1 Parc d’activités de Beauregard Le développement économique La création d’emplois, de richesse et plus généralement l’attractivité économique du territoire Dijonnais, doit constituer l’un des piliers essentiels du développement territorial. L’agglomération se doit de proposer un développement maîtrisé et cohérent de son offre de secteurs destinés à l’activité économique. En assurant des vocations complémentaires à ces pôles, l’agglomération pourra répondre à toutes les opportunités d’installation de nouveaux emplois à court et moyen termes. Ahuy Hautevillelès-Dijon Ruffeylès-Echirey Ecopôle Valmy Daix Varois-etChaignot Plombièreslès-Dijon ZI Capnord Fontainelès-Dijon Capnord Talant Couternon Saint-Apollinaire Ecoparc Dijon Bourgogne DIJON Quetigny ChevignySaint-Sauveur Sennecey lès Dijon Longvic Chenôve ZI de Chenove Marsannayla-Côte ZI de Longvic D1 22A Perrigny lès Dijon Parc Beauregard h 6 Ouges C Les parcs d’activités de l’agglomération dijonnaise (existants et projetés) Le nécessaire développement économique de l’agglomération Un développement territorial maîtrisé et complémentaire Une grande partie de l’action de l’agglomération dijonnaise, qu’elle soit directement à vocation économique ou qu’elle vise à rendre plus attractif le cadre de vie, est tournée vers le développement des activités, de la richesse et de l’emploi durable. La situation que connaît l’agglomération dijonnaise en matière de développement économique est plutôt satisfaisante. Toutefois, avec la fin de la commercialisation du Parc «Extension Capnord» et du Parc d’activités Capnord, les capacités d’accueil des parcs d’activités industrielles et artisanales sont actuellement quasi nulles. La création de nouveaux espaces d’accueil pour les entreprises est donc une clé essentielle pour poursuivre ce développement économique. Collectivité compétente en matière de développement économique, le Grand Dijon a pour mission de : • Rendre le territoire attractif et favoriser le développement harmonieux de son tissu économique afin d’encourager la création d’emplois, • Organiser un développement cohérent de l’activité économique dans le cadre d’une démarche de développement durable, • Renforcer les capacités d’innovation des entreprises, accompagner leur développement et accueillir les implantations nouvelles, • Développer une stratégie de compétitivité et de transfert de technologies ainsi que le soutien aux pôles de compétence en encourageant la mise en réseau. Cette politique s’appuie sur : • les grandes infrastructures (terminal rail route, TGV Rhin Rhône, le réseau autoroutier), • les atouts touristiques de Dijon (Dijon ville d’Art et d’Histoire, Projet UNESCO) • l’enseignement supérieur, • les zones d’activités nouvelles. Pour reconstituer une offre, le Grand Dijon a lancé d’importants parcs d’activités dont la vocation diffère, ce qui leur permettra de se complémenter les uns les autres : • L’extension du parc Valmy : « Ecopôle Valmy » À vocation tertiaire haut de gamme dense, profitant de la desserte de la ligne T2 du tramway dijonnais, cette extension d’une dizaine d’hectares vient en prolongement et en aboutissement de l’urbanisation actuelle du Parc Valmy. • L’écoparc Dijon Bourgogne Situé à cheval sur les communes de Quetigny et Saint Apollinaire, il ambitionne l’accueil d’activités à moyenne et haute valeur ajoutée (entreprises de « l’économie verte » par exemple) et présentant des activités compatibles avec un fort souci environnementale et paysagé. Ce parc de 180 ha se veut un projet d’envergure régionale voire plus. • Le parc d’activités de Beauregard Ce parc, qui accueillera des activités industrielles et artisanales (entreprises de BTP ou satellites, location de matériels, entrepôts, fournisseurs de matériaux, services commerciaux spécifiques, ateliers mécaniques, ...), viendra compléter la zone d’activités Dijon-Longvic et profitera, de ce fait, d’un contexte économique favorable. Il profitera des facilités d’accès dues aux infrastructures routières (RD122, RD 974), autoroutières (A31, A311), que le « barreau routier », reliant la Rocade Sud avec la route de Seurre et traversant le parc, viendra renforcer. Il est important de rappeler que l’aménagement des zones d’activités s’inscrit dans une stratégie économique de long terme pensée à l’échelle de l’ensemble du territoire de l’agglomération. Les documents d’urbanisme réglementaires - le Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) et les Plans Locaux d’Urbanisme (PLU ou POS) promulgués par les communes - constituent les principaux outils pour inscrire cette stratégie dans l’action d’aménagement. Développement économique inscrit dans le cadre d’une démarche de développement durable (aménagement de noues paysagères, valorisation des modes de déplacement doux...) Accompagner le développement des entreprises et accueillir de nouvelles implantations