Vercingétorix jette ses armes aux pieds de Jules César,
Lionel Royer, 1889.
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«Le chef suprême de la
guerre, Vercingétorix, prit ses
plus belles armes, para son
cheval et franchit ainsi les portes
de la ville. Il vint caracoler en
cercle autour de César, qui était
assis, puis, sautant à bas de sa
monture, il jeta toutes ses armes
et s’assit lui-même aux pieds de
César.»
D’après Plutarque, IIè siècle.
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«Vercingétorix aurait pu
s’enfuir, mais il espéra que
l’alliance qui l’avait jadis lié à
César lui vaudrait sa clémence. Il
arriva par surprise devant César,
tomba à genoux devant lui et
implora son pardon. César
refusa et le fit enchaîner sur-le-
champ.»
D’après Don Cassius, IIIè siècle.
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«On envoie à ce sujet des députés à César. Il ordonne qu'on lui apporte les armes, qu'on
lui amène les chefs. Assis sur son tribunal, à la tête de son camp, il fait paraître devant lui les
généraux ennemis. Vercingétorix est mis en son pouvoir; les armes sont jetées à ses pieds.»
D’après Jules César, Ier siècle avant J.-C.
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