CONFÉRENCE DU FORUM DES SAVOIRS “Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.” Voltaire LEIBNIZ ET LA QUESTION DU MAL CONFÉRENCE PAR MICKAËL DUBOST Association ALDÉRAN Toulouse pour la promotion de la Philosophie MAISON DE LA PHILOSOPHIE 29 rue de la digue, 31300 Toulouse Tél : 05.61.42.14.40 Email : [email protected] Site : www.alderan-philo.org conférence N°1000-139 LEIBNIZ ET LA QUESTION DU MAL Comment rendre compte de l’existence du mal dans le meilleur des mondes possibles ? conférence de Mickaël Dubost donnée le 18/06/2004 à la Maison de la philosophie à Toulouse «Rien n’est sans une cause», voilà la grande thèse de Leibniz. Dieu, en tant que cause première, est la cause de tout ce qui est, comme de lui-même. De plus, Dieu étant parfait, le monde qu’il a créé ne peut qu’être le monde le plus parfait qu’il était logiquement possible de créer. Or, l’homme et le philosophe font ce constat : ils souffrent et le monde dans lequel ils vivent est loin d’être parfait à leurs yeux. Le mal apparaît ainsi comme une véritable contradiction : Dieu n’a voulu que le bien, mais le mal, autrement dit ce que Dieu ne peut avoir voulu, semble être omniprésent en son royaume. Dieu ne saurait pourtant être tenu pour le seul et unique responsable du mal : l’homme n’est pas simplement l’objet du mal, mais est souvent lui-même le sujet du mal. Le mal était-il nécessaire ? La faute du mal doitelle être imputée à l’homme ou à Dieu ? Un monde sans mal était-il possible ? Quelle place donner au mal dans notre compréhension de la condition humaine ? Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 2 LEIBNIZ ET LA QUESTION DU MAL «Comment justifier la présence du mal dans le meilleur des mondes possibles ?» PLAN DE LA CONFÉRENCE DE MICKAËL DUBOST I LA NÉCESSITÉ D’UNE JUSTIFICATION 1 - Le principe de raison suffisante 2 - Dieu est parfait A ) L’omniscience divine : Dieu pouvait prévoir le mal B ) L’omnipotence divine : Dieu pouvait éviter le mal C ) La bonté divine : Dieu aurait dû empêcher le mal 3 - Le meilleur des mondes possibles 4 - Le principe de l’harmonie universelle et préétablie II LES TROIS FORMES DU MAL 1 - Le mal métaphysique 2 - Le mal physique 3 - Le mal moral III L’ORIGINE DU MAL 1 - Deux origines écartées A ) Le mal n’a pas une origine théologique B ) Le mal n’a pas une origine physique 2 - Les origines du mal A ) Le péché originel B ) La finitude de l’homme C ) La permission de Dieu IV LES JUSTIFICATIONS DU MAL 1 - L’optimisme leibnizien A ) Leibniz contre la conception tragique des grecs B ) Leibniz contre le pessimisme chrétien C ) Leibniz : un optimiste 2 - Justification métaphysique du mal A ) Le mal, condition du bien B ) Le mal, condition de la liberté C ) Le mal, composante essentielle du monde 3 - Justification du mal physique A ) Justification métaphysique du mal physique B ) Justification du mal physique C ) Le mal physique n’est pas une absolue nécessité Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 3 V LE CONCOURS DE DIEU AU MAL 1 - La difficulté que représente le mal moral 2 - Le concours moral de Dieu au mal et sa justification 3 - Le concours physique de Dieu au mal et sa justification VI CONCLUSION : LE MAL, COMPOSANT ESSENTIEL DE NOTRE MONDE ET CLEF DE VOÛTE DE NOTRE INDIVIDUALITÉ 1 - Le mal, d’abord vécu comme une injustice, trouve une place centrale chez Leibniz 2 - Fondement de l’optimisme leibnizien : il y a plus de bien que de mal en ce monde 3 - Le mal est un moindre mal et le prix à payer pour vivre dans ce monde 4 - Le mal, ou la possibilité pour l’être humain de faire le mal, est le garant de la liberté ORA ET LABORA Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 4 Document 1 : Petite biographie de Leibniz. 