MESSAGER Céleste - Vagabonds du ciel

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É D I T I O N
O C T O B R E
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Le
MESSAGER Céleste
S I T E I N T E R N E T : w w w. v a g a b o n d s d u c i e l . c a
Francine Raynault
Députée de Joliette
Chambre
des Communes
Canada
436, rue Saint-Viateur
Joliette (Québec) J6E 3B2
Tél. : (450) 752-1940
Télec. : (450) 752-1719
[email protected]
Pièce 325
Éd. de la Confédération
Ottawa (Ontario) K1A 0A6
Tél. : (613) 996-6910
Télec. : (613) 995-2818
ATTENTION
La prochaine réunion
du club
aura lieu
le mercredi
03 octobre 2012
à 19:00 hr
À la Polyvalente
Thérèse-Martin
(voir l’emplacement sur le site)
Bienvenue à tous et merci de votre participation.
Mot du Président
Nous voici déjà arrivés en automne. Si
vous pensiez que les Vagabonds
étaient pour tomber en hibernation,
c'est très mal nous connaître!! L'automne, contrairement aux dires de
certains, offre ses avantages autant
pour les astronomes friands d'observation que ceux, plus douillets, qui apprécient les activités intérieures.
Pour l'observation, l'automne nous
offre son lot de beaux objets célestes.
La galaxie d'Andromède, la galaxie du
Triangle, l'amas double de Persée, les
Pléiades, le retour graduel de la nébuleuse d'Orion et plusieurs autres et en
prime, la planète géante Jupiter sont
tous de beaux objets à découvrir ou à
redécouvrir. Autour de la période de la
nouvelle Lune (15 octobre), ce sera
probablement les dernières occasions
de profiter du formidable site d'observation que les propriétaires de la
pourvoirie Saint-Zénon nous ont généreusement permis d'avoir accès.
Pour les activités intérieures, nous
avons déjà le cours d'astronomie débutant animé par David Trudelle qui est
commencé et qui a connu une excellente participation des membres du
club. Au mois d'octobre, le professeur
David Trudelle sera au Cosmodôme le
......octobre pour parler des mystérieux
trous noirs. Il y a aussi le CAFTA qui
à lieu à Dorval le ....octobre prochain.
L'année scolaire est déjà bien débutée
et nos conférences ont déjà elles aussi
commencé. Marcel et moi avons été à
l'école Dominique-Savio faire une
conférence sur le système solaire pour
environ 65 élèves de 2e, 3e et 4e année. Si vous aimeriez faire une animation d'une heure ou simplement aider
un animateur
cette
a n n é e
c'est tout à
fait possible.
Simplement me
contacter et je vous
indiquerai la marche à suivre pour que
vous viviez cette belle expérience.
Nous avons plusieurs dates de prévues. Début novembre, un des plus
chevronné astronome amateur du
Québec et auteur du livre Projet d'observation: Parcourir le ciel, Claude
Duplessis, sera parmi nous pour nous
parler d'observation du ciel. À ne pas
manquer!
Activités du mois:
3 octobre 19h30, réunion mensuelle
du club au miniauditorium de l'école
Thérèse-Martin. Francis Lajoie nous
parlera de la mission APOLLO.
4 octobre, école Saint-Roch-de-l'Achigan.
17 octobre, école Amis-Soleil à Lavaltrie.
26 octobre 19h, conférence à la bibliothèque de Rawdon suivi d'observation
aux télescopes au parc des chutes
Dorwin si le ciel est dégagé.
6 novembre 19h30, conférence de
Claude Duplessis sur l'observation du
ciel au centre Alain-Pagé à SaintCharles-Borromée.
Bon ciel!
Dominic Marier
Les Étoiles
Hypernova &
Trous noirs
Un phénomène très similaire
se produit lors de la formation
d’un trou noir, on l’appelle
hypernova, cependant celui-ci
est bien plus énergétique
qu’une supernova. Une hypernova est environ 100 fois
plus puissante qu’une supernova, l’étoile originelle ayant
une masse d’environ 40 masses solaires (moins d’une
étoile sur 10 000). Aussi, les
hypernovas seraient, à l’origine, des sursauts gamma libérant une énergie équivalente
à 100 milliards d'étoiles en
une seule seconde! Ce sursaut
gamma prend origine juste
après que le cœur de l’étoile
se soit effondré en trou noir.
