2 décembre 2011 Td biomécanique Relation force-vitesse Déterminer Vitesse optimal / Force optimal Puissance max « profil » des capacités d’ un groupe musculaire plasticité à l’ entraînement Construire sa planification % objectifs Problème : - Force-Vitesse ( in vitro « muscle isolé » ) Moment - vitesse angulaire ( muscle in situ « groupe musculaire » ) Comment mesurer cela sur le terrain ??? Charge – Vitesse ( avec charge : masse de la résistance en KG ; et la vitesse : vitesse de déplacement de la charge dans la direction principal du mouvement en M /S ) Analyse cinématique : analyse de la vitesse , des accélérations , des déplacements Expérience : analyse de la vitesse de contraction du biceps avec des charges différentes . charges début Point vertical (mm) fin 2kg 850 Temps (image ) 200 224 Point vertical ( mm ) 1480 Temps ( image ) 200 303 Vitesse (M/S) 4kg 852 324 1439 424 1,17 6kg 848 208 1421 301 1,23 8kg 828 216 1409 320 1,12 10kg 829 220 1413 403 0,64 1,5 V = position finale – position initial / temps final – temps initial La différence entre 324 et 224 dépend uniquement du fais que sony ai commencé son mouvement un peu plus tard après que l’ application est été lancé . 2 décembre 2011 courbe vitesse 1,6 1,4 1,2 1 0,8 0,6 0,4 0,2 0 2 4 6 8 10 kg Pour travailler la puissance la meilleur charge pour sony serais de 7,8 kg 1,01m/s Il faut se baser sur la courbe de la puissance 12 10 8 courbe puissance 6 Colonne1 Série 3 4 2 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 TD 2 : Mécanique musculaire (Duclay) Modèle de Hill : CC Active CES Passive Insertion tendineuse CEP CC : Ponts d’actine et de myosine, génère la force (protéines contractiles). Produit de la chaleur et transforme en énergie. CES : Prolongement de la CC. Elle est composée de deux parties : active et passive. La partie active correspond à la contraction du muscle (segment S2 de myosine). La partie passive correspond au muscle au repos avec les tendons et le tissu conjonctif. Elle transmet la force, protège les structures et stock l’énergie élastique. CES S2 CC CEP : Composé du tissu conjonctif, des ponts d’actine et de myosine et des protéines structurales (titine). Protéines non-contractiles : raideur et compliance. Maintient le muscle. F(N) CC+CES+CEP A CC+CES C 0 LO Relation force/longueur en « in vitro » statique. CEP B L (mm) A: Taux de recouvrement important. B: Taux de recouvrement moins important. C: Chez l’homme : Relation moment/angle. M (N-m) O(°) Différence entre in vitro et in situ : Chez l’homme, il y a une restriction articulaire. En « in vitro », enregistrement d’un seul muscle sollicité. Chez l’homme, même si l’on sollicite un muscle ses antagonistes sont présents. Paramètres nerveux différents : « in vitro », stimulation 100% fonctionnelle. En « in situ », chez l’homme le système nerveux joue sur les propriétés neurophysiologiques et empêche la contraction à 100%. 2ème partie : Etude d’article. On va gagner plus de moment à l’angle que l’on sait entrainer. Cette spécificité est marquée selon la longueur du muscle à l’entrainement. Plus on sera spécifique, plus on devra travailler cours. Si on veut gagner un peu partout, on doit avoir un grand angle. Si on produit plus de force à un certain angle c’est que l’on a formé plus de ponts. Le muscle va avoir la même taille mais les sarcomères en série vont être de tailles différentes. Il y a donc un changement de la longueur des sarcomères qui s’adaptent à la longueur du muscle. Soit il y a un sarcomère qui s’insère soit il y en a un qui disparait. Dans tous les cas, on augmente la force, soit la fibre sera plus longue (hypertrophie). Travail en angle raccourci : gains très ciblés. Travail en angle important : gains plus répartis. Relation moment/angle avant, relation moment/angle après.