1. Gottfried Wilhelm Leibniz, fils d’un juriste professeur d’université, naît le 1° juillet 1646 à Leipzig. Leibniz a très jeune accès à la librairie de son père. Il étudie le grec et le latin, la théologie, la logique, la philosophie scolastique, et découvre dès l’âge de quinze ans les philosophes et savants de son temps : Bacon, Galilée, Descartes, Hobbes etc. 2. Ses années d’études universitaires, de 1661 à 1664, à Leipzig, à Léna, puis à Brunswick, continuent de l’ouvrir à tous les philosophes modernes, aux mathématiques et au droit. . En 1661, il se tourne finalement vers le droit. Il rédige sa Thèse sur le principe d’individuation (1663) puis quitte sa ville natale pour étudier les mathématiques à Iéna. Il soutient en 1666 une thèse de doctorat en droit. 3. Devenu, en 1670, conseiller de l’électeur de Mayence, il part en 1672 pour une mission diplomatique à Paris, ce qui lui permet de rencontrer Malebranche, Antoine Arnauld, et de consulter les œuvres inédites de Pascal. En Angleterre, l’année suivante, il lit des travaux de Newton. En 1676, il rencontre Spinoza en Hollande et devient en 1678 bibliothécaire de l’électeur de Hanovre, le futur George Ier. Enfin, Leibniz est anobli par l’empereur germanique Charles VI, en 1714. 4. Il est sans doute l’un des hommes les plus intelligents et les plus polyvalents de toute l’histoire. Qu’il ait été tout à la fois homme politique, diplomate, juriste, historiographe, ingénieur, physicien, inventeur du calcul infinitésimal, métaphysicien et philosophe tient du prodige ! Maison de Leibniz à Hanovre Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 5 Document 2 : Les principes essentiels de la pensée leibnizienne. 1 - Les principes sur le monde : 1.1 - Le principe de « raison suffisante », qui est une extension du principe antique de causalité, dit que « rien n’est sans une cause », expliquant ainsi pourquoi une chose est, plutôt qu’elle n’est pas et pourquoi il en est ainsi, plutôt qu’autrement. Nous considérons qu’aucun fait ne saurait se trouver vrai, ou existant, aucune énonciation véritable sans qu’il y ait une raison suffisante, pourquoi il en soit ainsi et non pas autrement. Monadologie, § 32 1.2 - Le principe de « l’identité des indiscernables » dit qu’il ne peut y avoir d’individus absolument identiques. Même deux gouttes d’eau, en apparence semblables, sont en réalité différentes. Il faut toujours qu’outre la différence du temps et du lieu, il y ait un principe interne de distinction, et quoiqu’il y ait plusieurs choses de même espèce, il est pourtant vrai qu’il n’y en a jamais de parfaitement semblables. Deux substances ne peuvent être complètement similaires, ou différer seulement en nombre. Il n’y a pas dans la nature deux êtres réels absolument indiscernables. Nouveaux essais sur l’entendement humain, livre II, ch. 27 1.3 - Le principe des « petites perceptions » explique que l’aperception (la perception consciente) résulte de la somme de petites perceptions dont chacune prise en soi est insensible mais peut déterminer inconsciemment notre arbitre. Peut-être pouvons-nous d’une certaine façon voir dans cette idée l’ancêtre du désormais célèbre effet papillon, mais appliqué à l’individu ? Pour expliquer cette idée, Leibniz utilise une image : le bruit de la mer est le résultat de la somme des bruits de chaque goutte d’eau, dont pourtant chaque son pris séparément serait imperceptible. Quoique je ne voie pas toujours la raison d’une inclination qui me fait choisir entre deux partis qui paraissent égaux, il y aura toujours quelque impression, quoique imperceptible, qui nous détermine. Essais de Théodicée, § 305 1.4 - Le principe de « continuité », indique que la « nature ne fait jamais de sauts » ; par cette lois, Leibniz affirme que la nature procède toujours par variations insensibles qui excluent l’uniformité, par mouvement continu qui exclut le repos pur et le pur commencement. 