Sociologie rurale
brève « présentation de la sociologie » :
Au début le dieu est un roi soleil, symbolisé par la pièce d'or, qui est une représentation de la
divinité, et on ne peut pas faire commerce avec un bout de dieu. Donc tabou vis à vis de l'argent.
C'est pour ça que les cathos n'aiment pas les juifs (c'est ce que dit weber).
Solidarité mécanique//organique.
Chez weber, dans économie et société par exemple, on parle d'acteurs historiques. Les groupes
sociaux sont pensés en termes d'évolution allant vers ce qu'on considère comme un idéal à la fin du
19e : la société urbaine industrielle blanche et européenne. Le reste étant des sociétés « sous
développées » ou ayant mal évolué.
À cela s'attachent des tas de philosophies/ représentations. Distinction entre la personnalité urbaine
et rurale. À la ville il y aurait de la liberté d'esprit et les ruraux parleraient mal, seraient lourds etc.
Ces clichés sont issus de la philosophie de l'histoire sociale du 19e.
Alors qu'aujourd'hui on peut penser que les mondes ruraux sont « civilisés », au moins autant que
les urbains.
Ça nous donne des découpages, on peut imaginer des manières de travailler/de vivre, des
séparations entre l'entreprise et la famille ou la parenté, et ça pose un problème aux sociologues
précisément parce que dans les mondes ruraux une exploitation agricole c'est aussi un regroupement
familial, parental. C'est très difficile de séparer les moments de travail et de loisir dans ces milieux.
L'approche démographique ne tient pas non plus pour ces différences entre ruralité et urbanisme,
puisque les campagnes japonaises en nombre habitant/hectare sont souvent plus peuplées que les
villes françaises.
Et puis aujourd'hui il est possible d'élever des saumons, des gorets, en ville, alors que mentalement
ça paraît impossible. Techniquement c'est réalisable mais, par la force des représentations
collectives, on n'apprécie pas trop ces idées.
On a déjà vu des élevages de poulets par exemple. Ces élevages sont horizontaux. Il y a une fraction
qui nourrit les poulets, une fraction qui les tue, nia nia... Et ça permet de gagner de l'espace. Ça veut
dire qu'on a des espaces techniques qui sont faisables mais que si elles sont socialement acceptées.
Le monde social interfère sur ce qu'il est possible de faire ou pas techniquement. Le travail de
sociologue consiste à comprendre pourquoi certaines innovations sont refusées et d'autres très
facilement acceptées (exemple : le téléphone portable, accepté car cela rentre en résonance avec les
fantasmes collectifs d'un individu libre de parler ou pas). On a aussi des zones d'économie. Qu'est-
ce qui est le plus rentable à produire ? Et on a aussi les espaces juridiques, le droit quoi. C'est en
analysant les interférences entre une technique d'économie et de droit qu'on a notre sociologie. C'est
« l'hybridation des espaces ».
on a pu véhiculer les automobiles avec du pétrole, nouvelle donne géopolitique. On a la permanence
d'un choix technique qui conforte des choix sociaux.
Assez souvent, on explique les faits observés par des choix, des rapports de force et compagnie.
Pour les sociologues, les fantasmes collectifs sur le développement des pays sont critiquables.
Aujourd'hui on critique les formes d'évolutionnisme et on parle de choix.
Les logiques sont différentes. Un choix technique est basé sur un principe d'efficacité. Le choix
économique est basé sur un principe d'accumulation : on attend plus de bénéfices. L'espace
juridique est basé sur un principe de reproduction.
On a beaucoup de mal à détecter ce qui est purement économique, purement technique ou purement
juridique. Souvent en sociologie, intrication c'est synonyme d'hybridation.
C'est pas une approche spécifique à la sociologie rurale, bien sur ! Mais bon il a l'air d'y tenir.