Le trou noir commence immédiatement à absorber la
matière autour de lui, il se
vampirise lui-même. Lorsque
le trou noir absorbe environ
un million de fois la masse de
la terre en une seconde, cela
en est trop pour lui, il éjecte
son trop-plein sous la forme
d’une bouffée de rayons
gamma. Il s'agit du phénomène cosmique le plus violent
connu, mais il est si rare qu'on
ne l'observe généralement que
dans des galaxies extrêmement lointaines. Le cœur de
l’étoile mourante est si massif, environ 3,3 fois la masse
du Soleil, et a un champ gravitationnel si puissant, que le
noyau atteint un volume virtuellement nul devenant ainsi
un trou noir, car même les
forces de répulsion entre les
électrons, les protons et les
neutrons ne peuvent compenser l’immense champ gravitationnel généré par le noyau.
Un trou noir ne doit pas être
vu comme un aspirateur
géant, mais plutôt comme une
déformation extrême de l’espace-temps. Plus un corps est
massif, plus le « creux » dans
le tissu de l’espace-temps est
important; un trou noir forme
un trou si profond que rien ne
peut en sortir, pas même la
lumière. Pour échapper à un
trou noir, l’objet devrait avoir
une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière, ce qui est
totalement impossible selon la
relativité générale. La démarcation d’un trou noir est l’horizon des événements, un véritable point de non-retour,
rien ne peut s’en échapper,
c’est pourquoi c’est aussi la
limite de ce que l’on peut observer. Afin d’être un trou
noir, un corps céleste doit respecter le rayon de
Schwarzschild, celui-ci est le
rayon minimal dans laquelle
toute la masse d’un corps céleste doit être comprise, cela
étant, il devient un trou noir.
Ce rayon est très petit, par
exemple, le Soleil devrait entrer ses 1 392 000 km de diamètre en un diamètre de
moins de trois kilomètres et la
Terre devrait être réduite à
une simple bille de quelques
millimètres de diamètre!
Près d’un trou noir stellaire,
l’espace est tellement déformée que toute la matière qui
s’en approche est étirée par un
phénomène appelé spaghettification : un astronaute s’approchant d’un trou noir aurait
les pieds attirés plus fortement
que sa tête, ceux-ci étant plus
près du trou noir que sa tête, il
en résulterait un étirement de
son corps, on appelle cette
différence gravitationnelle
« force de marée ». Toutefois,
les trous noirs galactiques ne
possèdent pas ce genre d’effet, il n’y a pas de force de
marée pour un trou noir si
massif.
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En raison de sa force gravitationnelle immense, le temps
dans les environs du trou noir
est fortement dilaté. Afin d’illustrer, prenons l’exemple de
deux astronautes, l’un s’approche du trou noir (A1) et
l’autre est plus loin du trou
noir (A2), regardant son compagnon à l’aide de jumelles,
afin de simplifier, nous ne
prendrons pas en compte l’effet des forces de marées. A1
est attiré par le trou noir et
tombe vers l’horizon des événements. Donc A1 accélère
selon son référentiel. Un référentiel est un système de repérage grâce auquel il est possible de situer un évènement
dans l’espace et le temps, A1
et A2 possèdent le leur. Malgré que A1 accélère selon son
référentiel, A2 voit son compagnon ralentir, en fait, malgré que, selon son référentiel,
A1 a traversé l’horizon des
événements, A2 ne le verra
jamais entrer dans l’horizon
des événements, la déformation de l’espace-temps causée
par le trou noir est si grande
que les secondes, pour A1,
selon le référentiel de A2, deviendraient progressivement
10 minutes, 1 an, 100 ans
puis, l’infini. Ce qu’il y a
d’extraordinaire avec un trou
noir, c’est que même si A2
voit les secondes s’écouler
bien plus lentement pour A1,
A1 ne ressent rien du tout, il
n’a pas l’impression que les
secondes s’écoulent plus lentement, le temps s’écoule aussi normalement pour lui que
pour nous! A1, en raison de
l’accélération gravitationnelle
qu’il subit, sa vitesse avoisinerait la vitesse de la lumière,
donc en vertu des lois de la
relativité, chaque image de A1
mettrait un temps de plus en
plus long à atteindre A2,
même lorsqu’il atteindrait
l’horizon des événements, sa
vitesse atteindrait celle de la
lumière, et l’image de A1
mettrait un temps infini à atteindre A2. A1 semblerait ainsi gelé pour toujours dans son
mouvement au moment où il
serait juste à l’extérieur de
l’horizon des événements.
