MAC 100 FICHE MÉTHODE NOS 3 CONSEILS 1 Pour cette épreuve composée de 30 questions de logique, vous devez absolument vous entrainer sur de nombreux cas. Les annales sont en ce sens indispensables pour bien comprendre l’esprit de l’épreuve et les attentes. Sachez que plus en ferez et plus vous serez prêt le jour J. 2 Apprenez par coeur les 18 critères qui suivent, ils vous seront très utiles le jour J. 3 Ne vous laissez pas démonter le jour J. Si vous bloquez sur une série, passez ! Vous trouverez toujours sur votre chemin plusieurs questions accessibles et plutôt faciles. N’oubliez pas que l’esprit du MAC 100, c’est aussi d’identifier les candidats capables de garder leur sang froid, de ne pas se démotiver et de tirer le meilleur d’eux-mêmes pour répondre à un maximum de questions. 1 Suite à progression arithmétique/géométrique Progression arithmétique, géométrique ou de nombres premiers selon le rang alphabétique de la lettre. Dans cet exemple, il s’agit d’une suite arithmétique (+ 1, + 2, + 3, + 4). L’élément solution est 13 = M. 2 Nombre de barres Nombre de barres identique, croissant ou décroissant entre chaque lettre. Dans cet exemple, le nombre de barres est toujours égal à 3. 3 Lettres symétriques Les lettres sont toutes symétriques en leur milieu (vertical). 2 4 Lettre = initiale du nombre ou du nom de la figure La ou les lettres représentent les initiales du chiffre/nombre (exemple : VC pour 25 (Vingt-Cinq)). La lettre est l’initiale du nom de la figure (exemple : P pour Pentagone). 5 Nombre de voyelles ou nombre de voyelles Le nombre de voyelles est constant, croissant ou décroissant. Dans notre exemple, il est croissant (1, 2, 3, 4). TU ROI APACHE AFRICAIN Nombre de consonnes Le nombre de consonnnes est constant, croissant ou décroissant. Dans notre exemple, il est croissant (1, 2, 3, 4). IL PAR CHAT VERRES 3 6 Suites arithmétiques/géométriques Progression arithmétique ou géométrique entre chaque nombre. Dans notre exemple, progression géométrique : 3-6-12-24 (× 2 entre chaque nombre). L’élément solution est 48. NB : les progressions géométriques possibles sont : × 2, × 3, × 4 ou × 5. 7 Suites de nombres premiers Suite de nombres premiers. Dans notre exemple, suite décroissante : 101-97-89-83-?. L’élément solution est 79. 101 8 97 89 83 Suites de carrés/cubes Suite de carrés ou de cubes. Dans notre exemple, suite de carrés : 49-64-81-100-?. L’élément solution est 121. 49 64 81 100 4 9 Lecture inverse de carrés/cubes/nombres premiers La lecture inverse des nombres (de la droite vers la gauche) donne une série de carrés, de cubes ou de nombres premiers. Dans cet exemple, il s’agit d’une suite de cubes (64, 512, 343, 1 728). 46 10 215 343 8 271 Lecture phonétique La lecture phonétique de la ligne du bas (du haut) donne le nombre de la ligne du haut (du bas). Dans cet exemple, lisez à haute voix la ligne du bas : 1321 donne « un trois et deux un » = 311. Et ainsi de suite. 311 1321 11 2211 2221 13 1113 332 2312 Suite arithmétique ou nombres premiers ? ATTENTION : Illustrons un piège récurrent dans les séries graphiques du test MAC 100 avec un exemple : A5 K7 N11 ? 