Le Céphale printemps 2014

N°26 PRINTEMPS
2014
Le Céphale
Journal de l’association
Pour la participation et la transmission de notre patrimoine naturel
aux générations futures
Publié par Perennis – N° de SIRET : 491 316 469 00023
Sommaire
La nature dans l’assiette
La Capucine - La rose
Echo …logique
Enfin le printemps : les stomates
Enquête sur les insectes et l’éclairage nocturne
Zoom sur une espèce
Les zygènes
2
4
14
Vie de l’association
16
A venir
21
Chasse aux œufs au Moulin de Préziers
Fête de la Nature 2014, autres sorties
2
Bonjour,
Comme un diable au fond de sa boîte,
Le bourgeon s’est tenu caché …
Mais dans sa prison trop étroite
Il baille et voudrait respirer.
Il entend des chants, des bruits d’ailes,
Il a soif de grand jour et d’air …
Il voudrait savoir les nouvelles,
il fait craquer son corset vert.
Puis d’un geste brusque, il déchire
Son habit étroit et trop court
« enfin se dit-il, je respire
Je vis, je suis libre, … bonjour !
Paul Géraldy (1885-1983)
La nature dans l’assiette
0
3
Par Roland PONTOIZEAU
LA CAPUCINE
De la famille des Tropéolacées, son goût est le
plus prononcé de toutes les fleurs comestibles.
Les capucines, de couleurs très variées, sont
aussi appelées « Belles du Pérou » en référence
à leur origine, elles sont importées dès 1686.
La saveur de la capucine est subtilement poivrée
avec un goût qui rappelle celui du cresson. Ses
propriétés médicinales sont stimulantes, apéritives et
digestives car la fleur est riche en vitamine C.
Les fleurs ont la particularité d'être profondément
divisées en 5 lobes dont le supérieur se prolonge en
éperon. Les pétales, soulignés de légères lignes noires,
sont de couleurs variées, jaune, orange ou écarlate.
Potage aux fleurs de capucine : (d'après : Bonnes à
croquer, de Gilbert Fabian, Équinoxe)
Préparer un bouillon aux pommes de terre en faisant cuire pendant 20 minutes
500 g de pommes de terre coupées en dés dans un litre de lait salé et poivré, 25g
de beurre et un peu de noix de muscade.
Passer le tout au moulin à légumes. Ajouter 20 feuilles de capucine et quelques
brins de persil. Reprendre la cuisson pendant 5 à 10 minutes puis jeter 20 fleurs
de capucine, arrêter la cuisson, bien mélanger et servir aussitôt, arrosé d'un filet
d'huile d'olive.
Fleurs de capucine farcies : (d’après http://www.recettes-cuisine-economique.com)
Avant tout, bien rincer les fleurs puis les poser béantes sur un torchon propre,
éperons en l'air, tiges sectionnées à 1 cm du calice. Pendant que nos capucines
sèchent, nous leur préparons une farce à ma façon :
- Écrasez à la fourchette la moitié d'une petite boîte de miettes de saumon.
- Ajoutez du fromage frais qui a de la tenue (St Môret, Philadelphia... ou leurs
copies discount).
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- Mélangez bien les 2 ingrédients en ajoutant seulement du poivre (ou une pointe
de piment d'Espelette) et assouplissez le tout avec un peu de jus de citron.
- Remplissez les fleurs, c'est-à-dire : Prenez un peu de garniture à l'aide d'une
cuiller, roulez-la entre vos paumes de mains en l'ovalisant, placez-la au cœur de
la fleur.
- Au moment de replier les pétales sur la garniture, "bouchez" chaque fleur avec
une câpre.
Disposez des grandes feuilles de capucine sur des assiettes plates et couchez les
capucines farcies dessus. À l'apéro, se sera du plus bel effet sur les citadins qui
détestent la campagne !
0 LA ROSE (d’après http://www.recettes-cuisine-economique.com)
RECETTE DE SIROP DE ROSE
Pressez le jus d'1/2 citron Mesurez 2
verres d'eau + 2 verres de sucre pure
canne blanc + 2 verres de pétales
parfumés. Lavez les pétales et retirez la
partie amère (couper la partie inférieure
blanche )
Portez l'eau et le sucre à ébullition, le
sucre doit être totalement dissout et le liquide doit former des grosses bulles.Ajoutez les pétales et le jus de citron dans le sirop, maintenez l'ébullition 10
minutes.- Coupez le feu, couvrir la casserole avec un linge fin et propre.- N'y
touchez plus pendant 24 heures puis filtrez et mettez en flacon bien bouché. Se
conserve de préférence au frigo.