La lumière s’approchant de
l‘horizon des événements peut
arriver à s’échapper au trou
noir, si celle-ci est suffisamment loin du trou noir. Cependant, en raison de l’intense
attraction gravitationnelle du
trou noir, celle-ci elle subit un
décalage vers le rouge. Elle
subit ce décalage en raison de
l’énergie qu’elle doit fournir
pour échapper au trou noir, le
rouge étant la longueur
d’onde visible qui transporte
le moins d’énergie, la couleur
de la lumière parvenant à
s’échapper du trou noir tend
vers le rouge.
Comme vous le savez, il arrive qu’un trou noir absorbe
une étoile, mais que ce passet-il au juste? L’étoile est progressivement absorbée par le
trou noir par un côté. Puis,
l’étoile gravite de plus en plus
près du trou noir, l’étoile finit
par s’aplatir et, en raison de la
force exercée sur celle-ci, elle
explose.
Mais, qu’est-ce qui se trouve
au fond du trou noir? Malheureusement, il n’y a que des
hypothèses. La relativité générale prédit que le trou noir
« étrangle » l’espace-temps,
donc la matière s’accumulerait indéfiniment dans ce
nœud. Mais, comme on le
sait, une étoile à neutrons
tourne très vite sur elle-même
alors, pourquoi pas un trou
noir? C’est ici que les théories
les plus excentriques peuvent
être posées. La porte des étoiles, ça vous dit quelque
chose? Eh oui, un trou de
vers! Un trou noir en rotation
ne serait pas bouché, mais il
serait en forme d’anneau couché sur le plan équatorial.
Donc, soit en passant directement au milieu, en évitant
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soigneusement de toucher le
bord, ou encore en survolant
l’anneau singulier, il serait
théoriquement possible d’éviter l’écrasement. Celui-ci
n’étant pas bouché, on pourrait
peut-être voyager à travers
l’espace-temps et qui sait, se
retrouver quelque part dans
notre Univers ou même, selon
d’autres théories, dans un autre
univers!
laxies), un trou noir initialement stellaire peut atteindre
un milliard de masses solaires
et devenir aussi volumineux
que notre système planétaire.
Pour ce qui est de la masse des
trous noirs galactiques, leur
masse serait équivalente à des
millions de masses solaires
pour ceux dits massifs et à des
milliards de masses solaires
pour ceux dits supermassifs.
Selon certaines théories, pratiquement tous les trous noirs
existants, même les trous noirs
galactiques seraient, à l’origine, de simples trous noirs
stellaires. Les trous noirs dits
intermédiaires, que l’on retrouve dans les amas globulaires, subissent l’effondrement
des régions centrales et la fusion de nombreuses étoiles.
Leur masse est comprise entre
quelques centaines à quelques
milliers de masses solaires.
Pour les trous noirs galactiques, il y aurait deux mécanismes possibles, soit qu’ils se
formeraient d'un coup, par effondrement d'un très gros amas
d'étoiles ou progressivement à
partir d'un trou noir stellaire.
Pour une galaxie dont le cœur
est riche en nourriture potentielle (étoiles et gaz), les calculs théoriques faits en supposant un taux d'alimentation raisonnable du trou noir montrent
que, sur une période de 10 milliards d'années (ce qui correspond à peu près à l'âge des ga-
Certaines galaxies contiennent
un trou noir particulièrement
actif, c’est pourquoi on les appelle des quasars. Mais pourquoi toutes les galaxies ne
sont-elles pas des quasars ?
Tout simplement parce que
pour être actif, un trou noir
doit absorber de la matière.
