire des lois de Coulomb et de
Newton. On sait depuis deux millénaires que l'ambre (elektron) frottée attire la
poussière, neutre; pourtant, un proton peut attirer de même un neutron pas si
neutre que cela. La toute première des interactions observées dans l'histoire,
l'interaction gravitationnelle, ajoute sa contribution dans la Grande unification des
quatre interactions fondamentales dont seules celles de l'électricité et de la
gravitation sont connues quantitativement.
Seuls les quarks et les antiquarks (constituants des protons et des neutrons)
sont affectés par cette force forte qui est portée par des bosons appelés gluons
(de la même façon que la force électromagnétique est portée par les photons).
Cette force forte maintient les quarks ensemble pour former les baryons, tels que
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les protons ou les neutrons et pour former les mésons, (nombre pair de quarks et
d'antiquarks). tel les pions ou les kaons de la famille des mésons. Tous les
ensembles de quarks (i.e. les baryons et les mésons) sont nommés hadrons.
L'interaction forte affecte les quarks et les particules constituées de quarks (les
hadrons). Elle n'affecte pas les leptons. L'interaction forte affecte en revanche les
gluons, ce qui fait d'elle la seule interaction fondamentale à affecter les bosons
qui la transportent. En effet, les photons n'ont pas de charge électrique et ne sont
donc pas affectés par les champs électromagnétiques, les gravitons, particules
hypothétiques, sont prévus sans masse, et si les bosons W + et W – de
l'interaction faible possèdent une charge électrique, les conséquences sur
l'interaction faible sont négligeables.
La théorie prévoit que l'intensité de l'interaction forte tend vers zéro quand la
distance tend vers zéro. Le potentiel de l‘interaction forte avait donc sa niche
avant le Big Bang. Le phénomène est appelé liberté asymptomatique, et permet
aux quarks de se déplacer librement au sein des hadrons. Lorsque la distance
augmente, l'intensité de l'interaction forte augmente (contrairement aux autres
forces). En dessus d'une distance limite, l'énergie est suffisante pour créer des
pairs quark-antiquark qui reforment des hadrons. Cette propriété est appelée
confinement de couleur.
Dans les années 1970 les protons et neutrons étaient considérés comme les
particules élémentaires et l'expression interaction forte désignait ce qu'on appelle
aujourd'hui la force nucléaire.
La baryogénèse de grande unification (qui réunit les quatre forces)
En cosmologie, la baryogénèse désigne une ou des périodes de formation des
baryons lors de l'univers primordial. Ainsi, d'après la théorie du Big Bang, lors
des premiers instants de l'Univers, ce dernier était trop chaud pour permettre
l'existence de la matière. Cette dernière ce serait formée à partir du moment où
l'Univers est devenu suffisamment froid pour ce faire. L'époque de la
baryogénèse n'est pas connue avec certitude. Elle se situerait entre 10 -32 et 10-12
seconde après le Big Bang. Une fraction de fraction de seconde.
Les principales hypothèses situent la baryogénèse dans deux ères : La
baryogénèse de grande unification, qui se produirait pendant, ou peu après
l'ère de grande unification, et la baryogénèse électrofaible, qui se produirait
lors de la transition électrofaible.
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À la suite de ce processus, on constate une asymétrie entre la matière et
l'antimatière, au minimum dans la répartition spatiale, qui permet l'existence de la
matière.
Un baryon est, en physiques des particules, une catégorie de particules, dont
les représentants les plus connus sont le proton et le neutron. Le terme
« baryon » vient du grec barys qui signifie « lourd » ; il se réfère au fait que les
baryons sont en général plus lourds que les autres types de particules.
Les baryons appartiennent à la famille des hadrons, c'est-à-dire qu'ils sont
composés de quarks. Les baryons sont composés de trois quarks. En tant
qu'hadrons, les baryons sont sensibles à l'interaction forte.
Les fermions composés de quarks contiennent donc des hadrons (baryons ou
mésons). Les baryons sont donc soumis au principe d’exclusion de Pauli et
décrits par la statistique de Fermi-Dirac.