LE VINAIGRE DE ROSE.
Bien sûr il faudra trouver une ou deux roses foncées et très, très parfumées les
pétales sont préparés et sont mis dans un bocal en verre. On peut leur ajouter
quelques grains de poivre, un peu d'ail émincé, un morceau d'échalote, quelques
graines de coriandre.
Couvrez le tout avec le vinaigre balsamique blanc ( pas de vinaigre d’alcool !):, ce
vinaigre macérera au moins 21 jours et on obtiendra un parfum optimum en
renouvelant les pétales par des frais au bout d'une dizaine de jours.
Vinaigre magique aux reflets rubis sur une salade blanche : chou blanc, céleri
rave, radis noir râpé, endive.
Echo … Logique
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Par Marie-Paule ANCELIN
Enfin le printemps !
Les feuilles d’un vert tendre nous saluent mais comment fonctionnent-elles ?
Quelles énergies secrètes se développent au sein des feuilles ??
Voici quelques extraits du site www.aucoeurdelarbre.ca/fr pour se reploger dans
l’univers du vert …
Les feuilles possèdent des nervures qui ressemblent à des veines. Cette analogie
ne s’arrête pas à la ressemblance visuelle, car les veines et les nervures
effectuent des tâches similaires : le transport d’éléments essentiels à l’individu.
Les nervures « irriguent » les feuilles.
Elles contiennent les tissus conducteurs : le xylème, qui apporte aux cellules de la
feuille l’eau et les éléments nutritifs dont elles ont besoin, et le phloème, qui
repart vers le reste de l’arbre gorgé des sucres produits lors de la photosynthèse.
Les nervures ont cependant une deuxième responsabilité que n’ont pas les
veines : elles font aussi office de squelette. Elles soutiennent la feuille et
l’empêchent de s’affaisser
sous son propre poids,
tout comme les os
forment notre charpente.
L’arbre est un funambule,
qui
recherche
constamment l’équilibre
entre gains de carbone et
pertes d’eau. Ses feuilles,
qui captent le gaz
carbonique de l’air lors de
la
photosynthèse,
perdent du même coup
de l’eau par transpiration. Afin de gérer très précisément ces échanges gazeux,
les feuilles les confinent dans des minuscules grottes, les chambres sousstomatiques, dont l’entrée est contrôlée par des cellules en forme de beigne, les
cellules de garde, qui s’ouvrent ou se ferment sur commande et laissent
apparaître un orifice vers l’extérieur appelé stomate.
2
Les arbres peuvent posséder de 1 400 jusqu’à plus de 100 000 stomates par cm
de feuille!
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Les stomates
Un stomate est un orifice de petite taille
présent dans l'épiderme des organes
2
1
cm
, c’est environ la
aériens des végétaux (sur la face
superficie d’un seul de vos
inférieure des feuilles le plus souvent). Il
ongles... Et même à une telle
permet les échanges gazeux entre la
quantité, les stomates sont si
plante et l'air ambiant (dioxygène,
minuscules qu’ils ne
dioxyde de carbone, vapeur d'eau...)
représentent que 1 à 2 % de la
ainsi que la régulation de la pression
surface de la feuille. C’est tout
osmotique.
de même par là que l’arbre
évacue
Les stomates sont ouverts en journée : la
capture du carbone pour la photosynthèse
s’effectue lorsqu’il y a de la lumière. Par contre,
certains arbres les referment lorsque le soleil du midi
plombe : la feuille transpirerait trop.
90 % de son eau!
A l’origine
L'apparition des stomates est une
conséquence de la vie terrestre, la
sortie du milieu marin imposant un
contrôle des déperditions hydriques
de l'organisme.
Celui-ci se protège par la cuticule
(couche cireuse), étanche aux
échanges gazeux. D'où la nécessité
de structures particulières, les
stomates.
Fig a : Stomate ouvert
Fig b : Stomate fermé
1 cellule épidermique
2 cellule de garde
3 ostiole
4 Ions K+
5 Eau
6 vacuole
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Le rôle
Les stomates sont utilisés par les plantes pour réaliser des échanges de gaz avec
leur milieu. L'air contenant le dioxyde de carbone et le dioxygène entre par
l'ouverture du stomate, l'ostiole, pour être utilisé dans la photosynthèse et la
respiration.
photo : Stomate ouvert (2900 x)
L'oxygène est un déchet produit par la
photosynthèse dans les cellules du
chlorenchyme (cellules du parenchyme
contenant des chloroplastes) ; il est expulsé
par ces mêmes ouvertures. En outre, la
vapeur
d'eau
est
dégagée
dans
l'atmosphère par ces pores durant la phase
de transpiration des plantes, que l'on
appelle évapotranspiration.
