L`adaptation au changement climatique Renforcer la résilience des

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L’adaptation au changement climatique
Le changement climatique a souvent pour conséquences la destruction des moyens de
production et le début d’un cycle de pauvreté pour les populations. Si toutes les agences de
l’AKDN mènent des activités vouées d’une manière ou d’une autre à renforcer la résilience des
communautés vulnérables à ces répercussions, l’Agence Aga Khan pour l’habitat (AKAH) et la
Fondation Aga Khan (AKF) sont toutefois à la tête de ces initiatives, du fait de leur expertise
et expérience en la matière.
L’Agence Aga Khan Les catastrophes naturelles frappent généralement plus durement les plus
démunis. Outre le bilan humain, la diminution cumulative des ressources
pour l’habitat
perpétue le cycle de la pauvreté. Désormais, l’accélération du changement
climatique augmente la fréquence et l’intensité des catastrophes naturelles,
et par là même le prix payé par ces communautés.
En réponse à la menace grandissante que représentent les risques
naturels liés au changement climatique, une nouvelle agence, l’Agence
Aga Khan pour l’habitat (AKAH), réunit plusieurs domaines d’activités
consacrés à la préparation aux catastrophes tant soudaines que
progressives. L’AKAH met tout en œuvre pour que les populations
démunies vivent dans des environnements les plus à l’abri possible des
conséquences des catastrophes naturelles, que celles résidant dans des
zones à haut-risque soient à même de se préparer et de faire face aux
cataclysmes et qu’il y ait dans ces régions un accès aux services sociaux
et financiers débouchant sur une amélioration des perspectives d’avenir
et de la qualité de vie. Actuellement, l’AKAH concentre son action en
Afghanistan, au Pakistan, au Tadjikistan, en République kirghize et en Inde.
La Fondation
Aga Khan
L’adaptation au changement climatique
Depuis une trentaine d’années, le modèle de développement rural
de l’AKDN, inauguré par la Fondation Aga Khan (AKF) dans le but
de réduire efficacement la pauvreté et d’améliorer les économies
locales de territoires géographiques ciblés, a été adapté et largement
reproduit. À l’aube de leur quatrième décennie, ces programmes de
développement rural s’attachent également à trouver des réponses aux
nouveaux problèmes posés par une évolution démographique rapide,
un changement climatique et un contexte géopolitique imprévisible. En
Inde, l’action de l’AKF en matière de gestion des ressources naturelles
et de l’eau, de cultures de remplacement, d’irrigation par aspersion
et de services à l’emploi touche près de 1,5 million de personnes ;
dans le nord-ouest de Madagascar, la Fondation a contribué à réduire
la pauvreté en triplant la productivité des cultures rizicoles ; au
Pakistan, l’AKF a planté des dizaines de millions d’arbres, construit des
centaines de ponts et financé des milliers de projets d’infrastructure
qui bénéficient à plus d’un million de personnes ; en Afghanistan, ses
interventions accompagnent plus de 3 millions de personnes à travers
7 provinces du centre et du nord-est du pays.
Soutenir l’AKDN
Partenariats
Particuliers
Lorsque l’AKDN cherche à affiner son approche de
développement dans une région donnée, il fait généralement
appel à des partenaires pour étendre l’ampleur de son action.
Une part importante du financement des activités de l’AKDN
provient ainsi de gouvernements, d’institutions multilatérales
et de partenaires du secteur privé.
Pour en savoir plus : akdn.org/partners
Les particuliers peuvent également apporter leur soutien
à l’AKDN. Pour en savoir plus : akdn.org/support
Renforcer la résilience des communautés
Participez à la conversation !
Pour tout renseignement complémentaire : Réseau Aga Khan de développement (AKDN), 1-3 Avenue de la Paix, 1202 Genève, Suisse. Tél. : +41 22 909 7200 ; e-mail : [email protected]
© AKDN, juillet 2016. Les informations présentées dans ce document peuvent être reproduites à condition qu’il soit fait mention de l’AKDN.