5 (A) (B) W13 (C) Z17 (D) T17 F13 Réponse : ► ÉTAPE 1 : le nombre de barres qui composent les lettres est toujours égal à 3. On garde les réponses B et D. ► ÉTAPE 2 : on s’intéresse aux nombres, où deux logiques peuvent être aperçues : Une suite arithmétique : + 2, + 4 et donc + 6 = 17 → Réponse B. Une suite de nombres premiers : 5, 7, 11 et donc 13 → Réponse D. Dans ce cas, privilégiez la logique ayant le plus d’occurrences. Pour, la logique «suite de nombres premiers» on observerait quatre récurrences (5, 7, 11, 13). Pour la logique « suite arithmétique », on observerait trois récurrences (+ 2, + 4, + 6). On privilégie donc la suite de nombres premiers. Réponse D. 12 Nombre de côtés Le nombre de côtés des figures est identique, croissant ou décroissant. Dans cet exemple, le nombre de côtés des figures est croissant. 13 Nombre d’angles droits Le nombre d’angles droits des figures est identique, croissant ou décroissant. Dans cet exemple, le nombre d’angles droits est croissant (0, puis 1, puis 2, puis 3). 6 14 Éléments graphiques Le nombre d’éléments à l’intérieur d’une figure est identique, croissant ou décroissant. Dans cet exemple, le nombre d’éléments est croissant (1, puis 2, puis 3, puis 4). La prochaine figure aura donc 5 éléments. 15 Nombre de points d’intersection Le nombre de points d’intersection entre les 2 figures est identique, croissant ou décroissant. Dans cet exemple, le nombre de points d’intersection est croissant (2, 4, 6, 8). Le cadre suivant aura 10 points d’intersection. 16 Valeur des symboles Les symboles peuvent alterner d’un cadre à l’autre. L’important est leur nombre ou la valeur représentée. Dans cet exemple, & = 10 et # = 1. Donc 11 = &#, 4 = ####, 21 = &&# et 10 = &. 7 17 Trouver des liens complexes La prochaine étape consiste à trouver le lien logique qui relie les données (nombre de côtés, rangs alphabétiques, nombre, nombre d’éléments, etc.) en trouvant notamment le signe opératoire (+, –, × ou ÷) qui relie les éléments. Quelques liens logiques très fréquents : « chiffre et nombre de barres », « rang alphabétique et nombre de côtés », « nombre de côtés au carré/cube = nombre ou rang alphabétique », « les croix » (cf. exemple 1), « les croix » (cf. exemple 2) et « séparation du nombre » (cf. exemple 3). Exemple 1 La somme ou la multiplication des chiffres « verticaux » est égale à la somme ou à la multiplication des chiffres « horizontaux ». Dans cet exemple, 3 × 4 = 2 × 6, etc. Exemple 2 La somme ou la multiplication des chiffres est égale au rang alphabétique de la lettre. Dans cet exemple, 4 + 5 + 9 = 18 (soit R), etc. Exemple 3 Séparez le nombre et additionnez ou multipliez les chiffres entre eux. Dans cet exemple, 9 + 2 = 4 + 7, 1 + 5 = 3 + 3, 6 + 6 = 3 + 9, 5 + 5 = 9 + 1. De nombreux autres liens logiques existent : il est fondamental de s’exercer le plus possible pour en découvrir le plus. Dans tous les cas, l’esprit créatif des rédacteurs est sans limite. Gardez l’esprit ouvert ! 8 18 Mouvements Il existe 5 types de mouvements : « mouvement de rotation », « mouvement circulaire », « mouvement d’alternance », « mouvement du serpent » et « mouvement de décalage ». La rotation (sur soi-même) d’un élément est une suite logique. La rotation peut être dans le sens des aiguilles d’une montre ou non et est souvent de 45° ou 90°. Un mouvement circulaire d’une lettre, d’un nombre ou d’un élément est une suite logique. Un mouvement d’alternance le long d’un axe de symétrie est une suite logique. L’axe de symétrie peut être horizontal, vertical, diagonal ou central. 9 Le mouvement du « serpent » correspond à une oscillation haut/bas – bas/ haut ou bas/haut – haut/bas de cadre à cadre. Un élément se décale vers la droite d’un tiers de cadre et un autre vers la gauche d’un demi-cadre. 10