Ce dégagement d'eau provoque une tension sur
la colonne d'eau dans le
xylème qui est le principal moteur pour faire monter la sève brute jusqu'en
haut de l'arbre.
Cire antisudorifique
La feuille doit s’assurer que les échanges
gazeux n’ont pas lieu ailleurs qu’à travers
les stomates. À quoi servirait de fermer ses
stomates pour conserver son eau, si la
feuille en perdait autant ailleurs? Ce serait
comme utiliser un boyau d’arrosage criblé
de trous. On arroserait partout, pas très
efficace!
C’est pourquoi les feuilles sont recouvertes
d’une couche cireuse, la cuticule, qui imperméabilise la feuille (en blanc sur
l’image ci-contre). Le gaz carbonique ne peut pas pénétrer, mais la feuille limite
fortement ses pertes d’eau. Les échanges gazeux doivent ainsi transiter par la
partie de la feuille sur laquelle l’arbre a une influence, les stomates.
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Un poil dans sa soupe
Les feuilles peuvent aussi être couvertes, en partie ou en totalité, de petits poils.
Dans les milieux secs, les poils aident la feuille à conserver autour d’elle une
couche d’humidité protectrice. Lorsque les stomates s’ouvrent, ils perdent moins
d’eau par transpiration, car la couche d’air directement collée sur la feuille est
plus humide que l’air ambiant.
Comme beaucoup d’insectes trouvent la feuille particulièrement savoureuse,
l’arbre peut aussi se servir de poils pour tenter de les repousser.
Un chevreuil n’y verra pas grande différence, mais un insecte avec une bouche
nettement plus petite n’appréciera pas du tout! Un poil dans votre soupe?
Désagréable. Une perruque complète? Plutôt indigeste...
Photo : poils à la surface d’une feuille
de noyer.
Echo … logique
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ENQUETE Participative Muséum National d’Histoire Naturelle
L’enquête « Insectes et Ciel étoilé » a pour objectif
d’évaluer l’impact de la pollution lumineuse sur la
biodiversité, en couplant l’observation des étoiles à
celle des insectes nocturnes.
On pourrait penser que la nature dort la nuit, mais
c’est tout le contraire ! En effet, l’environnement
nocturne est d’une diversité extraordinaire : il
existe en France métropolitaine près de 20 fois plus
d’espèces de papillons actifs la nuit que de
papillons de jour et, par nuit noire, on peut voir
l’été près de 2 000 étoiles dans le ciel !
Hors, les étoiles sont de moins en moins visibles
dans les grandes agglomérations. L’éclairage artificiel nocturne s’est en effet
fortement développé en France et représente aujourd’hui près de 40 % de la
facture d’électricité des communes. Un certain nombre d’études montrent par
ailleurs que de nombreux organismes sont impactés par la pollution lumineuse
(oiseaux, chauves-souris, reptiles...).
Q
d’Astronomie dans le cadre du
programme de sciences
participatives Vigie -Nature.
u’en
est-il
des
insectes
nocturnes et comment évaluer cet
impact ? C’est à cette question que
vous propose de répondre l’enquête
participative « Insectes et Ciel étoilé
», un projet initié par Noé
Conservation, le Muséum National
d’Histoire naturelle et l’Association
Française
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Ouverte à tous, cette enquête ne nécessite
ni matériel compliqué, ni compétences préalables
en astronomie ou en entomologie
Un ensemble de guides gratuits est à disposition pour vous aider à reconnaître les insectes
et les étoiles. Vous pouvez le télécharger à l’adresse lien ci-dessous en version complète
ou bien sélectionner uniquement les parties dont vous avez besoin .
http://vigienature.mnhn.fr/insectes-et-ciel-etoile
A gauche : extrait de fiche d’aide du programme
Ci-dessus à droite : Le grand Paon de Nuit
observé le 13 avril 2014 rue du Four à St TRojan - Photo prise par une de nos
adhérentes , il mesure 13 cm d’envergure
Pollution lumineuse
Le ciel étoilé est de moins en moins visible au cœur des agglomérations. D’après
le premier atlas de la pollution lumineuse, sont concernés :- au niveau mondial,
19% des terres émergées et 62% de la population ;- à l’échelle de la France, 99%
du territoire et 100% de la population.
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Les éclairages artificiels, qui répondent à des enjeux de sécurité ou d’esthétique
pour les communautés humaines, représentent près de 40% de la facture
d’électricité des communes.
