ATTAC-BASTIA - COURRIEL MENSUEL D'INFORMATION
N°27 10 février 2004
SE REAPPROPRIER ENSEMBLE L'AVENIR DE NOTRE SE REAPPROPRIER ENSEMBLE L'AVENIR DE NOTRE
MONDEMONDE
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RÉUNION MENSUELLE DU COMITÉ LOCAL ATTAC - BASTIA
Lundi 16 février 2004 à 20 h 30
Salle de réunion de la Maison des associations, rue Sant'Angelo à Bastia
ORDRE DU JOUR DE LA RÉUNION MENSUELLE
1- L'Observatoire français des médias : Présentation de l'OFM, dont l'association Attac est membre,
suivie d'une discussion
2 - Les perspectives ouvertes (et offertes) par le Forum social local de Corti
3 - Présentation du questionnaire aux candidats à l’élection territoriale de mars 2004
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Gênes à l'aube de la Renaissance ou les prémices du capitalisme mondialisé
En marge du Festival du cinéma italien, une conférence sur le thème de "La Corse, Gênes et la
Méditerranée à l'aube de la Renaissance" avait été organisée, le 4 février, au Consulat d'Italie avec M.
Jean-André Cancellieri, professeur à l'Université de Corse. Dans le cadre de son exposé, le
conférencier a particulièrement insisté sur l'importance des activités commerciales et financières
dans l'économie de la "Sérénissime république de Gênes" durant tout le Moyen-âge et la
Renaissance.
Un environnement favorable aux marchands
L'absence d'un arrière-pays dont elle aurait pu tirer des ressources, la présence d'un port situé à
l'interface entre la Méditerranée occidentale et les grandes voies de communications terrestres avec
l'Europe du nord, une vocation maritime affirmée dès le Moyen-âge, ont constitué les ingrédients
nécessaires au développement d'un capitalisme fondé tout d'abord sur le commerce des épices.
Axée essentiellement sur le Proche-orient (en concurrence avec Venise) et les pays de la Mer Noire
(dans le cadre d'un monopole commercial), cette activité commerciale s'appuyait, dès le XIIe siècle,
sur des possessions (limitées en superficie, mais essentielles pour la navigation et le contrôle des
voies de communications maritimes) : les comptoirs et présides, disséminés le long des routes
empruntées par les marchands (Chypre, Rhodes, Chio, Trebizonde, … la Corse).
Ce commerce, très lucratif, va permettre l'émergence d'une classe de marchands organisée non
pas en famille unies par les liens de la parenté, mais en "alberghi" : ensemble de familles de
marchands regroupées dans le cadre de leurs intérêts économiques (nous parlerions aujourd'hui
d'associés, mais le terme est trop faible pour décrire la réalité de l' "albergo"). Parmi ces "familles",
le conférencier a cité les Doria, les Giustiniani, … bien connus au travers de l'histoire de la Corse.
Un Etat sous influence
Alors même que ces marchands accumulaient des richesses énormes, l'Etat génois (qui conservait
encore une organisation de type féodal et était en proie bien souvent aux querelles de factions
rivales, voire à la guerre civile) ne disposait de peu de moyens financiers, conséquence d'une faible
imposition des revenus. En corollaire et pour éviter une faillite inéluctable, l'Etat empruntait de l'argent
afin d'assurer la dépense publique. Il empruntait à qui ? Aux marchands génois, bien sûr ! Ceux-ci se
montrèrent d'ailleurs de très bons financiers puisque le Roi de France et celui de Castille
recourraient déjà à leurs services pour assurer également leurs dépenses !
Leur activité commerciale a permis ainsi aux "alberghi" génois d'accumuler dans un premier temps
une richesse considérable puis, avec l'offensive des Turcs ottomans en Méditerranée orientale, de
l'investir dans les activités financières, profitant en cela des alliances et réseaux commerciaux
établis dès le Moyen-âge.