En couverture : Les interventions axées sur l’eau et l’assainissement menées par l’AKDN à Gujarat en Inde contribuent à améliorer les conditions de vie. Photos : AKDN/Jean-Luc Ray,
Lucas Cuervo Moura, Christopher Wilton-Steer.
www.akdn.org
Changement climatique
L’augmentation des périodes de sécheresse, les pénuries
d’eau et les variations de température influent sur la capacité
des populations à se nourrir, à élever leur bétail et à gagner
décemment leur vie. Dans les zones d’intervention de l’AKDN,
ce problème est aggravé par une exposition aux risques
naturels : inondations, avalanches et coulées de boue. De
telles catastrophes peuvent détruire en un instant les biens
des familles et des communautés, obligeant certaines à migrer
et à s’installer ailleurs. Autre conséquence possible : les
ressources naturelles deviennent souvent des objets de conflit
du fait des pressions accrues sur les terres. C’est pour cela que
l’AKDN adopte une approche intégrée. En étroite collaboration
avec les agriculteurs et les communautés, il œuvre à adapter
l’agriculture aux nouvelles conditions climatiques, à créer de
nouveaux moyens de subsistance, à améliorer la gouvernance
des ressources naturelles et à réduire l’exposition aux risques
naturels. La consolidation des systèmes sanitaire et éducatif
destinée à renforcer la résilience globale des communautés
s’inscrit également dans cette approche.
Réduction des risques
de catastrophe
Gouvernance
Pour faire face au changement climatique et aux catastrophes naturelles,
les organisations villageoises coordonnent leurs efforts de gestion des
terres, des biens communautaires et
de l’eau avec les instances régionales
et nationales. Une meilleure gouvernance de ces ressources essentielles
permet aux communautés d’être plus
résilientes aux aléas climatiques.
L’AKAH met tout en œuvre pour
que les populations démunies
vivent dans des environnements
les plus à l’abri possible des
conséquences des catastrophes
naturelles et que celles résidant
dans des zones à haut-risque
soient à même de se préparer et
de faire face aux cataclysmes.
République Kirghize
Tadjikistan
Afghanistan
Pakistan
Eau
Selon la Banque mondiale, 40 %
de la planète n’a accès ni à l’eau
potable ni à l’assainissement, un
problème aggravé par le changement climatique. Avec les communautés, l’AKDN développe
durablement l’adduction d’eau,
l’assainissement et la bonne
gestion des ressources en eau à
des fins productives.
Inde
Mali
Bangladesh
Ouganda
Kenya
Tanzanie
Mozambique
En collaboration avec ses partenaires,
l’AKDN a :
Madagascar
Programmes d'adaptation aux changements climatiques de l'AKDN
Régions prioritaires
Forêts
130 millions
17 000
Planté plus de 130 millions
d’arbres en Asie et en
Afrique
Aidé les communautés à
créer plus de 17 000
organisations villageoises
Les arbres luttent contre le changement climatique en stockant le carbone, en régulant l’écoulement des
eaux et en aidant à la gestion du bassin versant. Ils fournissent aux foyers
agricoles l’alimentation, le combustible
et le fourrage. Ils aident aussi à protéger les communautés en stabilisant
les terrains pentus et en réduisant
ainsi les risques de glissement de terrain et d’avalanche.
Les programmes et institutions de l’AKDN
contre le changement climatique sont présents
dans de nombreux pays.
Agriculture
climato-intelligente
La hausse des températures et la
variabilité des précipitations font
baisser les rendements agricoles.
Avec les petits agriculteurs, l’AKDN
met en place des techniques innovantes de culture et des solutions
de crédit leur permettant d’atténuer
les effets du changement climatique
sur leurs revenus et leurs moyens de
subsistance.