Et lorsqu’ils sont excessifs ou inadaptés, ils contribuent à la pollution lumineuse,
qui augmente en moyenne de 6% par an
Des réponses contrastées
La lumière et ses cycles journaliers ou saisonniers ont conditionné l’apparition,
chez les organismes vivants, de systèmes visuels et de photorécepteurs, ainsi que
d’horloges biologiques conduisant à une certaine représentation spatiale et
temporelle de leur environnement. Modifier ces cycles naturels, par un ajout de
lumière artificielle, altérerait donc leur perception innée du milieu naturel.
La lumière artificielle modifie notamment le sens de l’orientation de certaines
espèces. La réponse à la lumière peut être attractive, comme chez certains
insectes nocturnes et oiseaux migrateurs, ou répulsive, comme chez les
mammifères nocturnes et notamment certaines espèces de chauves-souris. À ce
propos, il est étonnant de constater que la Pipistrelle commune, espèce à vol
rapide très caractéristique de nos villes, profite de la manne de nourriture que
constituent les insectes agglutinés autour des lampadaires.
A contrario, le Grand rhinolophe, qui peuple les combles des vieux édifices, est
lucifuge, c’est-à-dire qu’il fuit systématiquement la lumière et évite tout
déplacement croisant des continuités lumineuses.
La lumière artificielle perturberait aussi la communication entre individus,
notamment en période de reproduction. Ainsi, chez les amphibiens, les fortes
illuminations peuvent inhiber les chants nuptiaux. De même, en présence
d’éclairage artificiel, il arrive que les individus se montrent moins sélectifs quant
au choix de leur partenaire afin d’accélérer la vitesse d’accouplement et limiter le
risque de prédation. Or, le succès d’une reproduction passe, entre autres, par la
sélection du partenaire.
Il paraît donc aisé de conclure que la lumière artificielle a un impact sur la
biodiversité.
Cependant, évaluer l’impact réel de la pollution lumineuse s’avère souvent
délicat. Des messages contradictoires subsistent et beaucoup de questions
demeurent en suspens lorsqu’on souhaite l’étudier à l’échelle d’un taxon
(NDLR : Groupe) ou même d’une espèce.
Zoom sur une espèce
O
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LES ZYGENES
Bien que les zygènes aient une activité essentiellement diurne, la présence d'un
frein entre les ailes postérieures et antérieures les classe parmi les hétérocères
ou papillons de nuit.
Il existe un nombre très important d'espèces de zygènes et surtout de variations
au sein des taxons décrits.
En effet, la disposition et la taille des taches varient beaucoup au sein de
certaines espèces. Cinq ou six espèces seulement sont plutôt communes. Les
chenilles des zygènes se ressemblent beaucoup et sont pratiquement impossibles
à distinguer les unes des autres autrement que par la plante hôte sur laquelle on
la découvre
Cependant, les plantes fréquentées par les adultes sont de bonnes indications
pour la détermination. La zygène de la filipendule s'observe presque toujours sur
des centaurées et des scabieuses. (photo ci-dessous)
La zygène de la filipendule est
abondante dans les lieux riches en
graminées et fleuris, jusqu'à 2000 m
d'altitude.
Pas de camouflage ? La zygène est un papillon aposématique, car il se signale
par ses couleurs comme toxique aux prédateurs, comme les oiseaux et les
lézards. En cas d'attaque, elle émet un liquide contenant du cyanure et
différents alcaloïdes toxiques.
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Quelques clichés par Philippe FERON, adhérent de Perennis
La zygène de la bruyère ( dite aussi de la petite
coronnille)
Zygaena fausta
Reconnaissable à son collier rouge/orange, des
tâches rouges ou orange étendues, ainsi qu’un
anneau abdominal rouge complet
Les zygènes peuvent être observées dans tous
les milieux à partir de Mai jusqu’en Septembre.
Dans le cadre de l’étude des papillons sur une
dizaine de zones de la Ville de Cognac, nous
faisons appel à vos observations pour toutes les
zygènes que vous pourriez rencontrer
au Parc
er
François 1 et au Bois du Portail ou près de chez
vous….
Maxime, stagiaire de niveau Master en stage sur les papillons attend vos observations dans
la Boite aux lettres du local ou à l’adresse mail.
Envoyez nous vos photos à [email protected] avec la date d’observation et la
localisation sur la commune.
