Café-Philo 14 novembre 2014 Références de la bibliothèque Le

Café-Philo
Café-Philo
14 novembre 2014
14 novembre 2014
Références de la bibliothèque
Références de la bibliothèque
Le christianisme hédoniste / Michel Onfray. - Paris : Grasset, 2006.
Dans cette contre-histoire de la Philosophie, Michel
Onfray révèle,les œuvres « matérialistes » d’auteurs
aussi divers que Walter de Hollande, Amaury de
Bène, Lorenzo Valla, Marsile Ficin, Érasme ou
Montaigne. Ensemble, elles forment ici l’archipel d’un
« christianisme hédoniste » qui promet de nobles
voyages intellectuels à tout philosophe soucieux de
découvrir ce qu’on lui dissimule depuis trop
longtempsà savoir le corps, le plaisir et le bonheur.
Cote : 109 ONF
L'art de ne pas être égoïste : pour une éthique responsable / Richard
David Precht ; Pierre Deshusses. - Paris : Belfond, 2012. - 474 p. ; 24 cm.
- (L'esprit d'ouverture).
Cote 170 PRE
En cette période de crise économique et d'incertitude
généralisée, le constat s'impose à chacun : notre société est
minée de l'intérieur par une indifférence nocive. Une
irresponsabilité et un mépris de l'autre banalisés dont les
conséquences humaines, financières et écologiques sont
désastreuses.
Comment dépasser cet égoïsme dans lequel tant de réflexes
nous enferment ? Comment retrouver les valeurs d'entraide et
de civisme auxquelles nous aspirons tous ?
Richard David Precht nous livre ici un essai incisif, un brûlant plaidoyer pour un
véritable engagement citoyen dans l'écologie, l'économie et la politique. Un
coup de semonce pour une reprise en main de notre mieux-vivre.
Petite philosophie du shopping / Auteur Frédérique Pernin. - Toulouse :
Milan, 2006. - 149 p ; cm. - (Pause philo).Cote 171.4 PER
Ne laissons pas le shopping à ses détracteurs !
Emblématique d'une société de consommation ivre d'elle-
même, il incarnerait toutes les tares d'un monde devenu
marchandise universelle. Aliénation aux objets, culte de
l'apparence, individualisme irresponsable... Il est facile de
stigmatiser le shopping. Pourtant, l'ampleur du phénomène
exige que la philosophie se jette elle aussi dans la
tourmente des magasins. Pourquoi aime-t-on faire du
shopping ? Telle est la question qui guide cet ouvrage. Par-
delà l'affrontement de l'utile et du futile, du vertueux et du dispendieux, il faut
repenser un jeu social nous sommes à même d'être joueurs plutôt que
joués. L'enjeu : une acceptation sereine, car ludique, de l'existence. Aux esprits
chagrins, prompts à dénoncer le gaspillage de temps et d'argent, on doit
rappeler avec Gaston Bachelard que " l'homme est une création du désir, non
pas une création du besoin ".
Le bonheur désespérémment / André Comte-Sponville. - Paris : Librio,
2002. - 86 p
Cote 171.5 COM
" Qu'est-ce que je serais heureux si j'étais heureux ! "
Cette formule de Woody Allen dit peut être l'essentiel :
que nous sommes séparés du bonheur par l'espérance
même qui le poursuit. La sagesse serait au contraire de
vivre pour de bon, au lieu d'espérer vivre. C'est l'on
rencontre les leçons d'Epicure, des stoïciens, de Spinoza,
ou, en Orient, du Bouddha. Nous n'aurons de bonheur
qu'à proportion du désespoir que nous serons capables de
traverser La sagesse est cela me le bonheur,
désespérément.
Le livre de la méditation et de la vie / Jiddu Krishnamurti. - Paris :LGF,
2004. - 411 p ;
Cote 181.4 KRI
Quinze ans après sa mort, la pensée de Krishnamurti
demeure une référence dès lors qu'on parle de spiritualité
et de méditation. Loin de prétendre à fonder une église
ou une secte, ce philosophe inclassable invite chacun de
nous à prendre conscience des multiples
conditionnements qui l'environnent - idéologies,
croyances, modèles sociaux... - afin de s'en dégager et
de trouver en lui-même la source de sa liberté. Le
présent livre offre un ample panorama des thèmes les
plus souvent abordés dans son enseignement : la
souffrance, le désir, l'amour, la mort. Les chapitres de l'ouvrage correspondent
aux mois de l'année et comportent chacun quatre thèmes de réflexion. C'est la
manière idéale de découvrir la pensée de Krishnamurti.