L’adaptation au changement climatique
Le changement climatique a souvent pour conséquences la destruction des moyens de
production et le début d’un cycle de pauvreté pour les populations. Si toutes les agences de
l’AKDN mènent des activités vouées d’une manière ou d’une autre à renforcer la résilience des
communautés vulnérables à ces répercussions, l’Agence Aga Khan pour l’habitat (AKAH) et la
Fondation Aga Khan (AKF) sont toutefois à la tête de ces initiatives, du fait de leur expertise
et expérience en la matière.
L’Agence Aga Khan Les catastrophes naturelles frappent généralement plus durement les plus
démunis. Outre le bilan humain, la diminution cumulative des ressources
pour l’habitat
perpétue le cycle de la pauvreté. Désormais, l’accélération du changement
climatique augmente la fréquence et l’intensité des catastrophes naturelles,
et par là même le prix payé par ces communautés.
En réponse à la menace grandissante que représentent les risques
naturels liés au changement climatique, une nouvelle agence, l’Agence
Aga Khan pour l’habitat (AKAH), réunit plusieurs domaines d’activités
consacrés à la préparation aux catastrophes tant soudaines que
progressives. L’AKAH met tout en œuvre pour que les populations
démunies vivent dans des environnements les plus à l’abri possible des
conséquences des catastrophes naturelles, que celles résidant dans des
zones à haut-risque soient à même de se préparer et de faire face aux
cataclysmes et qu’il y ait dans ces régions un accès aux services sociaux
et financiers débouchant sur une amélioration des perspectives d’avenir
et de la qualité de vie. Actuellement, l’AKAH concentre son action en
Afghanistan, au Pakistan, au Tadjikistan, en République kirghize et en Inde.
La Fondation
Aga Khan
L’adaptation au changement climatique
Depuis une trentaine d’années, le modèle de développement rural
de l’AKDN, inauguré par la Fondation Aga Khan (AKF) dans le but
de réduire efficacement la pauvreté et d’améliorer les économies
locales de territoires géographiques ciblés, a été adapté et largement
reproduit. À l’aube de leur quatrième décennie, ces programmes de
développement rural s’attachent également à trouver des réponses aux
nouveaux problèmes posés par une évolution démographique rapide,
un changement climatique et un contexte géopolitique imprévisible. En
Inde, l’action de l’AKF en matière de gestion des ressources naturelles
et de l’eau, de cultures de remplacement, d’irrigation par aspersion
et de services à l’emploi touche près de 1,5 million de personnes ;
dans le nord-ouest de Madagascar, la Fondation a contribué à réduire
la pauvreté en triplant la productivité des cultures rizicoles ; au
Pakistan, l’AKF a planté des dizaines de millions d’arbres, construit des
centaines de ponts et financé des milliers de projets d’infrastructure
qui bénéficient à plus d’un million de personnes ; en Afghanistan, ses
interventions accompagnent plus de 3 millions de personnes à travers
7 provinces du centre et du nord-est du pays.
Soutenir l’AKDN
Partenariats
Particuliers
Lorsque l’AKDN cherche à affiner son approche de
développement dans une région donnée, il fait généralement
appel à des partenaires pour étendre l’ampleur de son action.
Une part importante du financement des activités de l’AKDN
provient ainsi de gouvernements, d’institutions multilatérales
et de partenaires du secteur privé.
Pour en savoir plus : akdn.org/partners
Les particuliers peuvent également apporter leur soutien
à l’AKDN. Pour en savoir plus : akdn.org/support
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© AKDN, juillet 2016. Les informations présentées dans ce document peuvent être reproduites à condition qu’il soit fait mention de l’AKDN.
En couverture : Les interventions axées sur l’eau et l’assainissement menées par l’AKDN à Gujarat en Inde contribuent à améliorer les conditions de vie. Photos : AKDN/Jean-Luc Ray,
Lucas Cuervo Moura, Christopher Wilton-Steer.
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