Merci
La vie de l’association
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Par Jérôme BELLIET
O 100 % CHLOROPHYLLE Chasse aux œufs et quizz nature
Pour la première sortie de cette édition 2014, pilotée par Grand Cognac
Communauté de communes, le programme 100% Chlorophylle offrait la
possibilité de réaliser la traditionnelle chasse aux œufs dans la verdure de
l’Antenne, à proximité du Moulin de Préziers.
Perennis a ajouté à cette sortie chocolatée, une touche nature et printanière,
dont voici la recette et les résultats :
Les Ingrédients :
Un beau coin de nature
Du soleil sous forme d’éclaircies
De blancs nuages montés en neige
6 à 8 ateliers nature : quizz, puzzle, reconnaissance tactile, etc.
3 bonnes poignées de participants curieux et gourmands
120 œufs plastiques
10 kg de délices chocolatés : œufs, poules, lapins, cloches
zestes de bonne humeur à volonté
La recette :
Avant l’arrivée des participants, cacher les œufs plastiques et préparez vos
ateliers nature de saison. Vérifiez le soleil ainsi que les nuages qui doivent rester
d’un blanc pur.
1) Lancer la recherche des œufs plastique : chaque participant
rapporte 3 œufs de la même couleur et répond alors à une
énigme nature ou réalise une petite épreuve. En cas de victoire,
il obtient une pièce d’un puzzle. C’est un indice pour trouver
l’emplacement de la chasse aux trésors chocolatés !
2) Lorsque tous les œufs ont été récoltés et les pièces de puzzle
distribués, l’ensemble des participants reconstitue le puzzle.
3) Une poule fondue au soleil !! Des œufs partout au pied des
er
vignes et du chêne de François 1 ! La chasse est ouverte
4) C’est enfin le moment de rajouter quelques zestes de bonne
humeur, voici le temps du partage et de la dégustation !!
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En photos :
Avec cette chasse très animée, les enfants ne peuvent rentrer bredouilles et
les différences d’âges sont gommées par le partage final.
0 JOURNEES NATURE AU BEL AIR du 23 au 24 AVRIL 2014
Avec le soutien financier de
2 JOURNEES D’ANIMATIONS
Découverte de la nature et du ruisseau
traces et indices, jouets buissonniers,
libellules et papillons, cycle de l’eau et
pollutions.
23 avril : 3 participants
24 avril : 20 participants
A venir
16
.
O Fête de la Nature 2014 : jeunes pousses, vieilles branches et herbes
folles
Dans le cadre de cette fête nationale, Perennis participera à deux
évènements :
Vendredi 23 Mai de14h30 à 16h00 à Cognac : explications sur la gestion
différenciée dans les espaces verts dans les quartiers de Cognac et résultats
des relevés d’espèces : capture d’insectes au filet à papillons, petit stand en
partenariat avec le service Espaces verts de la Ville de Cognac.
Vendredi 23 Mai de 19h00 à 21h00 à la Médiathèque de Chaniers (17):
Exposition de photos des adhérents, animation d’un bar débat sur l’eau du
robinet et l’eau en bouteille par Perennis, puis Conteurs et exposition de
peintures pour rêver, philosopher
et poursuivre le débat.
O
Autres sorties
Samedi 31 Mai de 14h00 à 16h30
A l’occasion des rendez-vous aux
jardins, dont le thème cette année
est « l’enfant au jardin », faites de la
nature une grande aire de jeux. A
l’aide de plantes, cailloux et bois ,
venez partager avec vos enfants, le
plaisir de bricoler sifflets, bateaux et
autres jouets buissonniers. GRATUIT
Réservation au 05.45.82.10.71 Office du tourisme de Cognac
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Dimanche 08 Juin de 10h00 à 12h00 à Cherves Richemont
Matinée d’observation des libellules et des oiseaux des étangs d’Orlut à ChervesRichemont.
Venez découvrir le site de la future mare découverte élaborée en partenariat
avec ANLP. Au bord de l’eau, il y a toujours à voir ! Dans la prairie, fleurs et
papillons, libellules n’auront plus de secrets pour vous .
Réservation au 05.45.82.10.71 - Office du tourisme de Cognac
Mercredi 25 Juin de 14h00 à 16h30
Club Nature pour enfants à la demi journée - Tarif unique 5 € pour les adhérents
Thème arbres et cabanes au bord de l’eau
A St Brice : rendez vous devant l’Abbaye de Châtre à 14h00
A Crazannes : rendez vous devant le Château à 14h00
Action financée avec le concours de :
www.eau-adour-garonne.fr
PERENNIS Association pour la préservation du Patrimoine Naturel
9 rue des gabariers 16100 Cognac -  05 16 75 90 84
http://www.perennis-cognac.fr [email protected]