LA SANTÉ OBSERVÉE dans LES MALADIES INFECTIEUSES LES MALADIES INFECTIEUSES L’Ain CONTEXTE NATIONAL FAITS MARQUANTS DANS L’AIN : l Avec 167 patients atteints de sida depuis le début de l’épidémie, l’Ain est, avec l’Ardèche, le département le moins touché de la région, l Le nombre de décès par sida a fortement diminué depuis 1996 avec en moyenne 2 décès par an depuis 1997, Les maladies infectieuses, malgré les progrès réalisés dans le domaine de la prévention et des thérapeutiques, restent un problème de santé publique préoccupant. On assiste en particulier, du fait de la multiplicité des agents infectieux et de leurs capacités d’adaptation, à l’émergence voire la ré-émergence de pathologies que l’on avait cru pouvoir l 19 nouveaux cas de tuberculose ont été déclarés annuellement entre 2003 et 2005, en baisse par rapport aux années précédentes. l Les résultats concernant la couverture vaccinale des endiguer. Tel est le cas de la tuberculose, maladie considérée comme évitable et qui pourtant touche environ 6 000 personnes par an en France, ou encore de l’infection par le VIH dont les premiers cas ont été décrits en 1981. En 2004, 5 512 cas de tuberculose maladie ont été déclarés, enfants à l’âge de deux ans sont contrastés. INFECTION A VIH soit un taux d’incidence en France métropolitaine de 9,2 cas pour 100 000 habitants (11,5 en 1997). Cependant, en tenant compte de la sous-déclaration, le nombre de cas peut être estimé à environ 8 500. Les populations ne sont pas 25 découvertes de séropositivité dans l’Ain en 2003-2005 Entre le 1er janvier 2003 et le 30 septembre 2005, 29 cas de découvertes de séropositivité ont été déclarés dans l’Ain soit un taux d’incidence moyen de 19 cas par millions égales face à la maladie. Si l’incidence diminue constamment parmi la population de nationalité française, elle reste élevée chez les populations migrantes mais également chez les personnes incarcérées et sans domicile fixe. Au 30 septembre 2005, le nombre total de cas de sida d’habitants, inférieur à la moyenne régionale (33) et nationale (61). Seuls 14 tests d’infection récente ont été réalisés dont 7 se sont révélés positifs. notifiés depuis le début de l’épidémie est de 60 479 dont on estime que 26 000 sont encore vivants. L’introduction, en 1996, des traitements antirétroviraux hautement actifs a permis de retarder l’évolution vers le stade sida et d’allonger la survie des patients infectés. Entre 1998 et 2002, le Taux de découverte de séropositivité VIH entre le 1er janvier 2003 et le 30 septembre 2005 70 nombre annuel de cas de sida a diminué en moyenne de 4% par an. Cette tendance se poursuit (-11% entre 2002 et 2003, -7 % entre 2003 et 2004). Depuis 2003, un système de notification obligatoire des cas de séropositivité ainsi qu’une surveillance sérologique des patients infectés ont été 60,2 50 40 31,8 30 18,3 20 10 mis en place. Cette dernière prévoit un test permettant d’évaluer le caractère récent de l’infection (= 6 mois). Le nombre de découvertes de séropositivité est estimé à environ 7 000 cas en 2004, 55 % par rapports hétérosexuels (la moitié concernant des personnes de nationalité d’un pays 0 Ain Rhône-Alpes Sources : InVS, INSEE (estimations 2004) France Exploitation ORS 167 personnes atteintes du sida dans l’Ain depuis le début de l’épidémie d’Afrique subsaharienne). Les contaminations récentes représentent 23 % des découvertes de séropositivité. La vaccination, en permettant l’arrêt de la transmission voire l’élimination de certaines maladies infectieuses, constitue un moyen de prévention efficace contre des pathologies Au 30 septembre 2005, 167 personnes ont été ou sont atteintes du sida dans l’Ain, correspondant à un taux de 305 cas par million d’habitants, inférieur