2 - Les principes sur Dieu et le monde en tant que création : 2.1 - Le principe du « meilleur » pose que Dieu soit doué d’un entendement et d’une volonté infinis ; son entendement tend toujours au vrai, et sa volonté tend toujours au bien. 2.2 - Le principe de « l’harmonie universelle » dit que tout ce que fait Dieu est harmonique en perfection. Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 6 2.3 - Le principe de « l’harmonie préétablie », qui est une spécification du principe de l’harmonie universelle, explique que Dieu a établit une relation entre l’âme et le corps telle qu’ils agissent de concert sans jamais s’influencer physiquement. Figurez-vous deux horloges ou deux montres qui s’accordent parfaitement. Or, cela peut se faire de trois façons. La première consiste dans l’influence mutuelle d’une horloge sur une autre ; la seconde dans le soin d’un homme qui y prend garde ; la troisième dans leur propre exactitude. Essais de Théodicée Document 3 : Extraits de l’œuvre de Leibniz. L’origine du mal terrestre Le mal métaphysique est la source du mal moral d’où découle le mal physique. Essais de théodicée, III, 378, 241 *** Justification métaphysique du mal physique Je doute aussi…que la douleur soit nécessaire pour avertir les hommes du péril. Essais de théodicée, §342 *** Justification morale du mal physique On souffre du mal parce qu’on a fait le mal. Essais de théodicée *** Le concours moral de Dieu au mal On ne doit jamais permettre le péché d’autrui, à moins qu’en l’empêchant on ne soit conduit soi-même à commettre un acte mauvais. *** Dieu innocenté Dieu est aussi peu la cause du péché, que le courant de la rivière est la cause du retardement du bateau. Le sage, dieu même agit toujours par règle jamais par exception. On peut prendre le mal métaphysiquement, physiquement et moralement. Le mal métaphysique consiste dans la simple imperfection, le mal physique dans la souffrance, et le mal moral dans le péché. Or, quoique le mal physique et le mal moral ne soient point nécessaires, il suffit qu’en vertu des vérités éternelles ils soient possibles. Et comme cette région immense des vérités contient toutes les possibilités, il faut qu’il y ait une infinité de mondes possibles, que le mal entre dans plusieurs d’entre eux, et que même le meilleur de tous en renferme; c’est ce qui a déterminé Dieu à permettre le mal. Essais de théodicée *** Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 7 Dieu est parfait La notion de Dieu la plus reçue et la plus significative que nous ayons, est assez bien exprimée en ces termes que Dieu est un être absolument parfait, mais on n’en considère pas assez les suites ; et pour y entrer plus avant, il est à propos de remarquer qu’il y a dans la nature plusieurs perfections toutes différentes, que Dieu les possède toutes ensemble, et que chacune lui appartient au plus souverain degré. Il faut connaître aussi ce que c’est que la perfection, dont voici une marque assez sûre, à savoir que les formes ou natures que ne sont pas susceptibles du dernier degré, ne sont pas des perfections, comme par exemple la nature du nombre ou de la figure. Car le nombre le plus grand de tous (ou bien le nombre de tous les nombres), aussi bien que la plus grande de toutes les figures, impliquent contradiction, mais la plus grande science et la toute-puissance