Identifier ce qu'est de la technologie pure, du droit pure, de l'économie pure... ça on le trouve chez
Mauss dans « technique du corps » (je crois). Pour lui, l'outil technique est tout simplement le
prolongement d'une intention intégrée au schéma corporel. Mon outil doit intégrer les automatismes
du corps. Lui c'est typiquement une hybridation entre social et technique.
homme/homme homme/matériel
Matériel
Représentations
Il faut analyser les trucs en fonction de ça. Cf cours 1ère année.
Matériellement il y a l'irruption de nouvelles manières de manger chez les citadins, de nouvelles
industries... qui ne sont pas sciemment représentés à l'époque par la sociologie. On a aussi, c'est
important, quelques dates : l'électrification des campagnes, la mise en place des réseaux d'eau dans
les années 40-50, l'utilisation des égouts seulement dans les années 65/70.
bon on se souvient que dans les années 20/30/40 les occidentaux cherchent le nouveau modèle de
société. Les sociologues émettent l'idée de faire des chambres professionnelles qui seraient
l'équivalent de chambres de société (ça donne aujourd'hui des chambres de commerce et d'industrie
et compagnie).
Historiquement, une corporation c'est un truc dont les membres sont solidaires et confrères (une
partie du corps du christ). Solidaires vis à vis de l'extérieur, mais surtout ils ont le monopole légal
de leur pratique.
La France.
Cette puissance suscite forcément des tensions, d'autant plus que dans les années 50 il faut que la
France soit autonome d'un point de vue alimentaire, par réaction aux pénuries alimentaires dans les
années 40, à la dénonciation du marché noir blabla... C'est ainsi qu'on comprend d'un point de vue
technique l'utilisation des pesticides dans les années 50, l'extension des ventes, les nouvelles
techniques de production avec le début des hybridations culturelles (?).
la France, en 63, devient le premier exportateur mondial de produits agricoles. (il me semble parce
que j'entends mal).
Aujourd'hui il y a même de la spéculation sur le grain : avant que les produits ne sont fabriqués, on
spécule sur eux. On abordera ces notions de finance plus tard. Toujours dans les années 50/60, pour
écouler la surproduction, a des injonctions à l'alimentation. Il est de bon ton de consommer de la
viande et compagnie.
On mécanise encore extrêmement les systèmes de production. Aujourd'hui on a des robots, on
programme la traite des vaches.
On a aussi le début de ce qu'on appelle les supermarchés, qui vont livrer des grands magasins.
Une date très facile à retenir : 1968. C'est l'apparition des surgelés. On a diffusion des frigidaires
dans les années 50/60, ainsi que des congélateurs... aujourd'hui du coup on a des « poissons carré »
(genre le poisson pané).
À partir de ce moment là dans les années fin 70, on a des mouvements sociaux un peu partout en
France et en Europe, où des jeunes « scolarisés urbains » vont tenter de retrouver des modes de vie
authentique, comme autrefois. Mouvement « néo rural » dans les années 70/75. On va les taxer de
hippies ou de gauchistes... on a des généraux de néo ruraux où ils sont « à peu près comme les
autres ». Mais on essaie d'inventer de nouveaux modes de vie, de nouvelles matrimonialités... Dans
les espaces de représentation, on s'imagine le passé comme authentique.
Exemple : le sel de guérande. On a des marais salants là bas. Les néo ruraux s'installent sur les
friches et inventent du « sel authentique ». ça ne les empêche pas d'utiliser des buldozers, mais pour
les touristes à guérande ils utilisent des trucs en bois. On met en scène des types de production
comme autrefois ce qui permet de qualifier la production d'authentique, aujourd'hui on dirait
écologique. Là à partir des années 60 c'est intéressant : la ruralité est fantasmée comme quelque
chose de propre, écologique, sincère... On retrouve pas mal de liens avec la valorisation du paysan,
qui est célébré. Ils seraient courageux et compagnie.