aux moyennes régionale (571) et nationale (1 005). Par ailleurs, l’Ain est, au sein de la région, le département possédant, avec l’Ardèche, le taux de cas déclarés le plus faible. Le Rhône et potentiellement dangereuses. Ainsi, la généralisation de la vaccination contre la poliomyélite et la diphtérie a-t-elle pratiquement entraîné l’éradication de ces maladies. En France, les vaccins contre la tuberculose (BCG), la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) sont obligatoires. Les taux la Haute-Savoie présentent les taux les plus élevés de la région, inférieurs cependant à la moyenne nationale. de couverture vaccinale des enfants sont élevés pour ces maladies (90,3 % des enfants de 2 ans ont leur DTP à jour, 98,6 % des enfants de 5-6 ans sont vaccinés par le BCG) et ne cessent de s’améliorer. Par contre, les taux de vaccination contre la rougeole et la rubéole (non obligatoire Cas cumulés de Sida déclarés depuis le début de l’épidémie (effectifs et taux par millions d’habitants) mais fortement recommandée) restent encore insuffisants. Des modifications ont été apportées au calendrier vaccinal afin de se conformer au plan d’élimination de ces deux maladies mis en place en 2005. Réalisation ORS Rhône-Alpes - Juin 2006 Taux pour 1 000 000 habitants 60 Ain Ardèche Drôme Isère 164 (305) 91 (305) 183 (400) 523 (457) Loire Rhône Savoie Haute-Savoie 284 (388) 1 419 (862) 176 (449) Sources :InVS, INSEE (estimations 2004) 1 524 (775) Exploitation ORS LES MALADIES INFECTIEUSES Baisse des nouveaux cas de sida déclarés depuis 1993 Nombre de nouveaux cas de sida déclarés annuellement dans l’Ain entre 1994 et 2004 Le nombre de nouveaux cas déclarés a connu une forte diminution depuis 1993, année où a été atteint le nombre maximal de 18 cas. On constate un infléchissement drastique de la courbe en 1997 (avec une diminution de 20 Homo/bisexuels Toxicomanes I.V. Hétérosexuels Ensemble des cas 18 16 14 12 moitié du nombre de cas) suivi d’une stabilisation autour de 6 cas déclarés par an sur la période 1998-2002. Cette tendance se retrouve également au niveau régional et national. Cette importante baisse peut être expliquée à la fois par l’accès des personnes séropositives à de nouvelles 10 8 6 4 2 0 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 * 2003* 2004 * Sources : DRASS, ARH * Données provisoires non redressées associations de médicaments anti-rétroviraux permettant de retarder l’évolution de la maladie et par une diminution de l’incidence de la contamination par le virus. Exploitation ORS Répartition des patients de l’Ain selon le stade de la maladie par année à la première prise en charge dans un établissement hospitalier 256 habitants de l’Ain suivis dans un établissement hospitalier pour infection à VIH en 2004 18 16 12 11 Le nombre de personnes résidant dans l’Ain suivis en 16 13 13 12 11 établissement hospitalier pour une infection à VIH s’élève à 256 dont plus de la moitié (57 %) sont suivies dans un autre département. Les malades sont majoritairement des hommes (sex ratio de 2,8). La tranche d’âge des 30-44 ans est la plus représentée (57 %) suivie des 45-59 ans (26 %). 12 11 10 9 9 8 7 6 6 6 5 3 2 1 2 2 1 1 0 0 1986 1988 0 1990 2 3 2 1 0 1992 1 3 0 1994 Patients atteints de SIDA Les relations homosexuelles représentent le mode de contamination le plus important (42 %), suivies par les relations hétérosexuelles (34 %) et l’usage de drogues par voie intraveineuse (11 %). On note dans 38 cas (14,8 %) une co-infection par le virus de l’hépatite C, majoritairement 1 0 1996 1998 2000 2002 2004 Patients séropositifs Sources : DRASS, ARH Exploitation ORS chez des patients toxicomanes (63 % des cas). Si le nombre de patients en stade sida pris en