n’enferment point d’impossibilité. Par conséquent, la puissance et la science sont des perfections et, en tant qu’elles appartiennent à Dieu, elles n’ont point de bornes. D’où il s’ensuit que Dieu possédant la sagesse suprême et infinie agit de la manière la plus parfaite, non seulement au sens métaphysique, mais encore moralement parlant, et qu’on peut exprimer ainsi à notre égard que plus on sera éclairé et informé des ouvrages de Dieu, plus on sera disposé à les trouver excellents et entièrement satisfaisants à tout ce qu’on aurait pu souhaiter. Discours de métaphysique *** Les petites perceptions Nous avons toujours des objets qui frappent nos yeux ou nos oreilles, et par conséquent l'âme en est touchée aussi sans que nous y prenions garde : parce que notre attention est bandée à d'autres objets, jusqu'à ce que l'objet devienne assez fort pour l'attirer à soi en redoublant son action ou par quelque autre raison ; c'était comme un sommeil particulier à l'égard de cet objet-là, et ce sommeil devient général lorsque notre attention cesse à l'égard de tous les objets ensemble. [...] Toutes les impressions ont leur effet, mais tous les effets ne sont pas toujours notables : quand je me tourne d'un côté plutôt que d'un autre c'est bien souvent par un enchaînement de petites impressions dont je ne m'aperçois pas, et qui rendent un mouvement un peu plus malaisé que l'autre. Toutes nos actions délibérées sont des résultats d'un concours de petites perceptions, et même nos coutumes et passions, qui ont tant d'influence dans nos délibérations, en viennent ; car ces habitudes naissent peu à peu, et par conséquent, sans les petites perceptions, on ne viendrait pas à ces dispositions notables. [...] En un mot, c'est une grande source d'erreurs de croire qu'il n'y a aucune perception dans l'âme que celles dont on s'aperçoit. Nouveaux Essais sur l'entendement humain Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 8 DÉCOUVREZ NOTRE AUDIOTHÈQUE pour télécharger cette conférence, celles de la bibliographie et des centaines d’autres Tous nos cours et conférences sont enregistrés et disponibles dans notre AUDIOTHÈQUE en CD et DVD. Des milliers d’enregistrements à disposition, notre catalogue est sur notre site : www.alderan-philo.org. Plusieurs formules sont à votre disposition pour les obtenir : 1 - PHILO UPLOAD : un abonnement annuel pour un libre accès à la totalité des enregistrements disponibles. Présentation sur notre site internet ou envoyez-nous un email avec le code PHILO UPLOAD et laissez-vous guider en quelques clics : [email protected] 2 - TÉLÉCHARGEMENT : vous commandez la conférence ou le cycle qui vous intéresse via internet. C’est rapide et économique. 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Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 9 POUR APPROFONDIR CE SUJET, NOUS VOUS CONSEILLONS - Les cours et conférences sans nom d’auteurs sont d’Éric Lowen Livres de Leibniz - L’harmonie des langues, (1679), Seuil, 2000 - Discours de métaphysique (1846), Vrin, 1993 - Nouveaux essais sur l’entendement humain (1705) GF, 1990 - Principes de la nature et de la grâce suivi de la Monadologie (1721), PUF, 1986 - Essais de théodicée (1710), GF, 1969 - Lettre à la reine Sophie Charlotte du 8 mai, 1704 - Abrégé de la controverse Conférences sur l’histoire de la philosophie - Héraclite et le devenir - Démocrite et l’atomisme - Le théâtre de la variété ou la démocratie athénienne selon Platon, par Noémie Villacéque - Aristote et l’éthique à Nicomaque - La philosophie du plaisir d’Épicure - Épicure et le plaisir, par Yves Belaubre - La grande bibliothèque d’Alexandrie - Sénèque