Les baryons ont leurs propres antiparticules, les antibaryons, qui sont constitués
de trois antiquarks.
Le terme « matière baryonique » désigne la matière composée principalement de
baryons (en pourcentage de la masse totale). Cela inclut les atomes et donc à
peu près la totalité de la matière ordinaire (Baryogénèse).
Un hadron est un composé de particules subatomiques régi par l'interaction
forte. Dans le modèle standard de la physique des particules, ces particules sont
composées de quarks et/ou d'anti quarks ainsi que de gluons (Hadron).
Un quark est une particule élémentaire et un constituant de la matière
observable. Les quarks se combinent entre eux pour former des hadrons,
particules composites dont les protons et les neutrons sont des exemples
connus, parmi bien d'autres. En raison d'une propriété dite de confinement, les
quarks ne peuvent être isolés ou observés directement. On les trouve dans
certains hadrons tels les baryons ainsi que dans les mesons. En raison du
confinement, tout ce que l'on sait des quarks provient indirectement de
l'observation des hadrons.
Les quarks sont des fermions que la théorie du modèle standard décrit, en
compagnie de la famille des leptons, comme les constituants élémentaires de la
matière. Ce sont des particules de spin 1⁄2, des fermions en raison du théorème
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spin-statistique et ils sont les plus petites particules connues à ce jour dans la
matière (Quarks).
En physique, le gluon est le boson responsable de l'interaction forte. Les gluons
confinent les quarks ensemble en les liant très fortement. Ils permettent ainsi
l'existence des protons et des neutrons, ainsi que des autres hadrons et donc de
l'univers que nous connaissons (Gluon)
Proton neutron électron
 Les atomes sont constitués de particules extrêmement minuscules
appelés protons, neutrons et électrons.
 Protons et les neutrons sont dans le centre de l'atome, ils constituent le
noyau.

Les électrons entourent le noyau.

Les protons ont une charge positive.

Les électrons ont une charge négative.

La charge sur le proton et l'électron sont exactement de la même taille
mais opposée.
 Les neutrons n’ont pas de charge.
 Des charges opposées attirent protons et électrons.
L’antimatière et son mystère (Antimatière Wikipédia)
L'antimatière n'existe qu'en quantités infimes dans l'univers local. Les travaux
sur l'antimatière consistent en grande partie à expliquer pourquoi cette rareté
alors que nécessairement, selon la théorie du Big Bang, la matière et
l'antimatière auraient été présentes en quantités égales.
L'antimatière est l'ensemble des antiparticules des particules composant la
matière classique — celle dont est faite la Terre. Le préfixe « anti- » signifie que
l'antimatière est « l'opposée » de la matière. L'opposition se fait au niveau des
charges (dont la charge électrique).
Suite à la présence de ces deux opposés lors du Big Bang, j’émets l’hypothèse
qu’avant la dilatation, dans un relatif équilibre thermique, des valeurs opposées
pouvaient s’y retrouver. Ce point d’équilibre par la suite s’est effondré, projetant
de puissants flots de matière et de lumière.
L'antimatière et la matière, quand elles entrent en contact, peuvent s'annihiler
mutuellement. Elles sont alors transformées en énergie radiative (deux photons)
suivant la célèbre équation d’Einstein. Pour une particule élémentaire de charge
nulle, il est possible d'être sa propre antiparticule Dans ce cas ici le photon n’est
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pas annihilé. Tout comme le potentiel de l‘interaction forte pourrait avoir sa niche
avant le Big Bang, il peut en être de même pour photon.
Pour Sakharov, il existe un univers constitué d'antimatière avant l'instant zéro, et
de matière après (anti-univers Sakharov wikipédia).
Dans l’après Big Bang et ses photons, on se retrouve avec une lumière radiative
ayant une capacité de transmission d'énergie impliquant onde et particule.
Regard sur l‘avant et l‘après Big Bang
Les causes du changement et leurs pertinences.
 La chaleur est une cause de dilatation autant dans le subatomique que
dans le moléculaire.