C’est pourquoi les quasars sont
généralement de jeunes galaxies, le trou noir central de
celles-ci est entouré de beaucoup de matière qu’il absorbe.
Les vieilles galaxies, quant à
elles, ont englouti toute la matière autour d’eux, c’est pourquoi ils ne démontrent pratiquement aucun signe d’activité. Les quasars sont dans les
objets les plus lumineux de
l’univers, car, en absorbant la
matière autour de lui, le trou
noir central chauffe la matière
à des températures extrêmes, la
faisant rayonner dans des longueurs d’onde, dont le visible,
très énergétique.
Sources
AUDOUZE, Jean. « Novae et
Supernovae », Universalis. [en ligne].
h"p://www.universalis-­‐e
du.com.proxy.collanaud.
qc.ca/encyclopedie/nova
e-­‐et-­‐supernovae/.
L U M I N E T, J e a n - P i e r r e .
« Trous Noirs », Universalis. [en ligne].
h"p://www.universalis-­‐e
du.com.proxy.collanaud.
qc.ca/encyclopedie/trou
s-­‐noirs/.
HOPKINS, Will et SOLURI,
Michael et LORALEE,
Nolletti. « L’Univers des
Étoiles ». Gründ, 2005,
184 pages.
COLLECTIF. Encyclopedia of
Astronomy. The Firefly.
Firefly Books, 2004, 472
pages.
Audrey-Ann Miron
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Le Soleil
Le soleil d'automne se fait déjà
sentir. Ses rayons disparaissent à
l'horizon un peu plus tôt..Nous
pouvons continuer à l'observer
avec des télescopes
conçus à cet effet.
Ou nous pouvons
aussi admirer ses
spectaculaires éjections en regardant
des photos réalisées par la Nasa.
Le soleil est composé d'hydrogène
et d'hélium, 8 planète lui tournent
autour ainsi que 5
planètes naines et
des astéroïdes, des comètes,
surement beaucoup de poussière. Ajoutez des E.T. si vous le
désirez, il n'en fera pas moins
99.86% de la masse de notre
système solaire.
N'ignorons pas cet astre, dont
son énergie nous réchauffe,
nous éclaire, nous permet d'être
en vie. Même si c'est une étoile
dite banale, puisqu'il en existe
des millions dans notre galaxie
ayant un type spectral identique,
cette étoile demeure extraordinaire lorsqu'on l'observe.
C'est d'ailleurs ce que font des
chercheurs de l'Observatoire de
l'astrophysique du Teide, sur
l'île espagnole de Ténérife. Ces
scientifiques cherchent à comprendre le fonctionnement interne du soleil, en mesurant les
ondes générées à sa surface. La
sonde Soho lancé en 1995, en
seconde prolongation jusqu'a la
fin de 2012, analyse sa structure interne et externe. Récemment, des experts de l'université
de Sheffield, au Royaume -Uni
ont enregistré et étudié avec
précision des vibrations longitudinales dans l'atmosphère solaire et on révélé que le soleil
possède une atmosphère magnétique. Ils ont remarqué que ces
arches coronales gigantesques
subissaient des mouvements pé-
riodiques comparables à ceux
d'une personnes pinçant les cordes d'une guitare. La mission
STEREO (Solar Terrestrial Relations Observatory), donne des informations sur les
éruptions solaires et
les conséquences
sur la terre. La mission PICARD (Europe) a pour objectif de détecter les
modes de gravité
du soleil. La mission SDO (USA)
elle aussi toujours
en cours étudie le
comportement et la
dynamique du soleil. Il y a d'autres
missions qui sont activent et d'autres en préparation(Solar Probe Plus par les
USA), (Solar Orbital par l'Europe).
Le Soleil mérite bien
toute notre attention. Beaucoup
de ses mystères demeurent cachés. Notre ignorance diminue à
peine. Continuons alors de l'observer et de l'écouter, puisqu'il a
sa mélodie bien à lui.(vidéo de
la
musique
solaire..http://tinyurl.com/26od6
mb.)
Ginette Beausoleil
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M55
Découvert vers 1751 par l'abbé Nicolas-­‐
Louis de Lacaille en Afrique du Sud, M55 est un amas globulaire de grande di-­‐
mension (de l'ordre de 110 années-­‐lu-­‐
mière). Charles Messier le place dans son catalogue en 1778. Cet amas se retrouve dans le Sagi\aire.