et le stoïcisme romain - Avicenne et la raison, par Dominique Urvoy - L'apport de la civilisation arabe au moyen-âge, un héritage remis en cause par l'ouvrage de Sylvain Gouguenheim, par Habib Samrakandi - Montaigne et l’humanisme - Vanini, philosophe méconnu, méprisé, diabolisé, par Matthias Klemm - Descartes et la méthode, par Mickaël Dubost - Spinoza et le bonheur, par Mickaël Dubost - Leibniz et la question du mal, par Mickaël Dubost - Hume et l’habitude, par Mickaël Dubost - Condillac et la sensation, par Mickaël Dubost - L’Encyclopédie et la philosophie des Lumières - Voltaire et la religion - Voltaire et l’affaire Calas - La singularité philosophique de Jean-Jacques Rousseau, par Eliane Martin-Haag - Adam Smith et l’économie, par Jacques Passerat - Olympe de Gouges, héritière des lumières, par Betty Daël - Kant et l’absolu, par Mickaël Dubost - Victor Schœlcher, l’homme de l’abolition française de l’esclavage - Victor Hugo, mystique de la liberté et du progrès - Nietzsche ou le combat contre l'utopie et la réalité chrétiennes, par Yannick Souladié - Dostoïevski face à l'athéisme, par Yannick Souladié - Bernard Bolzano corrige Kant, par Ghislain Vergnes - William Morris : socialisme et design, par John William - Jaurès, un philosophe majeur, par Jordi Blanc - Jaurès et la loi 1905 sur la laïcité - Wittgenstein, entre Vienne et Cambridge, par Yoann Morvan - Teilhard de Chardin et l’évolution - Saint-Exupéry, vie et oeuvre philosophique - Vercors, à la quête de la dignité humaine - George Orwell et la dénonciation des totalitarismes - Camus ou la voie de la sagesse, par Christiane Prioult - Logique et épistémologie dans l’oeuvre de Carnap, par Xavier Verley - Marguerite Yourcenar, l’itinéraire d’une sage, par Valéria Rousseau - Marguerite Yourcenar, l’écriture du “moi” dans le labyrinthe du monde, par Valéria Rousseau - Sartre et l’existentialisme - Guy Debord : la philosophie subversive réalisée, par Ghislain Vergnes - Popper et la connaissance, par Mickaël Dubost - Jean-Pierre Vernant et l’hellénisme 1000-141 1000-130 1000-212 1000-176 1000-203 1000-165 1000-013 1000-007 1000-131 1000-241 1000-040 1000-234 1000-137 1000-138 1000-139 1000-147 1000-155 1000-074 1000-156 1000-129 1000-224 1000-166 1000-087 1000-158 1000-133 1000-112 1000-220 1000-240 1000-088 1000-222 1000-228 1000-218 1000-153 1000-067 1000-019 1000-113 1000-123 1000-144 1000-239 1000-124 1000-207 1000-149 1000-211 1000-135 1000-235 Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 10 Conférences en relation avec ce sujet - La nature humaine - La condition humaine - L’origine du bien et du mal dans l’Etre Humain - Pour une éthique sans dieu(x) - Les quatre morts de dieu - Harmonie et chaos dans le cosmos - Nécessité et hasard dans le Cosmos - Connaissance de soi et sagesse - Connaissance de soi et du monde - Philosophie et connaissance 1600-159 1600-160 1600-005 1600-099 1600-223 1600-061 1600-040 1600-078 1600-105 1600-157 Quelques livres et revues sur le sujet - Infini des philosophes, infini des astronomes, Collectif, Belin 1995 - Renée Bouveresse, Leibniz, PUF, Coll. Que sais-je n° 2868, 1994 - Leibniz critique de Descartes, Yvon Belaval, Gallimard, 1960, réimpr. coll. Tel, ibid., 1990 - Leibniz : initiation à sa philosophie, Yvon Belaval, Vrin, 4e éd. 1975 - La conscience et l’inconscient, Jean Brun, Hachette, 1970 - Le Système de Leibniz et ses modèles mathématiques, 2 vol., Michel Serres, PUF, 1968 - J. Jalebert, Le dieu de Leibniz, PUF, 1960 - Pour connaître la pensée de Leibniz, Yvon Belaval, Bordas, 1952 Association ALDÉRAN © - Conférence 1000-139 : “Leibniz et la question du mal“ - 18/06/2004 - page 11