Encyclopédie : Le Garçon aux Bâtons d’Encens
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
ENCYCLOPÉDIE DE TITILATULIPE : Edition 2012 © Tous droits réservés
Chapitre : XVIII – HERMÈS
DANS LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - Mythes / auteur : TitiLatulipe
C’est néanmoins un dieu de la Paix pour tous. À l’exemple de son geste qui nous le
prouve. Ce, lors de la petite querelle sur son chemin entre deux petits serpents.
Qu’Hermès aperçut. Et qu'il sépara de son bâton. Lesquels finirent par s’enrouler
harmonieusement autour de celui–ci grâce au pouvoir du dieu. Pour venir former le
précieux Caducée au pouvoir magique surprenant. À cause des bâtons symboliques de
l’un et de l’autre. Le dieu Hermès est souvent confondu à tort du reste. Ce, avec le dieu
Asclépios, un fils d’Apollon. Hermès étant le dieu de la Médecine, tant que sa divine
mère Maea était l’une des déesses grecques de l’heureuse Santé : il peut éventuellement
être dit qu’il existait deux traditions de cette dernière dans la mythologie grecque : Celle
qui descend du dieu Apollon, ce, de par son fils Asclépios, auquel Apollon offrit un jour
un précieux bâton : C'est le fameux Putonê - Baston que les Grecs disaient parfois être
d'or et entouré d'un seul serpent : un Python d'espèce. Et celle dans la tradition qui
découle du dieu du Savoir absolu, le maître de l’alchimie, soit : Hermès l’Intelligence
divine. Et qui de par ce fait, reste le détenteur de secrets, ainsi que l'effet de la médecine
thérapeutique en lui - même. Dans l’Antiquité, au contact d’Hermès, et à son approche,
ou au contact de quelque chose parmi les objets qui le représentaient, il était dit le plus
souvent et d'après le vieux culte mythique que les malades se guérissaient parfois
instantanément, selon le bon vouloir du dieu. C'était pourquoi le dieu Hermès était alors
très apprécié des habitant(e)s. Ainsi les Grecs anciens indiquent qu'ils se soignaient à
partir de 'l'élixir de la Nature', que seul leur offrait le dieu des messagers : Hermès, qui
est considéré justement comme étant la source de la thérapeutique dans certaines
régions hellénistiques. Est-ce pourquoi le dieu Hermès des Grecs de la mythologie
ancienne fut-il réellement assimilé avec 'le respectable dieu Thot'. Qui dispose
exactement de cette même fonction bénéfique (la thérapeutique) chez les peuples
égyptiens. Pourtant, Apollon, très respecté dans toute la Grèce antique. Était parfois
considéré également comme un dieu. Dont l’influence est le contraire de la bonne santé.
Dieu de la peste, des épidémies et des maladies. Apollon fut souvent considéré comme
disposant d’une influence néfaste. Qu’Hermès parfois résolvait. Toutefois, cette idée
disparut peu { peu avec la naissance d’Asclépios (dieu de la Médecine). Supposé
combattre la maladie. Et avec celle de la petite fille d’Apollon : «Hygie» fille d’Asclépios,
la bonne Santé. Le dieu Asclépios veillait jadis sur ceux qui occupaient la fonction qui
sera peut - être équivalente « aux pharmaciens » de notre époque (les herboristes de
l'Antiquité). Ainsi, finalement. Les deux traditions de la médecine se complétèrent.
Hermès est celui parmi les dieux grecs anciens qui offre la vertu de toutes les formes de
guérison, par la Nature, laquelle renferme tout secret qui soigne. C'était jadis l'un des
objets importants dans le culte sacré et secret du dieu Hermès, semble-t-il. Il est
rapporté que le dieu Hermès indiquait à ceux qui le priaient jadis d'après le vieux culte,
le chemin de la guérison. C'est à dire, que les grecs anciens croyaient fermement que le
dieu des Messagers avait cette vocation de permettre, ou d’inspirer où pouvoir chercher
et trouver les médicaments nécessaires à toute guérison dans les lieux de la Nature, et
ce, indiquant ainsi à travers laquelle des plantes médicinales pouvoir se soigner avec
efficacité. Ceci serait rapporté notamment au travers de l'histoire d'un vieux mythe.
C'est dans le mythe mis en rapport et concernant globalement : « la Magicienne Circé »
(sauf erreur et de mémoire) dans lequel Hermès intervient pour venir en aide au héros.
Cependant, de manière générale, dans la mythologie hellénique et dans les Royaumes
grecs, les rapports entre Apollon et Hermès. Ne furent pas toujours sans «qui propos». À
l’exemple de l’affaire des Bœufs.