Le changement, comment

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Gérard Maumary
Le changement,
comment ?
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Présentation
Le chemin de la connaissance est un long chemin
parsemé d’obstacles et telle une longue initiation, il a
fallu parcourir ce chemin avec abnégation car ce
n’était pas le retour vers le futur, mais le retour vers la
Lumière.
Mon premier livre « Le passé, le présent, le futur et
notre présence dans l’Univers », au travers de ses 3
chapitres devait faire retrouver les portes de
l’Univers.
Le deuxième « Notre relation avec l’Univers et la
nécessité absolue du changement », au travers de ses
4 chapitres devait permettre notre intégration dans
l’Univers.
Le but du présent ouvrage est de conforter notre
position dans l’Univers et de trouver ainsi la
résultante de toutes les convergences de l’existence.
En effet, nous avons été chassés de notre logis par
la précarité de notre existence en espérant trouver
dans la fuite une solution à nos problèmes.
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Dans l’optique de ce changement créé par la
modification de la vibration de la Terre (12,5 Hz au
lieur de 7,83 Hz) et par le croisement de notre
système solaire avec la « Ceinture de photons », nous
devons retrouver notre chemin et réintégrer notre
logis.
Il m’a semblé crucial de repartir de notre passé, de
comprendre l’évolution de l’humanité, et de considérer
enfin l’Univers comme notre maison.
Il est difficile le chemin de la compréhension alors
que paradoxalement il est inscrit dans notre ADN,
intégré dans notre esprit et corollaire direct dans notre
âme pour notre parcours terrestre, mais il faut
comprendre que le chemin vers la sagesse consiste à
se tromper et à se tromper encore, mais de moins en
moins.
La Connaissance est comme le soleil, il se
détourne des volets fermés, alors ouvrons nos volets
et imprégnons-nous de la connaissance et de l’amour.
Livre VIII : A la découverte des univers parallèles
ou notre rôle dans l’Univers
page 5 à 90
Livre IX : Le Tout, la révélation
page 91 à 118
Livre X : La Lumière,
le vecteur du Tout
page 119 à 154
Annexe : La communication
page 155 à 159
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Livre VII
A la découverte des univers
parallèles
ou
notre rôle dans l'Univers
Et si cela était la réalité ?
Sion, le 06 février 2013
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Table des matières
1. Préface
page 7 à 11
2. La fausse interprétation
du géocentrisme
page 13 à 36
2.1 L’Astronomie
2.2 L’Astrologie
2.3 Les Univers parallèles
2.4 La vraie découverte de Ptolémée
3. Notre réelle responsabilité
page 37 à 57
3.1 Principe anthropique
3.2 Notre énergie et ses conséquences
3.3 Les Terriens au centre de l’Univers
4. Principe de conscience
page 59 à 77
4.1 Conscience de soi
4.2 Conscience de l’Univers
4.3 Conscience du lien
5. La reconstruction
page 79 à 87
5.1 De soi
5.2 De notre environnement
5.3 De notre perception de l’Univers
6. Conclusion
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page 89 à 90
1.
Préface
A la suite de mes deux ouvrages ; « Le passé, le
présent, le futur et notre présence dans l’Univers » et
« Notre relation avec l’Univers et la nécessité absolue
de changement », je pense vous entretenir d’une
éventualité qui m’est apparue.
En effet, au travers des siècles de l’existence de
l’humanité, il a toujours existé des individus qui ont
eu des parcelles de connaissance surgissant de leur
cerveau connecté avec l’Univers.
Souvent ces découvertes n’étaient pas en
corrélation avec les connaissances de leurs
contemporains, il leur a donc fallu transmettre leurs
révélations avec les moyens et le niveau intellectuel
du monde dans lequel ils vivaient.
Actuellement, grâce aux informations illimitées
que nous avons à disposition et surtout aux
découvertes réalisées depuis plus de 4’000 ans, nous
pouvons appréhender même l’impensable.
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L’astronomie, les efforts de vulgarisation des
sciences aussi invraisemblables que sont la physique
quantique, la nanotechnologie, etc., nous permets
d’appréhender notre relation avec l’Univers ou le
Tout de façon plus objective.
Notre évolution n’est plus obérée par des
sentiments de culpabilisation engendrés par la
religion ou par un endoctrinement quelconque. C’est
la résurgence de notre libre-arbitre.
Il est évident que cette responsabilité peut créer
des conflits relationnels importants.
Cependant des faits réconfortants sont apparus.