La béatitude de l'âme / Averrs ; Traducteur Marc Geoffroy ;
Traducteur Carlos Steel. - Paris : Vrin, 2001. - 338 p.. - (Sic et Non).
Cote 181.9 AVE
Né à Cordoue en 1126, mort en 1198, Ibn Rusd (Averroès),
juge, médecin et philosophe andalou, a lais une œuvre
considérable : outre des traités polémiques (contre Galien,
contre al-Gazali) et de nombreux essais, il a consacré à
Platon, et surtout à Aristote, des commentaires appelés à
exercer une influence particulièrement grande dans les
domaines de la logique, de la métaphysique, de la
noétique. Ce que la religion révélée nous promet de "
atitude " dans une vie future, les philosophes arabes
l'ont compris comme " l'union " avec l'intellect agent. Les
épîtres d'Averroès sur la " béatitude " philosophique ont été
traduites par des philosophes juifs au XVIe siècle et utilisées pour expliquer la
Bible. Puis elles ont été recousues en un seul texte, à son tour traduit en latin
après avoir été frelaté et réécrit, puis imprimé, pour se retrouver au programme
de l'Université chez les " averroïstes padouans " dans le début du XVIe siècle.
L'enquête proposée ici retrace la transmission de ce(s) texte(s) et la réception
dans la pensée médiévale de cette problématique dominée par la théorie de
l'intellect d'Averroès. Elle s'appuie sur l'édition et la traduction annotée des
différentes versions du texte au cours de son histoire.
Plotin ou la simplicité du regard / Pierre Hadot. - Paris : Gallimard,
1998. - 227 p.. - (Folio essais ; 302).
L'invention du plaisir : fragments cyrénaiques / Michel Onfray. - Paris :
Le Livre de poche, 2006. - 284 p.. - (Biblio essais ; 4323).
Cote 183 ONF
Dans le domaine des idées, les Grecs ont tout inventé.
Parmi leurs inventions oubliées, il existe un courant
hédoniste (il pose la réalisation du plaisir comme objectif
essentiel à la sagesse) qu'on appelle cyrénaïque pour la
raison qu'il se développe à Cyrène, en Cyrénaïque, dans
une colonie grecque d'Afrique du Nord (aujourd'hui la
Libye). Les philosophes cyrénaïques se rassemblent
autour d'Aristippe de Cyrène (un contemporain très
critique de Platon, Ve-IVe siècle av. J.-C.), un homme
fantasque qui n'hésite pas à s'habiller en femme et à
recourir aux plaisanteries pour mieux amener son public à penser et à
philosopher. On l'a beaucoup critiqué, mais il a permis à certains philosophes
d'élaborer leur propre doctrine, puis il a été discrédi par l'ensemble des
philosophes officiels des origines à nos jours... L'Invention du plaisir propose la
première édition en langue française (avec traductions inédites) des textes et
fragments qui subsistent et nous font découvrir les théories de ces philosophes
sur l'argent, l'amour, le pouvoir, le rapport à autrui, à soi, aux dieux, aux
femmes, etc. Une longue préface de Michel Onfray permet de situer ces penseurs
et leurs thèses dans le contexte philosophique, historique et idéologique de
l'époque. L'ouvrage ressuscite véritablement un continent englouti de la
philosophie grecque
Le sophiste / Platon ; Préfacier Traducteur Nestor-Luis Cordero. -
Paris : Flammarion, 1993. - 324 p.. - (GF ; 687).
Cote 184 PLA Le philosophe et le sophiste revendiquent la sagesse
(sophia). Ils se ressemblent donc, de la même manière
- dit Platon - que le chien ressemble au loup. La
philosophie n'a rien à gagner avec cette assimilation.