Puis, au XVIe siècle, les conséquences de la rivalité pour le contrôle de la Méditerranée occidentale
entre le royaume de France et le royaume d'Espagne, successeur des Aragonais, doublées par
l'instabilité et la faiblesse politiques de l'Etat génois ont donné de bonnes raisons aux "alberghi" de
contrôler ce dernier afin d'assurer leurs intérêts financiers. Ainsi, en 1528, Andrea Doria "réforme"
l'Etat génois en mettant en place un système oligarchique, ploutocratique devrait-on dire puisque
seules les 27 plus riches " familles " avaient le droit d'élire les membres du Conseil d'administration
… pardon, du "Consiglio maggiore" de la "Sérénissime". La conséquence de ce "choix" sera la
disparition de l'Etat génois comme entité politique et sa transformation en une simple place
financière dont la politique étrangère sera réglée sur celle des Etats les plus puissants (plus
particulièrement l'Espagne et l'Autriche des Habsbourg).
Des questions, une leçon
L'activité commerciale exercée en Méditerranée et, au-delà, en Orient (le seul monde connu avant la
découverte des Amériques) par les républiques maritimes italiennes, le mode de financement et son
organisation, la mise en place de réseaux commerciaux et financiers préfigurent le capitalisme
commercial mondialisé dont l'Angleterre posera les premiers jalons au XIXe siècle. Le mouvement
vers un capitalisme financier, ouvert sur l'Europe, est la conséquence de la perte d'une partie des
réseaux commerciaux au Proche-orient. De celui-ci peut être rapprochée l'évolution vers la
financiarisation des économies européennes dans un contexte de désindustrialisation.
Les comparaisons restent ce qu'elles doivent être. Mais, n'en reste-t-il pas encore une ? La
"réforme" de l'Etat, c'est-à-dire sa transformation en société anonyme dont l'objectif unique (et très
régalien) est de défendre les intérêts des nouveaux maîtres, notamment sur le plan du maintien de
"l'ordre" intérieur et extérieur, n'est-elle pas d'actualité ?
Depuis des années, les libéraux nous parlent de modernité quand il s'agit d'appliquer leurs recettes.
Nous pouvons dire désormais que leur modernité a un âge : 500 ans !
Philippe Ollandini
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ATTAC et le Programme national de la Résistance
Lors de sa réunion du 6 décembre 2003, le Conseil d'administration d'Attac a décidé d'organiser des
initiatives pour commémorer le 60e anniversaire du Programme national de la Résistance (PNR).
Le Conseil national de la Résistance (CNR) se réunit pour la première fois le 27 mai 1943,
clandestinement, dans un appartement parisien, sous la présidence de Jean Moulin, représentant en
France occupée du général De Gaulle. Jean Moulin sera arrêté par les nazis en juin de la même
année. Le CNR réunissait l'ensemble des mouvements de Résistance : Organisation civile et
militaire (OCM) ; Ceux de la Résistance (CDLR) ; Ceux de la Libération (CDLL) ; Libération-Nord ;
Front national (pas celui auquel nous pourrions penser) ; Combat ; Libération-Sud ; Franc-Tireur.
S'ajoutaient six mouvements ou partis politiques communistes, socialistes, radicaux, démocrates-
chrétiens, Alliance démocratique, Fédération républicaine. Deux syndicats étaient également
représentés : la CGT et la CFTC.
Le CNR a défini son programme prévisionnel pour la Libération le 15 mars 1944. On y trouve des
objectifs d'une troublante actualité, comme par exemple :
Ø La "liberté de la presse, son honneur et son indépendance".
Ø L'instauration "d'une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l'éviction des
grandes féodalités économiques et financières de la direction de l'économie".
Ø Le "retour à la nation des grands moyens de production monopolisée, fruits du travail commun,
des sources d'énergie, des richesses du sous-sol, des compagnies d'assurances et des grandes
banques".
Ø Le "droit d'accès, dans le cadre de l'entreprise, aux fonctions de direction et d'administration,
pour les ouvriers possédant les qualifications nécessaires, et la participation des travailleurs à la
direction de l'économie".