Ça marche assez bien. Depuis, ces appellations, les « systèmes d'étiquetage » sur les produits dits
écologiques, naturels, sains, sont diffusés dans les grandes surfaces, avec des réseaux de distribution
différents. On peut faire une analyse du poids de représentation par rapport aux pratiques de
production.
Ces représentations écolos sont maintenant instrumentalisées et sont l'enjeu de concurrence
commerciale.
Nos nécessités en main d'œuvre sont variables selon les saisons, et ça aussi ça pose un problème
aux économistes classiques. Au moment des récoltes on a besoin d'énormément de main d'œuvre.
Saisonnièrement et de manière momentanée. On est alors obligé de déroger au droit du travail :
dans ce moments là nos salariés ne vont pas travailler à 35 heures mais plutôt à plus. Qu'ils soient
sur place dont faut qu'ils soient logés... On ne peut pas les rémunérer au smic Horaire donc on a
encore des dérogations en termes de rémunération Horaire Ce qui fait qu'aucun français ne veut plus
travailler là dedans, et on doit faire appel à une autre main d'œuvre. Ça se met en place dans les
années 60. Au niveau juridique, ces types de production suscitent la naissance de l'office
d'immigration internationale, qui prévoit des cdi pour des non français accueillis sur notre sol
pendant la saison officielle de récoltes. Beaucoup d'algérie ou de tunisie, et maintenant from
beaucoup de pays européens. Les maraichages près de Nantes accueillent polonais, bulgares,
algériens, marocains... ce sont des contrats nominatifs et normalement il est tenu de je sais pas quoi
une fois que la saison des récoltes est terminée. Évidemment, si on a des récriminations à propos
des heures sup' non payées, on a peu de chance d'être ré-embauché l'année suivante. Ça touche aussi
au droit ! Les jugements tenus aux prud'hommes sont différents selon les nationalités. On a gain de
cause avec la justice française : si on est polonais ou tchèque, par rapport aux bulgares ou roumains.
D'une manière générale, si on fait sociologie de l'immigration, on se rend compte que les secteurs
les plus couverts en France par les étrangers sont ceux où.
Il est très difficile en sociologie de vouloir sectoriser un domaine. Même dans la dénomination,
chez les sociologues, entre ce qu'est la socio de l'immigration, rurale, ou de l'industrie, il y a des
spécialités. D'où le travail interdisciplinaire.
Bourdieu et son habitus : « je perçois l'environnement à ma manière ». La réalité sera déformée par
la manière de la concevoir. Je veux exprimer ce que je perçois de mon environnement, je m'adresse
donc à quelqu'un qui a une autre habitude. J'envoie mon message à la manière A, B décode mon
message à sa manière.
Plus les habitudes sont socialement proches, plus on a de chances que le message soit perçu de la
même façon. Il faut qu'il y ait un minimum de volonté commune entre A et B. Dans le monde rural
on a souvent affaire à des animaux, et on peut penser qu'il existe aussi des systèmes de
communication passant entre humains et animaux. Si on veut dresser ou éduquer un chien à
surveiller ou sauvegarder un troupeau, on doit lui apprendre un certain nombre de choses. L'humain
qui va dresser sa bestiole doit faire semblant de comprendre ce qu'on veut lui signifier. Là c'est
typiquement du Marcel Mauss. Si on veut dominer le chien, il faut lui interdire de monter sur les
meubles parce que c'est les dominants qui sont au-dessus à l'état sauvage (petit cours de dressage si
jamais on veut adopter un chien).
L'interaction n'est pas juste entre humains mais aussi entre humains-non humains.
Si on se sent perdu sans notre portable ou notre ordi, c'est bien qu'on l'a incorporé. Où est la limite
entre humain/non humain ? Enfin ça c'est des approches philosophiques. C'est d'abord Mauss puis
les anthropologues français style leroi gourhan.
Michel Callon Bruno La tour. Ces hommes sont très connu mais on n'en a jamais entendu parler.
