Remerciements
Enpremier lieu, je souhaite remercier chaleureusement Jérôme Darmont
qui m’a accompagné tout au long de cette démarche en qualité de
coordinateur, affichant une confiance remarquable par sa constance. J’ex-
prime également tous mes remerciements envers Monsieur Stan Matwin,
Monsieur Eric Gaussier et Madame Christel Vrain qui m’ont fait l’honneur
d’accepter d’être les rapporteurs de ce mémoire d’HDR, ainsi qu’à Mes-
sieurs Patrice Bellot, Jean-Gabriel Ganascia et Djamel A. Zighed pour celui
d’examiner mon travail en intégrant le jury de soutenance. Je tiens à re-
mercier en particulier Jean-Gabriel Ganascia pour les discussions passion-
nantes que nous avons eues sur ces sujets situés entre science et société.
Sans lui, une dimension importante aurait fait défaut à ce mémoire.
Je remercie en second lieu tous les collègues du laboratoire ERIC, qu’il
s’agisse des enseignants-chercheurs, enseignants, personnels administra-
tifs et doctorants. Mes pensées vont particulièrement vers ces derniers qui
m’ont fait confiance pour participer à la supervision de leur travail de
thèse : Anna Stavrianou, Mathilde Forestier, Marian-Andréi Rizoiu, Mo-
hamed Dermouche, Alberto Lumbreras. Je sais tout le crédit que je leur
dois, ainsi qu’à toutes les petites mains (étudiants, stagiaires, chercheurs
invités), dans la poursuite de mes recherches. Je dois aussi beaucoup aux
nombreuses et enrichissantes discussions partagées avec des collègues de
l’Université Lyon 2et plus largement avec des membres de la communauté
universitaire. Sans ces moments d’échange, qui nous élèvent au-dessus des
questions administratives terre-à-terre et parfois bien rébarbatives, le mé-
tier d’enseignant-chercheur ne serait pas le même.
Pour terminer, je remercie ma famille qui m’a toujours soutenu dans
les moments difficiles. Je pense notamment à ma belle-mère Etiennette et
à ma sœur Claire qui ont accepté la tâche ingrate mais indispensable de
relire l’intégralité de mon mémoire. Je pense surtout à mon épouse Margot
et à mon fils Romain qui donnent un sens à tout ça. C’est à ce dernier que
je dédie ce mémoire.
Lyon, le 25 mars 2015.
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