
VIe congrès
comme siège du VIIe congrès, fait qui prouve le souci des congressistes
d’assurer la continuité et la régularité de cette institution scientifique.
Cependant, presque le dernier moment, on a dû renoncer d’organiser le
prochain congrès à Beyruth, désignant Alger à sa place. Ce changement fut
imposé par les circonstances politiques fâcheuses survenues alors en Syrie,
en conséquence de la situation internationale inquiétante. En effet, la France,
sandjaq
une vive réaction de la part des Syriens revendiquant avec vigueur leur
indépendance. Sous ces conditions, nullement favorables pour une réunion
d’un organe central international des byzantinistes, c’était probablement le
comité d’organisation du VIe congrès, de composition française, qui a pris
d’urgence la décision nécessaire pour envisager ce cas exceptionnel. Alger,
alors territoire français, paraissait la solution la plus propice. En tout cas,
, mais la
Grande Guerre, éclatée un mois avant, a empêché sa réalisation. Ainsi, on a
. Gabriel Millet a fait cette proposition au nom du Gouvernement Français [voir
Actes du IVe Congrès,Byz.
Atti del V Congresso
Internazionale di Studi Bizantini, Roma 20-26 settembre 1936, vol. SBN
, L’Abîme, 1939-1944. Politique étrangère de la France,
DEM, La Décadence, 1932-1939.
Politique étrangère de la France,
. N. Iorga eut l’intention de publier une série d’études en vue du VIe Congrès
Études
Byzantinesibid