Premièrement, notre planète est en train de
connaître une élévation progressive de sa fréquence
de Résonance, c’est-à-dire de sa fréquence vibratoire
fondamentale que les physiciens et les géophysiciens
connaissent sous le nom de Résonance de Schumann.
La Résonance Schumann est considérée par les
géophysiciens comme le « battement de cœur de la
Terre » !
Depuis 1987 cette fréquence vibratoire s’est
lentement accélérée puis depuis 1997 s’accélère de
plus en plus alors que pendant des milliers d’années
cette résonance était de 7,8 hertz (7,8 cycles par
seconde), elle à atteint aujourd’hui une valeur de
12,9 hertz.
Cette élévation de la fréquence vibratoire de la
Terre s’exprime également au niveau temporel.
Autrement dit, plus la vibration s’élève, plus le
Temps s’accélère !
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Le Temps, notion inventée par l’homme,
s’accélère et va s’accélérer de plus en plus sans que
nous nous en rendions compte. De nos jours, une
journée de 24 heures correspond à 16 heures de
Temps réel.
Certaines personnes, sentent tout de même que
tout va de plus en plus vite… Elles ont la nette
impression que les journées sont plus courtes et
qu’elles ont de moins en moins de temps dans leur
journée.
Les ondes Bêta de 12 à 25 Hz correspondent à
notre état normal lorsque l’attention est orientée vers
les tâches cognitives et le monde extérieur. Les plus
récents travaux vont dans ce sens, la fréquence Bêta
de 14 Hz serait la clé de l’acte de cognition.
La cognition est le terme scientifique qui sert à
désigner l’ensemble des processus mentaux qui se
rapportent à la fonction de connaissance, tels que la
mémoire, le langage, le raisonnement, l’apprentissage,
l’intelligence, la résolution de problèmes, la prise de
décision, la perception ou l’attention.
Deuxièmement, grâce à l’instrumentation satellite,
des astronomes ont découvert en 1961 un phénomène
céleste qui ressemblait à une étrange nébuleuse.
Au début des années 80, la radio américaine
annonça que notre système solaire allait en effet
heurter un nuage électromagnétique, possiblement
dans un avenir rapproché.
Cette importante déclaration, qui au niveau
historique et astronomique était hautement
significative, fut accueillie néanmoins dans
l’indifférence, traitée de peccadille, et jetée dans le
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même chaudron qu’une histoire de faillite d’une
compagnie à fiducie.
Quelle
est
la
nature
de
ce
nuage
électromagnétique ? En termes scientifiques on la
désigne comme la « Ceinture de photons » ou bande
photonique.
Pour la race humaine, la rencontre de la Ceinture
de photons sera essentiellement une expérience
d’ordre spirituel, mais cela dépendra de l’homme. Les
véritables effets bénéfiques de ce phénomène
proviendront de la source créatrice de ces photons, les
soi-disant convergences.
Si notre niveau d’évolution est suffisant, un grand
saut s’effectuera au niveau de notre conscience, et
nous pourrons accéder et nous adapter à des
fréquences plus élevées.
Par contre, si nous entretenons toujours des
dispositions négatives, par exemple la poursuite
d’actions égoïstes, notre taux vibratoire demeurera
inférieur et nous aurons la peine de survivre à cette
incompatibilité des fréquences.
Notre immersion dans la bande photonique
provoquera l’extirpation de tous les secrets cachés, les
propulsant vers la surface pour subir une
transmutation.
En conclusion, la rencontre de la Ceinture de
photons et le phénomène de l’alignement planétaire
devraient normalement représenter une expérience
positive pour la race humaine,
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Troisièmement, il faut relever que toutes les
religions ont adopté cet adage : « que le Lumière soit
et la Lumière fût ».
Le photon est une particule de lumière, la seule
particule qui n’est pas chargée de matière.
Ce qui nous permets de dire que les religions
étaient un support positif pour l’humanité mais
malheureusement le souci d’hégémonie a faussé leurs
enseignements.
En démystifiant les idées reçues, nous pouvons
accéder à cette vibration ultime, synonyme
d’élévation et participer ainsi à l’accession au Tout.
Faisons alors nos premiers pas vers cet océan de
Lumière en vivant ici et maintenant avec des bonnes
pensées, des bonnes paroles, et des bonnes actions.
Sion, le 08 février 2013
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2.
La fausse interprétation
du géocentrisme
Il très difficile d’admettre que nos connaissances
héritées d’Aristote, de Ptolémée et de tants d’autres
sont peut-être basées sur de fausses interprétations.