Ø Le "droit au travail et le droit au repos".
Ø Un "rajustement important des salaires et la garantie d'un niveau de salaire et de traitement qui
assure à chaque travailleur et à sa famille la sécurité, la dignité et la possibilité d'une vie pleinement
humaine".
Ø Un "plan complet de sécurité sociale, visant à assurer à tous les citoyens des moyens
d'existence, dans tous les cas où ils sont incapables de se le procurer par le travail, avec gestion
appartenant aux représentants des intéressés et de l'État".
Ø La "sécurité de l'emploi, la réglementation des conditions d'embauchage et de licenciement".
Ø L' "élévation et la sécurité du niveau de vie des travailleurs de la terre par une politique de prix
agricoles rémunérateurs, améliorant et généralisant l'expérience de l'Office du blé, par une législation
sociale accordant aux salariés agricoles les mêmes droits qu'aux salariés de l'industrie, par un
système d'assurance conte les calamités agricoles, par l'établissement d'un juste statut du fermage
et du métayage, par des facilités d'accession à la propriété pour les jeunes familles paysannes et par
la réalisation d'un plan d'équipement rural".
Ø La "possibilité effective pour tous les enfants français de bénéficier de l'instruction et d'accéder à
la culture la plus développée, quelle que soit la situation de fortune de leurs parents, afin que les
fonctions les plus hautes soient réellement accessibles à tous ceux qui auront les capacités requises
pour les exercer et que soit ainsi promue une élite véritable, non de naissance mais de mérite, et
constamment renouvelée par les apports populaires".
Pourquoi une commémoration, par Attac, du 60e anniversaire du programme du Conseil national de
la Résistance ?
Conformément à sa vocation d'éducation populaire, Attac a naturellement vocation à commémorer
cet événement et d'en faire une manifestation d'ampleur. Celle-ci ne doit cependant pas porter sur la
Résistance en général ou sur la victoire de 1945, mais rester sur le contenu du programme du
Conseil national de la Résistance. Par ailleurs, il serait non seulement inexact mais particulièrement
contreproductif de donner l'impression d'assimiler le néolibéralisme au nazisme. Ce n'est donc pas
un hommage à la Résistance ou une commémoration de la victoire de 1945 que nous voulons
organiser, mais la transmission de la mémoire et du contenu du PNR qui conserve, à bien des
égards, une intense actualité.
En effet, selon le Fonds monétaire international, les Etats-providence ne doivent leur existence qu'à la
période "exceptionnelle" que constituaient les lendemains de la seconde Guerre mondiale. Cette
"exception" tenait à plusieurs facteurs : un rapport des forces politique, social et intellectuel favorable
au monde du travail ; l'effondrement des organisations patronales ; une forte mobilisation des
peuples et la reconstitution des organisations syndicales ; des gouvernements rassemblant
communistes, socialistes, droite modérée, démocrates-chrétiens dans toute l'Europe ; l'influence
des idées marxistes et keynésiennes ; l'absence de croyance en la capacité du marché à mener
l'oeuvre de reconstruction du Vieux Continent, le choix de la planification plutôt que celui des
mécanismes "spontanés" du marché. Ce sont ces conditions très particulières qui ont, en particulier,
permis la mise en place de la protection sociale dont nous héritons aujourd'hui. Le retour à une
situation "normale", qu'appelle le FMI de ses voeux, soutenu par les organisations patronales de tous
les pays, vise à remettre en cause de la plupart des fonctions de l'Etat-providence, par une
destruction méthodique. La commémoration du 60e anniversaire du PNR a quatre objectifs :
Ø Faire connaître le contenu du PNR.
Ø Organiser le débat public pour comprendre les raisons qui conduisent à la destruction
systématique des réformes issues de cette période.
Ø Entretenir l'esprit de résistance et de rejet de la soumission, par la transmission de ce
patrimoine et de cette mémoire, tout particulièrement aux jeunes générations.