Voilà pourquoi, après avoir écrit plusieurs dialogues
polémiques à l'égard de la sophistique, Platon décide
d'être et du non-être permettra de tracer la frontière qui
sépare de manière définitive le philosophe, "l'homme
libre" qui évolue dans la lumière de la vérité, du
sophiste, le faussaire qui "s'enfuit dans l'obscurité du
non-être". L'analyse platonicienne aura cependant des
conséquences inattendues : l'opposition classique entre l'être et le non-être,
systématisée par Parménide, sera réfutée, et le jugement faux trouvera une
explication en dehors de l'impossible revendication du non-être. Aristote, fidèle
lecteur du Sophiste, trouvera ainsi ouverte la voie qui le conduira vers sa
théorie de la prédication multiple de l'être.
Cote 186 PLO
«Seul ce qui est personnel est éternellement
irréfutable», disait Nietzsche. Cet ouvrage s'efforce de
présenter non pas le système, mais l'expérience
personnelle de Plotin, en donnant le plus possible la
parole au maître spirituel et au directeur de conscience.
Il y est évidemment question de l'union mystique,
événement indicible, surgissant en des moments
privilégiés, qui bouleverse toute la conscience du moi,
en lui faisant éprouver un sentiment de présence
inexprimable. Plotin la décrit en des pages lyriques et
frémissantes qui comptent parmi les plus belles de la
littérature mystique universelle. Mais il y est aussi question de la douceur
sereine d'un philosophe qui, tout en vivant de la vie de l'esprit, peut être «tout
à la fois présent à lui-même et aux autres», et assumer les soucis et les
responsabilités de la vie quotidienne.
Epicure et son école / Geneviève Rodis-Lewis. - Paris : Gallimard, 1993. -
(Folio essais ; 227).
Cote 187 EPI
Anxieux devant la mort, l'homme se pcipite, avide, dans le
néant d'un avenir indéfini : mythes terrifiants, mots creux,
désirs insatiables. Épicure nous rend à la plénitude de la vie
présente. Le jeune Marx, encore marqué par l'ialisme
hégélien, avait discerné, dans cette philosophie de la liberté,
des éléments dialectiques. Le matérialisme épicurien est assez
souple pour passer par degrés, sans méconnaître la nouveauté
des stades supérieurs, de la sensation à la réflexion, de la
nature à la culture, du plaisir corporel, racine du bien-être, aux
joies actives du savoir et de l'amitié, assez fortes pour annuler la douleur.
L'invitation d'Épicure à se libérer s'adresse à chacun : hommes et femmes de
tous âges et de toutes conditions. Car il n'est pas besoin d'être savant, ni
d'attendre d'avoir gaspillé sa vie, pour apprendre à être heureux, ici-bas,
maintenant.
Les philosophes hellénistiques 1 : Pyrrhon,
l'épicurisme
Cote 187 LON
L'étude des grandes philosophies de l'époque hellénistique
- le scepticisme, l'épicurisme, le stoïcisme - a longtemps
été entravée par la difficulté d'accéder aux textes
fondateurs et d'en mesurer toute la portée. Anthony Long
et David Sedley ont magistralement remédié à cette
situation en regroupant les principales sources qui nous
sont parvenues et en donnant au néophyte comme au
spécialiste les instruments nécessaires à la compréhension des principaux
concepts et des controverses qu'ils ont suscitées. Les textes sont regroupés par
écoles et, au sein de chacune d'entre elles, par thèmes. Un riche commentaire
historique et philosophique les accompagne.
La raison dans l'histoire : introduction à la philosophie de l'histoire /
Georg Wilhelm Friedrich Hegel ; Editeur scientifique Traducteur Kostas
Papaioannou. - Paris : 10-18, 2004. - 312 p.. - (Bibliothèques ; 235).
Cote 193 HEG
Cet ouvrage est le centre de la philosophie hégélienne, sur
lequel se fonde toute la pensée moderne. Avec ce texte, le
plus direct des écrits de Hegel, s'abolissent le monde des
Anciens et la nature du Siècle des Lumières. Le réel, que
réordonne une pensée suffisamment puissante pour en
embrasser tous les aspects - conscience, politique, culture
-, prend désormais le visage de nos tourments. La
lumineuse introduction de Kostas Papaioannou est aussi
une clef pour pénétrer l'œuvre du grand penseur de
l'Aufklärung.
Les passions de l'âme ; La pathétique cartésienne / René Descartes ;
Préfacier Jean-Maurice Monnoyer. - Paris : Gallimard, 1991. - (Tel).
