Le centre culturel du Blanc présente un spectacle de danse contemporaine, L’Hippocampe mais l’hipoccampe, sur la scène du
Moulin de la lature, vendredi 29 avril.
Une chorégraphie de Cécile Loyer, des textes de Violaine Schwartz, dont les deux jeunes femmes sont également les
interprètes, les amènent à évoluer dans un espace réduit, à jouer avec les mots, les architectures de la mémoire s’en trouvant
artistiquement bouleversées… pour arriver à une loufoquerie teintée d’une grande poésie.
En première partie, le public découvrira le travail mené par les collégiens du collège des Ménigouttes avec le concours de la
danseuse Mai Ishiwata, qui dansera aussi en solo.
L’Echo La Marseillaise - le 25 Avril 2016, « L’Hippocampe mais l’hipoccampe : danse contemporaine à
L’Avant-Scène »
Samedi 30 avril à 20h30 à la salle de l‘Avant-Scène va avoir lieu un spectacle de danse contemporaine avec la participation
des élèves des établissements scolaires Rollinat et Les Charmilles. Né de la rencontre d’une chorégraphe (Cécile Loyer) et
d’une écrivaine (Violaine Schwartz), ce duo propose une mise à l’épreuve des mots et des gestes. Les deux artistes s’y livrent
à des exercices de mémoire, des échauements où les mots se frictionnent avec les corps. Quand la danse va prendre le
dessus, les mots interfèrent ; les souvenirs de cette traversée commune se brouillent, tapis dans l’hippocampe à la fois lieu
de la mémoire et petit cheval sous-marin et espiègle. Jusqu’à ce que la mémoire sature et que les corps bégaient. C’est alors
une suite d’inversions de mots ou de gestes qui créent du tragique, du loufoque et aussi de la poésie.
En préambule, dans un solo extrait du spectacle Une pièce manquante, Mai Ishiwata - danseuse animale et sensible -
interprétera une danse à la fois puissante et délicate. En première partie le public découvrira le travail mené dans les ateliers
de Rollinat et des Charmilles par l’écrivaine Violaine Schwartz et la danseuse Mai Ishiwata.
La Nouvelle République - le 25 Avril 2016, « L’Hippocampe mais l’hipoccampe »
La Compagnie Cécile Loyer se produira samedi soir, à l’Avant-Scène, dans le cadre d’un duo qui propose une mise à l’épreuve
des mots et des gestes.
Cécile Loyer et Violaine Schwartz se livreront, samedi soir, à des exercices de mémoire, des échauements où les mots se
frictionnent avec les corps. Grâce au spectacle très original, L’Hippocampe mais l’hipoccampe. Quand la danse va prendre le
dessus, les mots interfèrent, les souvenirs de cette traversée commune se brouillent, tapis dans l’hippocampe, à la fois lieu
de la mémoire et petit cheval sous-marin et espiègle.
Jusqu’à ce que la mémoire sature et que les corps bégaient, c’est alors une suite d’inversions de mots ou de gestes qui créent
du tragique, du loufoque, mais aussi de la poésie.
Mais avant, dans un solo extrait du spectacle, la danseuse Mai Ishiwata interprétera une danse à la fois puissante et délicate.
En première partie, le public pourra découvrir le travail mené dans les ateliers de Rollinat et des Charmilles, par l’écrivaine
Violaine Schwartz et cette danseuse.
La Nouvelle République - le 22 Avril 2016, « Danse contemporaine le 26 avril »
Le théâtre Maurice Sand accueille le projet Archipel 2016, depuis déjà trois ans, opération ayant pour objectif la diusion
de la danse contemporaine sur le territoire. Mardi 26 avril, en première partie, le public pourra voir la restitution de l’atelier
de pratique artistique du collège George Sand de La Châtre. Tout au long de l’année scolaire, la classe APA a travaillé autour
de la danse contemporaine, sur le thème de la mémoire. Encadrés par les chorégraphes Mai Ishiwata et Mélodie Joinville,
les élèves monteront sur la scène du théâtre Maurice Sand pour faire découvrir un extrait de ce travail. En préambule au
spectacle L’Hippocampe mais l’Hipoccampe, la danseuse Mai Ishiwata présentera un solo dansé, extrait du spectacle Une
pièce manquante.
La Brise de l’Indre - Avril 2016, « L’Hippocampe mais l’hipoccampe »
Dans un espace réduit comme l’intérieur d’un cerveau, un cerveau de six mètres sur six, Violaine Schwartz et Cécile Loyer
exercent en direct leurs mémoires et s’inventent des règles pour mettre à l’épreuve gestes et mots dans un même soue,
un même tempo : série de phrases à répéter dans l’ordre, dialogues des gestes en boucle, les informations s’accumulent, les
ordres n’arrêtent jamais, chaque jeu en appelle un autre, jusqu’à ce que les corps bégaient et la mémoire sature, solicitée à
l’extrême. Surchaue de l’Hippocampe. C’est alors une accumulation de ratages, d’erreurs, d’inversions de mots, de gestes,
créant du tragique, du loufoque, et de la poésie à la fois.