Ø
S'interroger sur le point de savoir si les ambitions du PNR sont toujours d'actualité.
Des initiatives qui s'organiseront autour d'un colloque national, de manifestations locales, d'un
comité de parrainage et de la journée du 15 mars 2004 Un colloque national se tiendra les 13 et 14
mars 2004 à Paris.
Dans cet esprit, le CA du comité de Bastia d'Attac a décidé lors de sa réunion du 2 février dernier de
se mobiliser pour relayer localement cette initiative à la dimension symbolique particulièrement forte.
Plusieurs initiatives sont d'ores et déjà envisagées : défilé musical en ville : "les chemins de la
Résistance", reliant ainsi des lieux de mémoire (rues portant le nom de résistants, institutions nées
du PNR : EDF, Sécu, ...), soirée culturelle (poésie, chansons, musiques) sur le thème de la
Résistance et des résistances, ...
Pour le moment, il s'agit de mobiliser toutes et tous, simples citoyens, associations, syndicats,
organisations et partis politiques, qui se reconnaissent dans cet héritage ou qui expriment le même
refus de la résignation afin de construire ensemble la commémoration du 60e anniversaire du PNR
Une réunion d'information se tiendra à cet effet dans la salle du Bar François, rue Fontaine-Neuve à
Bastia, le jeudi 12 février 2004, à 19 heures.
N'hésitez pas à venir nous rejoindre et à nous proposer vos idées, votre aide, votre soutien pour cette
initiative.
La coordonnatrice de l'initiative pour le CA d'Attac-Bastia est Nadine Manzagol : 04.95.32.70.49
Philippe Ollandini
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Un programme d'éducation populaire tourné vers l'action proposé par Attac-Bastia :
"Una mimoria per l'avvene"
L'intention est de proposer l'animation de quartiers urbains et de villages, associant mémoire et
développement local ; anciens résistants corses et jeunes en recherche d'insertion ; patrimoine et
création, à la faveur des ressources offertes par les outils multimédia, cette fois mis en oeuvre et
pratiqués collectivement en présence lors de "veillées-spectacles" ou de rencontres en
bibliothèques.
Partant du Programme National de la Résistance, qui a initié de remarquables conquêtes - nous en
comparerons les acquis en regard des régressions actuelles induites par une politique libérale.
Cette réflexion ainsi engagée naturellement en "pays de connaissance", pourrait permettre à chacun
de mieux appréhender comment une bonne intelligence de l'histoire de proximité peut éclairer un
cheminement critique et créatif ouvert sur les réalités du monde et les enjeux de la mondialisation.
Les problématiques identitaires elles-mêmes seront alors d'autant mieux relativisées que l'éclairage
de l'histoire nous révèle qu'elles participent souvent d'un processus d'émancipation, d'accès à la
dignité citoyenne plus qu'elles n'autorisent ou ne justifient repli ou régression ethnique (exemple de la
lutte des goumiers marocains et artilleurs algériens aux côtés des Résistants corses en octobre
1943 à Teghime).
Nous ferons ainsi mieux savoir comment la Corse à été ainsi la première région libérée de France,
une année avant le continent.
Nous partirons très simplement d'un premier inventaire des lieux de mémoire ("Lieux communs" :
plaques commémoratives, stèles, noms de rues, etc...). Les travaux seront présentés par des petits
articles associant recherche d'archives et recueil de témoignages vivants. Ces documents : textes,
audio et photo-vidéo seront ensuite publiés et diffusés sur internet, par logiciel libre SPIP d'édition
collaborative (popularisé du fait de sa grande facilité d'utilisation).
Les participants devront s'identifer sur internet, dans l'espace de rédaction, pour que soient
préservés et respectés leurs droits au sein de l'operata collective. Ils seront guidés dans leur tâche
par des enseignants, animateurs et éducateurs, initiés au multimédia et co-administrateurs associés
du site internet.