 Certaines particules élémentaires constituent des champs de force.
 Il y a pluralité d’éléments aux influences infinitésimales, à la fois
expansives et répulsives.
 Tout se passe en vase clos.
 Il n’y a pas de polarité aux particules.
 Le Big Bang ajoute un potentiel d’énergie (photons), favorisant un rapport
entre matière et antimatière. Il y a possibilité d’existence.
Le changement de particules entre l‘avant Big Bang et l‘après.
 De la matière de valeur positive et de l‘antimatière de valeur négative aux
quarks positif et antiquarks négatif, constituants subatomique de l’atome.
 Le léger excédent de matière issue du Big Bang est de 4,9%.
 Changement à l’instant zéro de la densité et de sa surchauffe en éclats de
lumière avec faculté d’interaction.
 Interaction, appliquée sur l’excédent de matière, par un champ
électromagnétisme issue de la lumière.
 Surchauffe de 10 milliards de degrés qui donne naissance à des photons,
quarks, antiquarks et gluons. Base subatomique pour développer les
constituants de l’atome, proton positif et neutron négatif.
 Dans cet éclatement, d’innombrables particules de lumière entrent en
collision avec les nouvelles particules, c’est le début de la baryogénèse.
La foudre illustre généralement l'énergie à l'état naturel. Paradoxalement elle en
contient assez peu. Sa violence vient surtout de la rapidité et de l'extrême
localisation du phénomène (Énergie Wikipédia). Violence, rapidité et extrême
localisation du phénomène, celui d’un point infiniment petit, de l’avant Big Bang
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auraient donné des attributs à la lumière lors de la dilation. À petite échelle, y a-til une similarité d’action de la foudre avec le Big Bang ?
Dans l’avant Big Bang, c’est à qui prendrait le dessus. D’égalité à inégalité de
potentiel, un écart s’est signifié. Avec violence, douée d’énergie inhérente, la
lumière surpassant la force répulsive s’est projetée dans l‘infini, initiant espace et
temps.
Même dans l‘effet, tout comme dans la cause, l’infiniment petit réagit aux écarts
de température. S’il y a pareille réaction dans l‘effet, la cause doit en être
attribuée d’autant. De l’équilibre thermique à son déséquilibre d’avant le Big
Bang, tout est en puissance pour la naissance d’un nouveau monde.
Lumière – vie – matière – photon
La lumière est une ride ondulatoire de la cinquième dimension qui relie la
matière aux dimensions supérieures. C’est le champ électromagnétique. Le
photon est l’unité de lumière et de véhicule d’énergie.
La lumière présente une dualité en ce sens qu’elle est en même temps onde et
particule du fait qu’elle évolue simultanément dans la dimension physique et
dans la dimension hyper spatiale. Les objets animés communiquent entre eux
par le biais de la lumière qui devient leur véhicule bioénergétique. Le cerveau et
le système nerveux communiquent quant à eux par un système de transmission
basé sur la lumière.
La lumière est en rapport d’harmonique avec les formes sonores et
géométriques. Elle est ce qui représente la matière et ce qui transporte
l‘information holographique encodée de tout l’Univers. La lumière blanche est la
somme de toutes les couleurs.
La vie est mouvement. Les influences interactives et attractives le confirment.
Par ses qualificatifs, la lumière en soi est vie.
L’âme conscientisée, avec capacité d’introspection issue de son vécu, est
lumière qui anime sa propre interaction.
Comme si c’était inné chez la lumière, dès les premiers instants de l’Univers
primordial, celle-ci a démontré une capacité d’interaction forte spécifique au
confinement de quarks et antiquarks dans le proton et le neutron. Il s’agit du
gluon qui a les influences que la lumière.
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Tout est accessible par le véhicule de la lumière. Les actions et résultats sont
conservés dans le virtuel à caractère holographique par la lumière elle-même. Le
fait d’avoir recours à ses propres actions, donne vie et continuité. Elle a accès à
des radiations de toutes sortes favorisant agencement et amalgame. En vertu de
la plateforme holographe, l’intention du futur s’allie à l’expérience du passé.