charge en établissement hospitalier reste stable depuis 20 ans, on constate une tendance à l’augmentation du nombre de patients séropositifs suivis. Cela peut s’expliquer par l’arrivée Patients suivis en 2004 domiciliés dans le département de l’Ain répartis selon le mode de contamination Transfusion 2 % Hétérosexualité 34 % Inconnu 10 % des thérapies dites hautement actives qui a entraîné une augmentation de la durée de survie des patients au stade sida mais a également permis de retarder l’évolution de la maladie chez les patients séropositifs. L’infection par le VIH est ainsi devenue une maladie chronique soulevant de Mère-Enfant 0,4 % Accident percutané 1 % nouvelles problématiques liées à l’apparition de complications dues aux traitements, au risque d’émergence de résistance du virus mais aussi aux coûts de la prise en charge et aux difficultés sociales rencontrées par les patients. Homosexualité 42 % Sources : DRASS, ARH Exploitation ORS Évolution du taux brut de mortalité par SIDA (moyenne mobile sur 3 ans) Une forte baisse du nombre de décès par sida depuis 1996 3,5 Taux pour 100 000 habitants 3 Après une phase d’augmentation pratiquement linéaire entre 1989 et 1993, le taux brut de mortalité liée au sida a atteint sa valeur maximale en 1994 aux alentours de 2,9 décès pour 100 000 habitants. À partir de 1995, on observe une baisse du taux (-15 %) qui s’est ensuite accélérée (-60 % entre 2,5 2 1,5 1995 et 1997). La mortalité par sida dans le département, évaluée à 12 décès annuels entre 1991 et 1996, a profondément chuté en 1997 pour se stabiliser à environ 2 décès annuels entre 1997 et 2002. 1 0,5 0 88 89 90 91 92 Source : INSERM CépiDC 93 94 95 96 97 98 99 2000 2001 Exploitation ORS 2 Réalisation ORS Rhône-Alpes - Juin 2006 LES MALADIES INFECTIEUSES Incidence de la tuberculose en 2003-2005 LA TUBERCULOSE 19 nouveaux cas de tuberculose déclarés par an entre 2003 et 2005 12 10,2 10 Entre 2003 et 2005, 19 nouveaux cas de tuberculose ont été déclarés en moyenne dans le département de l’Ain, correspondant à un taux d’incidence annuel moyen de 3,4 8 6,8 6 pour 100 000 habitants. Ce taux est inférieur aux moyennes régionale (6,8) et nationale (10,2). Parmi les départements de Rhône-Alpes, l’Ain est celui dont le taux de tuberculose déclaré est le plus faible, le taux le plus élevé étant relevé dans le Rhône (9,1). Cependant, la comparaison de ces 3,4 4 2 0 Ain résultats est rendue difficile par l’exhaustivité très variable des déclarations obligatoires selon les départements. Tous ces taux connaissent une évolution à la baisse par rapport à la période triennale précédente (200-2002). Rhône-Alpes France Sources : INSEE (estimation 2004), DDASS-InVS Expl : ORS Incidence de la tuberculose par classe d’âge en 2003-2005 15 Une incidence croissante avec l’âge 12,77 L’incidence de la tuberculose augmente avec l’âge passant de 0,7 cas pour 100 000 habitants chez les moins de 25 ans à 2,9 pour les 25-59 ans et à 9,6 pour les plus de 60 ans. On 10 12,83 9,14 8,68 9,61 6,18 remarque par ailleurs un second pic d’incidence chez les 2539 ans au niveau national et dans une moindre mesure au niveau du département. Cela correspond à des situations et des populations distinctes. Pour la population autochtone, l’âge est le principal facteur déterminant la survenue d’une 5 3,82 2,19 0,98 0,59 0 0-14 tuberculose. Ainsi, plus les personnes sont âgées, plus elles ont vécu à des périodes de forte endémie, où le risque de contact avec l'agent de la tuberculose était élevé. Pour les personnes d’origine étrangère, chez lesquelles l’incidence déclarée est maximale pour les 25-39 ans, les facteurs en 15-24 25-39 Ain 40-59 60 et plus France Sources : DDASS -InVS, INSEE (estimation 2004) … Expl : ORS Admissions en affections de longue durée pour tuberculose dans l’Ain en 2000-2004 cause sont la provenance d’un pays où l’incidence de la tuberculose (et donc le risque d’avoir déjà développé une primo-infection) est plus élevée qu’en France et les conditions de vie et de logement qui sont généralement plus défavorables. Hommes 160 assurés et ayants droit des régimes général, agricole et professions indépendantes ont été admis en ALD pour tuberculose sur la période 2000-2004, avec une moyenne de 32 admissions par an. Plus de trois personnes nouvellement admises sur quatre (77 %) sont âgées de 35 ans et plus. On Femmes Nombre % Nombre % 3 3.8 3 3.7 15-34 ans 10 12.8 21 25.6 35-64 ans 41 52.6 25 30.5 65 ans et plus 24 30.8 33 40.2 Total 78 100 82 100 0-14 ans 32 nouvelles admissions en affection de longue durée (ALD) par an dans le département de l’Ain Sources : CNAMTS, CCMSA, CANAM Exploitation : ORS Les données de 2004 ne concernent que les admissions recensées par la CNAMTS Evolution du taux brut de mortalité par tuberculose (moyenne mobile sur 3 ans) constate une augmentation régulière avec l’âge du taux d’admission chez les femmes tandis qu’il existe chez les hommes un pic d’admissions (plus de 50 %) entre 35 et 64 ans. 4,5 4 Taux pour100 100 000 000 habitants Taux pour habitants 3,5 3 Un taux de mortalité en baisse depuis 1981 2,5 La tuberculose est une cause peu fréquente de décès (8 décès par an en moyenne, soit 0,2 % des décès dans l’Ain sur la période 2000-2002). Elle représente 8,7 % de la mortalité par maladie infectieuse sur cette même période. Le taux brut de mortalité par tuberculose suit une tendance 2 1,5 1 0,5 0 décroissante depuis 1981, passant de 4 décès pour 100 000 habitants à 1,6 en 2001. On constate cependant des fluctuations avec notamment une élévation du taux sur la Réalisation ORS Rhône-Alpes - Juin 2006 Taux pour 100 000 habitants 81 83 85 87 Source : INSERM CépiDC 3 89 91 93 95 97 99 2001 Expoitation : ORS LES MALADIES INFECTIEUSES LES VACCINATIONS Couverture vaccinale des enfants à l’âge de deux ans dans le département de l’Ain 95 91 91 91 90,2 86,2 86,1 76 77,2 73,5 74,8 2001 2002 2003 2004 90 Couverture vaccinale des enfants à l’âge de deux ans : des résultats contrastés D’après les données recueillies à partir des certificats de santé, on constate en 2004 : 90 85 80 89,7 85,7 85,1 75 70 65 71,6 l Une couverture vaccinale complète (trois injections plus un rappel) contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite et la coqueluche estimée à 90,2 % (89,6 % au niveau national), témoignant d’une stabilité sur les quatre 60 55 dernières années ; l Un taux de couverture vaccinale contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (non obligatoire mais très fortement recommandée) de 86,1 % (86,8 % au niveau national) ; 50 2000 DTPCoq ROR BCG Sources : Conseil Général de l’Ain, PMI, DREES Expoitation : ORS l Une vaccination par le BCG en progression continue : la vaccination par le bacille de Calmette et Guérin, obligatoire lors de l’entrée en collectivité de l’enfant, assure une prévention contre les formes graves de tuberculose (en particulier la méningite tuberculeuse). Vaccination contre l’hépatite B à l’âge de deux ans dans le département de l’Ain En 2003, dans l’Ain, 77,2 % des enfants de deux ans sont vaccinés par le BCG (84,1 % au niveau national), ce taux étant en progression régulière depuis 2000, tendance également constatée en France ; l Une couverture vaccinale contre l’hépatite B restant 35 30 29,2 28 26 27,7 29 25 15 24,2 23,7 20 23,7 21,8 19,3 faible à 21,8 % (29 % au niveau national). Ceci pourrait être dû aux interrogations sur l’innocuité de cette vaccination soulevées il y a quelques