Les meilleures contributions, distinguées par un collège d'enseignants et d'artistes, seront exposées
ou projetées dans des lieux de rencontre (petites salles de quartier, bibliothèques ou Maison des
associations).
Pour encourager et stimuler une participation élargie, des chants de résistance et la lectures de
poèmes (Eluard, René Char, Aragon, poètes et chanteurs corses, etc), animeront simultanément
de les rencontres itinérantes qui seront suivies de débats.
Le matériel documentaire recueilli pourra servir ultérierement de répérage à la réalisation d'un
documentaire de création qui serait présenté lors du Festival 'Images Mouvementées' d'Attac au
printemps 2005, à la veille de la commémoration de la victoire du 8 mai 1945.
Nadine Manzagol
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Forum social local de Corti : Samedi 14 février 2004
Nous vous rappelons que le Forum social local de Corti se déroule ce samedi 14 février à l'amphi de
la Faculté de Droit à l'Université de Corse à Corti.
Vous êtes tous invités à y participer
13h30 Introduction avec un spectacle sur l'AGCS et la présentation de la journée
14h00 Intervention "Précarité et paupérisation" (Collectif)
14h15 Débats
14h30 Intervention politique (comités Attac de Bastia et d'Ajaccio)
14h45 Débats
15h00 Intervention sur la Santé (Corsica sida)
15h15 Débats
15h30 Intervention sur l'Environnement (U Levante)
15h45 Débats
Pause
16h15 Intervention sur l'Agriculture (Confédération paysanne)
16h30 Débats
16h45 Intervention sur la Culture (Compagnie Alibi)
17h15 Débats
17h30 Intervention sur l'AGCS (Collectif)
17h45 Débats
Pause
18h30 Atelier / thème vers propositions d'action
18h50 Séance plénière : synthèse des propositions
19h15 Repas bio
21h00 Concert bio, gratuit et citoyen avec " U Filingu "
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Une conférence sur le commerce équitable et l'agriculture biologique bientôt à Bastia
Dominique Mauny, présidente du comité local et, par ailleurs, coordinatrice du groupe de travail sur le
commerce équitable vient de nous donner les dernières nouvelles concernant le projet de
conférence sur le commerce équitable et l'agriculture biologique sur lequel ils travaillent depuis cet
automne.
Il y aura des intervenants (Artisans du Monde de Nice) et le budget est désormais bouclé. Il a été
décidé d'élargir le débat à l'agriculture biologique de façon à montrer qu'il existe plusieurs alternatives
au modéle ultralibéral. Pour cela le groupe de travail a contacté le CIVAM qui devrait intervenir
également sur ce thème.
La conférence devrait avoir lieu le 3 avril 2004 à la salle polyvalente de Lupinu, sous réserve d'une
confirmation de la part de la Mairie de Bastia.
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Qui a dit ?
"La spéculation croissante a perverti la fonction même de la Bourse : permettre la rencontre entre
des entreprises qui ont besoin d'argent à long terme et des investisseurs qui en ont à placer".
James Tobin ? Non. Vous n'y êtes pas.
Un indice pour vous aider :
"C'est devenu une loterie où domine le souci de prendre ses bénéfices".
Robert Stiglitz ? Non. Toujours pas d'idée ?
Encore un indice supplémentaire :
"Il faut avoir le courage de dire non à la dictature des marchés".
Ignacio Ramonet ! Non, décidemment !
Il s'agit en fait de Claude Bébéar, président du Conseil de surveillance du groupe d'assurances AXA,
dans le Journal du dimanche du 6 avril 2003.
Qui l'eut cru à l'heure où l'on parle de " réformer " l'assurance maladie, tant il est vrai que les sociétés
d'assurance ne souhaitent pas imposer pas leur loi " de marché " là comme ailleurs …
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RAPPEL
Adressé à tous les membres du groupe local, le bulletin mensuel est un outil d'information. Il doit être
aussi un support permettant à chacun d'entre nous de communiquer et d'informer. Ne l'oubliez pas !!
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