Source : www.astronomeamateur.ca
M56
M56 est un amas globulaire découvert en 1779 par Charles Messier dans la Voie lactée (constella>on de la Lyre).
Messier y vit une « nébuleuse sans étoi-­‐
les ». L'amas est résolu en étoiles par William Herschel en 1784. Assez éloigné (32 900 années-­‐lumière), il a un diamètre de 60 années-­‐lumière et se rapproche de nous à la vitesse de 145 km/s. Les étoiles les plus brillantes sont de magnitude 13.
Source : www.astronomeamateur.ca
6
Éphémérides octobre 2012
Les phénomènes du mois : octobre 2012
Les temps sont donnés en heure avancée pour Montréal (73° 30' 0" O, 45° 36' 0" N, zone R).
01 oct. 2012
01 oct. 2012
03 oct. 2012
03 oct. 2012
04 oct. 2012
04 oct. 2012
05 oct. 2012
05 oct. 2012
06 oct. 2012
08 oct. 2012
08 oct. 2012
08 oct. 2012
09 oct. 2012
09 oct. 2012
09 oct. 2012
10 oct. 2012
11 oct. 2012
15 oct. 2012
16 oct. 2012
17 oct. 2012
20 oct. 2012
20 oct. 2012
20 oct. 2012
21 oct. 2012
23 oct. 2012
24 oct. 2012
25 oct. 2012
26 oct. 2012
26 oct. 2012
27 oct. 2012
27 oct. 2012
28 oct. 2012
29 oct. 2012
29 oct. 2012
30 oct. 2012
31 oct. 2012
05:54
09:49
03:13
22:05
02:43
20:43
01:09
05:01
23:31
00:00
03:33
04:44
06:52
19:44
20:20
19:52
18:59
08:02
21:02
21:29
00:27
21:15
21:54
23:32
22:23
04:24
04:32
03:29
18:00
01:13
04:25
19:39
15:49
22:02
18:02
17:00
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Rapprochement entre Mercure et Spica (dist. topocentrique centre à centre = 1,6°)
Rapprochement entre Vénus et Régulus (dist. topocentrique centre à centre = 0,1°
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Lune à l'apogée (distance géoc. = 405160 km)
Rapprochement entre Mercure et Saturne (dist. topocentrique centre à centre = 3,1°)
Rapprochement entre la Lune et Aldébaran (dist. topocentrique centre à centre = 3,9°)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Mercure à son aphélie (distance au Soleil = 0,46670 UA)
DERNIER QUARTIER DE LA LUNE
Pluie d'étoiles filantes : Draconides (durée = 4,0 jours)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Pluie d'étoiles filantes : Taurides S. (5 météores/heure au zénith; durée = 70,0 jours)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Pluie d'étoiles filantes : Delta Aurigides (2 météores/heure au zénith; durée = 8,0 jours)
Opposition de l'astéroïde 85 Io avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,293 UA; magn. = 10,1)
NOUVELLE LUNE
Lune au périgée (distance géoc. = 360672 km)
Pluie d'étoiles filantes : Epsilon Géminides (3 météores/heure au zénith; durée = 13,0 jours)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Rapprochement entre Mars et Antares (dist. topocentrique centre à centre = 3,6°)
Pluie d'étoiles filantes : Orionides (25 météores/heure au zénith; durée = 36,0 jours)
PREMIER QUARTIER DE LA LUNE
Pluie d'étoiles filantes : Leo Minorides (2 météores/heure au zénith; durée = 8,0 jours)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
CONJONCTION entre Saturne et le Soleil (dist. géoc. centre à centre = 2,2°)
Début de l'occultation de 8-kappa Psc (magn. = 4,95)
PLUS GRANDE ÉLONGATION EST de Mercure (23,9°)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Rapprochement entre la Lune et Uranus (dist. topocentrique centre à centre = 4,4°)
Maximum de l'étoile variable êta de l'Aigle
PLEINE LUNE
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
VÈnus à son périhélie (distance au Soleil = 0,71842 UA)
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