années. L’association de ce vaccin dans une formule unique en 10 5 0 2000 2001 2002 Ain 2003 2004 France Sources : Conseil Général de l’Ain, PMI, DREES association au DTPCoq et à la vaccination contre Haemophilus devrait progressivement améliorer la situation. Expoitation : ORS Déclaration des cas de SIDA : Le SIDA fait partie des maladies dont la déclaration est obligatoire. C’est au médecin qui établit le diagnostic qu’incombe la responsabilité d’effectuer cette déclaration, de manière non nominative, auprès des médecins inspecteurs de santé publique des DDASS. Il existe un délai plus ou moins long entre la date du diagnostic et celle de la déclaration à la DDASS. Pour tenir c ompte de ce délai, l’Institut de Veille Sanitaire (InVS), qui gère les déclarations au niveau national, corrige les données récentes en effe ctuant, quand cela est techniquement possible, des redressements sur les deux dernières années de déclaration. Du fait des délais entre la date du diagnostic du sida et la date où le cas est déclaré, les nombres enregistrés en 2001, 2002 et 2003 sous - estiment les nombres réels de cas. On dispose ainsi de données provisoires sans devoir attendre que tous les cas diagnostiqués aient été déclarés. Les données définitives peuvent être légèrement différentes de ces estimations. Déclaration des cas de tuberculose : Les données présentées concernent les personnes atteintes de tuberculose dont la maladie a été déclarée aux médecins inspecteurs de la santé des DDASS. Elles sont ensuite centralisées et analysées par l’Institut de veille s anitaire. Un cas doit correspondre à une tuberculose- maladie ayant conduit à la mise en route d’un traitement antituberculeux (au moins trois antituberculeux). Depuis le 1er janvier 2003, les infections tuberculeuses de l’enfant de moins de 15 ans sont également à décla ration obligatoire (intra- dermo réaction (IDR) positive sans signe clinique ni para-clinique : induration supérieure à 15 mm si BCG ou augmentation de 10 mm par rapport à une IDR datant de moins de 2 ans ou IDR phlycténulaire). Les infections à mycobactéries autres que M. tuberculosis , bovis et africanum ne sont pas déclarées. Affections de longue durée (ALD) : En cas d’affections comportant un traitement prolongé et une thérapeutique particulièrement coûteuse, le Code de la Sécurité Sociale prévoit l’exonération du ticket modérateur normalement à la charge de l’assuré dans le cadre du risque maladie. La liste de ces ALD est établie par décret. Les données figurant dans ce document concernent les assurés et ayants droit des régimes général, agricole et des professions indépendantes. Ces données ont été fournies par les services médicaux de la CNAMTS, de la CCMSA et de la CANAM, et sont présentées sous forme de nombres cumulés des premiers avis favorables entre 2000 et 2002. Ce nombre dépend de la morbidité départementale, mais aussi d’autres paramètres comme la réglementation, le comportement des assurés et de leurs médecins traitants ou encore l’avis des médecins conseils. Il ne s’agit donc pas d’un nombre de nouveaux malades, comme dans le cas d’un registre de morbidité. Adresses ressources : ◊ Conseil général de l'Ain—Direction Générale de la Prévention et de l'Action Sociale (DGPAS). Service Santé 10, rue Pavé d'Amour - BP 415 01012 Bourg- en-Bresse Cedex Téléphone : 04.74.32.32.72 ◊ Centre de Dépistage Anonyme et Gratuit CDAG Centre Hospitalier de Fleyriat - Service maladies infectieuses 900, route de Paris 01012 Bourg- en-Bresse Téléphone : 04.74.45.41.89 Fax : 04.74.45.41.09 ◊ AIDES Lyon Rhône Ain 24, avenue Victor Hugo 01000 Bourg- en-Bresse Téléphone : 04 78 68 05 05 Fax : 04 78 68 74 34 e- mail : [email protected] 4 Réalisation ORS Rhône-Alpes - Juin 2006