La matière est lumière solidifiée ou énergie ralentie. La matière est
continuellement en interaction avec les photons. Elle est en rapport constant
avec la quatrième dimension, celle du temps. Elle avance dans le temps en vertu
d’interactions avec les photons.
Le photon est un véhicule d’énergie. II est unité de lumière ou quantum
d’énergie qui existe dans les sept couleurs (fréquence) de base. Les photons
sont les véhicules du champ électromagnétique tout en étant l‘élément
transporté. Sur tout ce qui nous entoure, essentielle ou non à la vie, la lumière
appose sa signature.
L‘humanité et son immanence
L’âme du latin « anima » signifie : « ce qui anime ». En référence à cette
capacité d’animer, elle est considérée comme le cumul des expériences vécues.
L’âme est vue comme un principe spirituel qui existe en soi et s’oppose au corps,
synonyme de Dieu. Elle est le principe vital, immanent ou transcendant, de toute
entité douée de vie (homme, animal, végétal) (wikipédia).
Qu’est-ce qui nous ouvre la porte aux pensées créatives?
Notre héritage remonte à la naissance de la lumière. Des vagues et des vagues
de particules de lumière animeront l’humanité.
L‘âme en soi est particule lumineuse, elle existe depuis le Big Bang. Cette
particularité que possède la lumière par sa capacité d’amalgamer la matière et
de lui donner vie, nous élèvent au statut de faculté créatrice.
En tant qu’étincelles originelles de lumière et animées par le « souffle de vie »,
elles se sont mise à contribution dans l‘édification des règnes en devenant part
de la chose à créer. Lorsque l’intelligence organique et la mémoire génétique
étaient bien place, la source de vie que nous sommes s’en extrayaient et allait
vers des créations plus belles encore. (Ramtha chap.8, ou texte « de ce UN à la
multitude »).
Si comparé avec le statut de l‘humanité dans son expérience dans la matière
tout ça était de la petite bière pour la particule lumineuse, c’était du connu.
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Maintenant c’est l‘inconnu pour la particule de lumière, aux prises à composer
dans un champ vibratoire ralentie, sans aide, exposé à la survie et aux incitatifs
de la chair.
La capacité interactive et attractive de la lumière est en chacun de nous. Quand
on projette un regard intérieur (d’introspection), cela nous permet d’avoir des
pensées créatives. C’est la parcelle de lumière qui nous anime. Elle entre en
contact avec le support holographique du cosmos pour les informations relatives
aux choses créées ou à créer. l’intention du futur s’allie à l’expérience du passé.
Ajoutons que l’homme et le cosmos utilisent la même plateforme cosmique à
caractère holographique dans lequel la matière a fait son nid. Corroborons ce
support ou lien par cette assertion : « Le petit dans le grand et le grand dans le
petit ». Voilà pour la relation entre le cosmos tout entier et l’homme.
De la création du cosmos à la faculté créatrice chez l’homme
Dans la recherche de la provenance chez l’humanité de la faculté créatrice, de
trouver la cause d’où origine l’effet, me fut impossible. La faculté créatrice
(particule de lumière) du cosmos, sous la forme humaine, poursuit son
expression dans la matière, tout en se conscientisant à un vécu dans celle-ci.
Cette faculté créatrice chez l’homme est la même que celle qui a contribué à la
création du cosmos.
Du virtuel au réel pour l’âme
Rien de comparable entre cette participation à la création dans l’énergie du
virtuel et ce libre choix d’expérimenter le vécu dans la matière. Sans aucune
directive, même le choix d’organiser notre ADN de comportement nous est
dévolu. Dans notre développement et notre perception de la matière, nous
sommes libres de choisir l’énergie de notre choix, même si elles ont des
orientations opposées.
Quel beau tracé pour le moi supérieur de nos âmes si comparé avec celui du moi
humain découvrant le vécu et les aléas de la matière. La marche n’est pas haute
pour la compréhension à atteindre. C’est le trou qui est profond à remonter. Il
revient à la faculté créative de composer avec le milieu dans lequel elle a choisi.
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