Manuel de philosophie Classes de Ire (sections B et C)

LIGHT
Manuel de philosophie
Classes de Ire (sections B et C)
´
Edit´e par Raoul Weicker
22015
II
Table des mati`eres
Pr´eface V
I Théorie de la connaissance 1
1 René Descartes 3
1.1 Intuitionetdéduction ................................. 3
1.2 La philosophie comme science universelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.3 Le doute méthodique et la découverte du cogito . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.4 LeMalingénie ..................................... 5
1.5 Clartéetdistinction .................................. 6
1.6 Lemorceaudecire................................... 6
1.7 Quelques exemples d’idées innées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.8 La preuve de l’existence de Dieu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.9 La garantie divine des idées vraies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2 David Hume 11
2.1 Impressionsetidées .................................. 11
2.2 Les différents degrés de force et de vivacité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3 Deux arguments et la critique de la métaphysique . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.4 Lidéedecausalité ................................... 14
3 Immanuel Kant 17
3.1 Die Krise der herkömmlichen Metaphysik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3.2 Die Umänderung der Denkart . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3.3 Analytische und synthetische Urteile . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
3.4 AnschauungundBegriff ................................ 18
3.5 Folgen der Umänderung der Denkart . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3.6 Erscheinung und Ding an sich selbst . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
II Éthique 21
1 Aristote 23
1.1 Lebienestlan .................................... 23
1.2 Lanestlebonheur.................................. 23
1.3 La fonction spéciale à l’homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
1.4 Lebienpourlhomme ................................. 25
III
IV TABLE DES MATI`
ERES
1.5 Lavertumorale..................................... 26
1.6 Lamédiété ....................................... 26
1.7 Tabledesvertusmorales................................ 27
1.8 Laviecontemplative.................................. 28
1.9 Lavieactive ...................................... 29
1.10Lêtrepolitique..................................... 30
2 Arthur Schopenhauer 31
2.1 Das empirische Fundament der Ethik . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.2 Erste antimoralische Triebfeder: Egoismus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
2.3 Zweite antimoralische Triebfeder: Übelwollen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
2.4 Das Kriterium der Handlungen von moralischem Wert . . . . . . . . . . . . . . . 33
2.5 Die Grundtriebfedern des Handelns überhaupt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
2.6 Die einzige moralische Triebfeder . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
2.7 Die beiden Kardinaltugenden . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
2.8 Die Tugend der Gerechtigkeit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
2.9 Die Tugend der Menschenliebe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
3 John Stuart Mill 37
3.1 Das Nützlichkeitsprinzip . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
3.2 Die Hierarchie der Vergnügen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
3.3 Das Prinzp des größten Glücks . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
3.4 Der Beweis des Nützlichkeitsprinzips . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Pr´eface
Si la philosophie fait partie d’un enseignement classico-humaniste, on doit veiller `a ce que les
auteurs trait´es dans un tel enseignement soient majoritairement des classiques aussi et que les
´el`eves qui parcourent une telle formation puissent s’identifier `a un syst`eme de questions touchant
`a la condition humaine.
Depuis des ann´ees, l’´education nationale, repr´esenee par les professeurs de philosophie, es-
saye avec beaucoup de peine de r´epondre `a ces exigences. Dans ce contexte, il est louable que
l’enseignement de la philosophie n’ait pas encore dˆu c´eder sa place `a des disciplines qui sont, par
des raisons ´economiques ou politiques, plus `a la mode. En effet, l’´ecole publique a non seulement
comme mission de pr´eparer les ´el`eves `a une vie acad´emique ou professionnelle, mais aussi `a la vie
tout court. Il est certes important de savoir calculer, de savoir communiquer en plusieurs langues
ou de disposer d’un savoir technique dans un domaine pr´ecis, mais ce savoir devient, au niveau
sup´erieur de n’importe quel domaine, un savoir d’ordre secondaire ; car celui qui est incapable
de croire en des valeurs morales ou autres, d’analyser, de synth´etiser, de mettre en question, de
douter, de d´econstruire et de reconstruire, restera quelqu’un qui agit sans r´efl´echir, quelqu’un qui
cherche sans innover, quelqu’un qui ex´ecute sans donner du sens. – L’Europe de demain n’aura
pas seulement besoin de salari´es multi-diplˆom´es, mais avant tout d’europ´eens ´eclair´es et respon-
sables, de leaders de petite ou de grande envergure. Depuis des si`ecles, l’exp´erience a montr´e que
l’enseignement de la philosophie, comme science des principes(Aristote), puisse fournir une
ouverture transdisciplinaire en faveur de telles comp´etences.
Or, cet ouvrage constitue seulement une humble contribution `a un tel projet. Sa finalit´e est
avant tout de fournir un parcours bien structur´e aux ´el`eves de Ire qui sont souvent des novices
en une branche qui se dit la plus ˆag´ee et la moins facile `a acc´eder `a la fois. Ce manuel ne veut
pas remplacer l’anthologie περιπατῶν, prescrite par les Horaires et Programmes, qui représente
un recueil plus riche et plus diversifié d’extraits philosophiques. Il se comprend comme un livre
de travail ger facilitant le travail en classe.
Les références bibliographiques ne sont pas énoncées selon des critères scientifiques. Dans la
majorité des cas, les textes sont reproduits selon l’original allemand ou français de la première
édition. S’il s’agit d’une traduction, le nom du traducteur et l’année de la traduction sont indi-
qués à titre informatif. L’auteur s’est réservé toutefois le droit de modifier certaines formulations
en vue d’une modernisation grammaticale, orthographique ou stylistique. Le livre n’est ni vendu
sous forme imprimée, ni destiné à d’autres fins commerciales. Sa publication gratuite par voie
électronique est exclusivement réservée à des fins d’éducation et d’enseignement (conformément
à la Directive 2001/29/CE du Parlement européen et du Conseil du 22 mai 2001 sur l’harmoni-
sation de certains aspects du droit d’auteur et des droits voisins dans la société de l’information).
Luxembourg en septembre 2013 Raoul Weicker
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