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l'opposition qui s'imposait, et la défense même des intérêts allemands fut complètement négligée. 
L'impression générale ne pouvait pas varier : le clergé catholique tel quel causait un brutal 
préjudice aux droits des Allemands. 
Il paraissait donc que l'Église non seulement n'était pas de cœur avec le peuple allemand, mais 
qu'elle se rangeait de la façon la plus injuste aux côtés de ses adversaires. La raison de tout le 
mal, d'après Schoenerer, résidait dans le fait que la tête de l'Église catholique ne se trouvait 
point en Allemagne ; et c'était là une cause suffisante de son attitude hostile aux intérêts de notre 
nation. 
Hitler : "Mein Kampf", 1924, traduction française aux Nouvelles Éditions Latines, pages 112-113. 
 
Quand les dignitaires de l'Église se servent d'institutions ou même de doctrines religieuses pour 
porter atteinte à leur race, on ne doit jamais les suivre dans cette voie, ni les combattre par les 
mêmes armes. Les idées et les institutions religieuses de son peuple doivent rester toujours 
inviolables pour le chef politique; sinon, qu'il cesse d'être un homme politique et qu'il devienne un 
réformateur s'il en a l'étoffe ! Une autre attitude, en Allemagne surtout, doit conduire à une 
catastrophe. 
En étudiant le mouvement pangermaniste et sa lutte contre Rome, je suis arrivé alors, et surtout 
dans le cours des années suivantes, à la conclusion qui suit : le manque de compréhension que ce 
mouvement a eu pour la question sociale l'a privé des masses populaires, seules propres à la lutte 
[...] 
Hitler : "Mein Kampf", 1924, traduction française aux Nouvelles Éditions Latines, page 120. 
 
Il n'y a qu'un principe qui est absolu pour l'homme SS : être honnête, correct, fidèle et un bon 
camarade envers ceux de notre sang , mais envers personne d'autre. Il m'est complètement égal 
de savoir comment se portent les Russes, les Tchèques. Ce qu'il y a comme sang de qualité de 
notre espèce dans ces peuples, nous nous le procurerons si nécessaire en leur enlevant leurs 
enfants et en les élevant chez nous. Si les autres peuples vivent confortablement ou périssent, 
cela ne m'intéresse que dans la mesure où nous aurons besoin d'eux en tant qu'esclaves. Que 
mille femmes russes creusant un fossé antichar en meurent d'épuisement ne me concerne que 
dans la mesure où ce fossé sera achevé pour l'Allemagne. Nous ne serons jamais brutaux ou 
impitoyables sans nécessité, c'est évident. Nous, les Allemands, qui seuls au monde avons une 
attitude correcte envers les animaux, nous aurons également une attitude correcte envers ces 
humains-animaux, mais c'est un crime contre notre propre sang de nous soucier d'eux [...] Si 
l'on vient me dire : "je ne peux pas construire ce fossé avec des femmes et des enfants. C'est 
inhumain, ils en mourront", je dois dire : "Tu es un assassin de ton propre sang, car si ce fossé 
n'est pas construit, ce seront des soldats allemands qui mourront, et ce sont des fils 
d'Allemandes. C'est notre sang." ... 
Himmler - discours à ses principaux lieutenants SS - 4/10/1943 (repris dans "Hitler", Marlis Steinert. Fayard, 1991, page 535) 
 
"Le christianisme et la syphilis avaient rendu l'humanité malheureuse et l'avaient privée de 
liberté. Quelle différence entre un Zeus souriant bienveillant et sage, et un Christ crucifié et 
tiraillé par la souffrance." 
Goebbels citant Schopenhauer dans son Journal, le 8 avril 1941. 
 
Ainsi pour l'instant, je n'ai envoyé à l'est que mes unités de Tête-de-mort [Totenkopfverbände] 
avec l'ordre de tuer sans pitié ni compassion, tous les hommes, les femmes et les enfants de race 
ou de langue polonaise. Qui aujourd'hui parle encore de l'extermination des Arméniens? (Wer 
redet heute noch der Vernichtung der Armenier?) 
Hitler, déclaration devant les commandants en chef de ses armées, réunis à Obersalzberg, 22/8/1939, document présenté au 
procès de Nuremberg, in : Bat Ye'or, "Chrétientés d'Orient entre Jihad et Dhimmitude", Éditions du Cerf, 1991, p. 230. 
 
D'autres enfin, et c'est évidemment le courant dominant, celui auquel Hitler s'associe, se bornent 
à une critique acerbe du christianisme, conçu comme une religion orientale, déformée sous 
l'action de saint Paul, marquée du sceau des Juifs, une religion de dégénérés et de malades, dont