Il est temps d’essayer d’évoluer dans nos principes
sur lesquels repose tout notre système et d’adopter ce
principe énoncé par Auguste Comte, né le 19 janvier
1798 à Montpellier et mort le 5 septembre 1857 à
Paris, philosophe français, il est le fondateur du
positivisme, et considéré comme un des précurseurs
de la sociologie :
L’Amour pour principe, l’ordre pour base
et le Progrès pour but.
2.1 L’Astronomie
L’astronomie est la science de l’observation des
astres, cherchant à expliquer leur origine, leur
évolution, ainsi que leurs propriétés physiques et
chimiques.
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Avec plus de 7 000 ans d’Histoire, les origines de
l’astronomie remontent au-delà de l’Antiquité dans
les pratiques religieuses préhistoriques.
L’Almageste est une œuvre de Claude Ptolémée
datant du Ier siècle. Elle constitue la somme des
connaissances les plus avancées de l’antiquité en
mathématiques et en astronomie.
Il est le seul ouvrage antique complet sur
l’astronomie qui nous soit parvenu.
Les astronomes babyloniens avaient mis au point
des techniques de calcul pour la prévision de
phénomènes astronomiques.
Surtout, ils avaient consigné soigneusement,
pendant des siècles, de précieuses observations
(positions des astres, éclipses…)
Les observations, jointes aux données antérieures
dont Ptolémée disposait, offrent un recul permettant
une mesure fort précise des mouvements
astronomiques, puisque l’ensemble couvre une
période de près de neuf siècles.
Ses « tables » de données, indispensables pour
déterminer la position des astres, ont en effet comme
point de départ le premier jour du calendrier égyptien
de la première année du règne de Nabonassar, c’est-àdire le 26 février 747 av. J.
Ptolémée consacre donc le modèle géocentrique
d’Hipparque, qui lui fut souvent attribué et qui fut
accepté pendant plus de mille trois cents ans, quoique
de manière discontinue.
La Planétologie s’intéresse à l’ensemble des
planètes, des lunes, des planètes naines, des comètes,
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des astéroïdes, et des autres corps orbitant autour du
soleil ; ainsi qu’aux exoplanètes.
Le Système solaire a été relativement bien étudié,
d’abord à l’aide de télescopes puis aux moyens de
sondes.
Cela a fourni une bonne compréhension globale de
la formation et de l’évolution de ce système
planétaire, bien qu’un grand nombre de découvertes
soient encore à accomplir.
L’Astronomie stellaire ou l’étude des étoiles et de
l’évolution stellaire est fondamentale pour notre
compréhension de l’univers.
L’astrophysique des étoiles a été déterminée grâce
à l’observation et à la compréhension théorique ainsi
que par des simulations informatiques.
L’Astronomie galactique est une branche de
l’astronomie qui étudie principalement notre Galaxie,
la Voie lactée, la formation de la Voie lactée, sa
structure, ses composants, sa dynamique, et son
étendue.
C’est une masse tournante formée de gaz, d’étoiles
et d’autres objets maintenus ensemble par une
attraction gravitationnelle mutuelle. Étant donné que
la Terre est située dans un bras extérieur poussiéreux,
il y a une grande partie de la Voie lactée que l’on ne
peut pas voir.
L’astronomie extragalactique est une branche de
l’astronomie qui étudie les objets célestes
n’appartenant pas à notre galaxie (et donc tous les
objets qui ne sont pas concernés par l’astronomie
galactique).
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Avec l’amélioration constante des instruments
d’observation astronomique, de plus en plus d’objets
lointains peuvent être observés.
Il est donc parfois utile de diviser cette branche en
deux, l’astronomie extragalactique proche et
l’astronomie extragalactique lointaine.
La première traite des objets tels que les galaxies
du groupe local, qui sont suffisamment proches pour
que l’on puisse analyser de façon détaillée les objets
qui les composent (rémanents de supernova, amas
stellaire, etc.).
La seconde étudie les objets plus éloignés, et dont
seuls les plus brillants sont observables.
2.2 L’Astrologie
L’astrologie est un ensemble de traditions et de
croyances qui soutient que la position des planètes
dans le système solaire apporte des informations
permettant d’analyser ou de prédire des événements
humains, collectifs ou individuels.
Il existe un grand nombre de pratiques
astrologiques différentes, mais certaines constantes se
dégagent :
L’astrologie est l’étude des relations entre les
affaires terrestres et la position des planètes, des
luminaires (Soleil et Lune), des comètes et des
astéroïdes (depuis leur découverte au XIXe siècle)
Selon certaines analyses, l’astrologie serait née du
constat de relations entre des phénomènes terrestres
et ces mouvements apparents (comme les saisons ou
la conjonction entre la position de la Lune et du soleil
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