C'est les portes parole de la sociologie des techniques. Leur approche : on ne fait plus la différence
entre humains/non humains. L'objet technique se charge d'humanité d'après eux (exemple : portières
automatiques dans les trams. Comme ça on évite de pousser la vieille devant. Ça humanise notre
comportement. On délègue à cette porte une part de notre humanité). De même que la sécurité dans
les magasins nous empêche de voler et humanise notre comportement. On a des délégations,
transferts entre valeurs humaines et non humaines.
La zone rurale est un bon laboratoire pour tester les interactions entre les systèmes techniques non
humains et humains.
Mauss dit que l'humain est le reflet de forces collectives qui le dépassent.
Les systèmes techniques vont interagir de manière automatique, indépendamment de l'intérêt des
acteurs parfois. On peut raisonner pareil sur la relation entre espaces économiques/sociaux. Notre
espace économique nous informe indépendamment de notre volonté.
Notre indignation quand on nous démolit notre voiture est le reflet de l'intériorisation de siècles
d'histoire du droit de la propriété privée. On est le reflet d'espaces juridiques et économiques qui
nous dépassent.
La sociologie rurale est une interface entre les espaces économiques et sociaux.
Les citadins apparaissent bien plus conformistes que les ruraux. Et ça a toujours posé problème aux
sociologues.
Question intéressante en sociologie : comment un animal peut changer de statut. Les ragondins ont
acquis un statut de nuisibles. Mais pourtant on peut en faire des choses : les manger, les utiliser
comme animaux de compagnie, pour les faire concourir... ces petits animaux ont des statut s qui
changent selon les interactions. Ça peut être un très bon mémoire de sociologie d'ailleurs ! Le statut
des ragondins. Ça peut permettre de comprendre comment fonctionnent les collectivités
territoriales.
Le prof fonctionne comme ça : il isole ses unités d'analyse, considère par quel biais interactif il les
met en contact, et ça lui donne un phénomène social total. Il est obligé d'examiner les rapports
techniques, économiques, politiques...
dans les approches d'hybridation, on n'a plus de monticule (on ne sait plus où sont strictement les
animaux, les humains, les techniques), et alors ça nous donne une approche de la sociologie très
actuelle : on ne raisonne plus en termes de nature/culture. Une forêt vierge, ça n'existe plus.
À partir des années 50 a le développement du phénomène pavillonnaires en France. On n'est plus
dans des espaces ruraux mais urbains. On a plein de sociologies des espaces pavillonnaires.
Création d'un nouveau mode de vie. Il y a un certain rapport à une nature très fantasmée : il faut
tondre le gazon sinon on passe pour quelqu'un de sale, déviant ou asocial. Ça fait partie de
conduites normatives qui sont pensées comme nouvelles à l'époque. Apparition de nouvelles règles.
On a un ensemble de règles et de devoirs. On a des petites villes locales qui sont pensées comme
autonomes.
Et qu'en est-il de l'encadrement syndical et politique de ces espaces ruraux ?
Jusque dans les années 40, les grands propriétaires ruraux sont des citadins, ils ne vivent pas sur
place.
Les ouvriers qui habitent dans des quartiers ouvriers, et bah ils vivent sur place alors ils sont
encadrés (je crois).
En zone rurale on trouve une unité fondamentale, y compris dans les zones de métallurgie. On a les
bâtiments de production et les espaces d'habitation avec les chapelles. Les historiens appellent ça
des usines-couvent. C'est une unité de production très fréquente.
Dans les années 40, ces unités en France sont souvent morcelées. À l'époque tout le monde fait du
marché noir, et on a là des réseaux parallèles tenus par des agriculteurs et des commerçants, et ces
systèmes économiques doivent être encadrés par des mouvements syndicaux ou politiques.
Bon on ne revient pas sur le corporatisme, qui habite beaucoup les campagnes, et met en valeur
l'image du paysan patriote, attaché à sa famille et catholique (même si ça ne fonctionne pas de
manière identique sur tout le territoire français).