Cote 194 DES
Réconciliant l'objet d'une nouvelle science de l'homme et le
prototype révolutionnaire de la biologie nerveuse, traçant l'épure
d'une génétique affective, interrogeant la tradition littéraire ou la
crise du comportement héroïque dans le climat de la Fronde,
Descartes n'a pas donné une éthique proprement dite ; il a conçu
le projet d'une pathétique comme dernier fruit de sa méthode.
Dans cette autopsie de la machine, il n'y a pas de maladies de
l'âme, et rien moins qu'un «humanisme négatif» dont on voudrait plaider
aujourd'hui la leçon. La dissection de l'homme moral s'offre bien en tant que telle
contre les objurgations fracassantes la liber cartésienne est à nouveau
confisquée.
Le bouddhisme dans son essence et son développement / Edward Conze ;
Traducteur Marie Simone Renou. - Paris : Payot, 1997. - 262 p.. - (Petite
bibliothèque Payot ; 223).
Cote 294.3 CON
2C'est en 1951 qu'Edward Conze a publié cet exposé
couvrant le domaine entier de la pensée bouddhiste.
Considéré comme l'un des meilleurs scialistes de la
question, c'est en érudit qu'il s'est penché sur les textes
bouddhiques pour en explorer le sens profond. Il livre
dans cette synthèse la substance même de ses
importantes recherches. Il termine par quelques aperçus
sur le bouddhisme européen et son devenir. Tableau
chronologique de l'histoire du bouddhisme.
a route sombre / Ma Jian
Un million de révolutions tranquilles : travail,
environnement, santé, argent, habitat... : comment les
citoyens transforment le monde / Bénédicte Manier. -
Brignon (Gard) : les Liens qui libèrent,2013. -
Cote 330.1 MAN
Une journaliste a sillonné le monde, à la recherche de
modèles économiques s'étant affranchis de la consommation
à outrance. Elle présente ici les initiatives de citoyens qui ont
créé leurs propres monnaies, leurs banques, et qui ont
appris à gérer leur approvisionnement en eau et en énergie.
Le sens de la vie : réincarnation et liber / Dalaï-Lama ; enseignements
trad. du tibétain en anglais par Jeffrey Hopkins ;trad. et réd. en français
par Michel Cool et Pierre Lafforgue. - Éd. illustrée. - Paris : J'ai lu, 1998. -
187 p[4] p. de pl. en coul. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (J'ai lu ; 4977)
Cote 294.377 DAL
Comment vivre notre vie ? A-t-elle un sens ? C'est à des questions de cette
nature que répond le dalaï-lama. Selon la perspective
bouddhiste, il analyse la condition humaine en ce monde,
et décrit de quelle manière nous pouvons donner un sens
profond à notre vie. Il nous offre une vue d'ensemble
précise de la théorie de la réincarnation, en attirant
particulièrement notre attention sur les pratiques de
l'amour, de la bienveillance et de la responsabilité
universelle qui échoient à chacun d'entre nous. Moins
religion que philosophie, le bouddhisme nous incite à être
vigilant sur la manière dont nos pensées, nos actions et
nos motivations se manifestent. Présentées ici dans un
style très direct exprimant une exubérante joie de vivre et une grande
compassion pour chacun, les réflexions qu'il suscite au fil des pages peuvent
nous orienter vers une réelle recherche intérieure et nous faire couvrir la
possibilité que nous avons de nous améliorer, pour le bien d'autrui et du
monde.
Comment vivre sa simplicité volontaire? : une nouvelle façon d'économiser / Robert Dumoulin. -
Montréal : EDIMAG, 2009. - 109 p. ; 21 cm.
Cote381.3 DUM
Si vous recherchez des valeurs plus en rapport avec une
saine gestion de votre argent, de votre temps et de votre
tranquillité d’esprit, ce livre sur la simplicité volontaire
vous fera découvrir une façon de vivre beaucoup plus
saine. Vous aussi, vous descendrez du train de la
consommation à outrance et vous éviterez le piège du
crédit, pour découvrir un bonheur simple. Certains, en
adoptant les principes de la simplicité volontaire,
choisiront d’en appliquer certains segments, d’autres iront
jusqu’au bout. Ce qui importe, c’est de se rendre compte
que nous avons le pouvoir de faire autrement.
Prochain rendez-vous le vendredi 5 décembre
1 / 4 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !