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lérêt dupassé. L'undecespartis, celui desseu-
sualistes,fidèleà Jâ vieille'docirine de Lockeet
de Gondillae,conservateurdesprincipesdu dix-
huitièmesiècle,parti slationnaire et par là même
rétrograde, abandonnéde ses plus habiles in-
terprètes,, nereprésentait plus rien d'actuel. Le
second,celui que M. Daaiiron a appelé l'école
théologicjue,s'efforçaitvainement de réhabiliter
des dogmesdepuis long-teMps abolis; réaction-
naire et rétrogradedans un autre sens, il ne
pouvait, malgrél'éloquencede sesorganeset le
retentissementdesesdoctrines,espérerde rallier
à lui la majoritédesesprits.
Lorsquedeux partis, diviséssur tout le reste,
s'unissentde fait; sinondétention, contre un
troisième,c'est unepreuve quec'estchezcelui-ci
quese trouventle succèset la puissance.La phi-
losophie française était là où était le progrès,
c'est-à-dire,dansl'école quireconnaissaitM.
Cou-
sin poursonchefle plus actif, et quid'ailleurs
s'était appropriétout ce que
lesdeuxautresécoles
renfermaient deplus vrai et de plus social.
Telle fut, il y a peu.d'années,
l'opinion géné-
rale en France et àl'étonger telle est encore
l'opinion1'de' M.'de Schelling.Et quelle philoso-