Là on a des traditions : on trouve des attitudes plutôt conservatrices dans l'est de la France.
Traditions d'extrême gauche dans le sud de la France, ou de type « anarcho-syndicaliste ».
ça se met en place dans les années 40, puis 50-60. SFIO, machin... il y a des conflits entre les
institutions.
Autre variante : les chemises vertes. C'est des mouvements fascistes.
On valorise beaucoup le paysan fantassin, les hommes qui vont travailler en Allemagne... Et cette
modélisation très valorisée de l'agriculture fait que les espaces ruraux vont devenir des zones
incontournables pour ceux qui veulent faire une carrière politique. C'est un exercice préliminaire.
sur représentation du monde agricole au sénat.
Les petits maires en zone rurale sont à l'écoute de leurs populations, et ensuite c'est un moyen de
relayer les revendications au gouvernement. Réseaux sociaux mis en place dans les années 50.
les corporations doivent être solidaires entre eux.
Il y a des tensions politiques, des scissions selon les régions de France.
La corporation distribue les aides, et ça ne se fait pas de manière égalitaire mais autonome.
Dans les années 50-60, avec la perte de l'Algérie comme département français, il faut mettre en
place la production céréalière dans les métropoles. De nouvelle exploitations naissent, avec des
nouveaux regroupements agricoles d'exploitation en commun. On a des associations entre
agriculteurs qui vont en gros suivre les réseaux de parenté. Les structures économiques vont calquer
un peu les structures parentales.
Dans les années 60 on a eu pas mal de manifestations et là on a des rencontres entre agriculteurs et
gens de la CGT. C'est par exemple les mouvements de retour à la terre dans les années 70 avec le
larzac, par les jonctions entre syndicats salariés urbains et syndicats agricoles.
Ces mouvements de retour à la terre dynamisent l'économie locale et contribuent à créer de
nouveaux produits. Des ventes directes se mettent en place, on a l'invention de nouveaux produits
d'alimentation comme le confit de canard.
C'est un moment qui correspond aussi avec la naissance du développement durable (en 72 il se
passe quelque chose). C'est les premières réflexions sur le fait que le développement ne sera pas
sans conséquences. On commence à penser à la décroissance économique, au fait que la terre ne
sera pas éternelle.
Avant, on pensant qu'on pouvait avoir des développements de production qui ne s'arrêtent pas. Là ça
vient en même temps que les chocs pétroliers, les crises automobiles etc. On a des mouvements dits
« écologiques » qui voient le jour. Ça c'est le début, à la fois des forums sociaux ou mondiaux, et de
la relégation des mouvements de développement durable par les municipalités.
D'un point de vue sociologique, on aura énormément de contestations qui vont émaner des espaces
ruraux. Nouvelles manières d'habiter : en cabane, en yourte... Nouvelles manière de travailler (en
famille), de scolariser les enfants... il y a une vraie organisation, le droit au logement, l'installation
sur le terrain d'autrui... C'est des phénomènes qui sont au moins aussi ruraux qu'urbains. C'est plus
facile de squatter en espace rural qu'urbain.
Ces articulations vont reconfigurer notre dynamique dans les espaces ruraux.
Dès lors qu'on parle d'engrais, de pesticides... on aura ces types d'interactions. Par exemple pour
donner un exemple de sociologie rurale.
Monsieur loup. Et bah pour s'amuser un peu, il faut qu'on se regroupe. Les bergers ne sont pas
contents. Il faut concilier des interactions entre partenaires. Comment on indemnise les bergers ou
les éleveurs ? Comment perdre le moins de touristes possibles ?
Chacun agit en fonction de ses intérêts. On dispose d'une palette d'arguments de manière à ne pas
perdre la face/faire perdre la face. On amène les gens à ce qu'ils partagent nos points de vue. On a
intérêt à ce que les gens adoptent notre palette argumentative.
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