Conférence 2
Salon du bien-être des 28 et 29 Septembre 2013 – Evreux – 27
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La médecine quantique
La médecine quantique, incorpore les données de la physique quantique dans son approche du
vivant. Elle substitue à l’homme moléculaire et neuronal décrit par la médecine actuelle, un
homme vibratoire. Elle propose ainsi un modèle conceptuel pour les médecines dites
alternatives, et explique pourquoi celles-ci sont efficaces et pertinentes, tant l’homéopathie que
l’acupuncture ou les pratiques énergétiques. Quelle est la base physique matérielle objective de
la médecine quantique ? La médecine quantique reprend l’hypothèse des champs
morphogénétiques, déjà envisagés dès 1920 par trois biologistes au moins, ceux-ci posent
l’hypothèse des champs comme régulateurs et organisateurs des formes biologiques du vivant.
Les champs morphogénétiques, une hypothèse indispensable à la compréhension des êtres
vivants. Le modèle actuel, repose presque entièrement sur la molécule d’ADN qui serait le
support de tout notre programme génétique, c’est-à-dire le plan permettant la construction des
molécules qui organisent la forme des organismes vivants et permettent ainsi leur fonction.
Cependant, ce programme génétique décrit par la biologie moléculaire qui serait en tout point
semblable à un programme informatique est absolument incapable d’expliquer, le turn-over ou
renouvellement incessant observé dans l’organisme, en effet l’ensemble des atomes et des
molécules, donc des cellules et des tissus qui constituent un organisme sont remplacés par des
atomes, des molécules, des cellules nouvelles, en quelques jours ou quelques dizaines de jours.
Autrement dit tout atome toute molécule toute cellule a une vie qui n’excède pas des périodes
définies en fonction des régions considérées. Tout se passe comme si l’organisme était
entièrement détruit en quelques dizaines de jours. En fait, On ne se baigne jamais dans le même
fleuve, ce fleuve étant le sang et le milieu intérieur. Le programme génétique ne peut expliquer
ce processus. Comment peut-il persister une sorte d’invariance de forme à l’issue de ces
mécanismes de destruction et de reconstruction permanents. Un individu lambda ingère environ
une tonne d’aliments par an. Aliments qui vont s’intégrer dans les structures vivantes de
l’individu, celui-ci gardant une forme remarquablement stable pendant environ
40 ans. Le génome humain a été étudié, on a découvert entre 25 000 et 30 000 gènes par
cellule, le plus étonnant c’est que le génome des chimpanzés est quasiment semblable à celui de
l’homme, avec un résultat final fort différent on en conviendra. Par ailleurs les études réalisées
par l’épigénétique, révèle 3 000 variations possibles par gènes ! L’épigénétique étudie
comment l’environnement et l’histoire individuelle influent sur l’expression des gènes, et
concerne des modifications de l’expression génique transmissible d’une génération à l’autre,
sans altération de la séquence des nucléotides, c’est à dire sans mutation des gènes. Tout ce
ceci, amène les biologistes et les chercheurs à penser, qu’au dessus du programme génétique, il
doit y avoir un système d’information contenant la vision holistique de l’organisme. Le tort de
la biologie moderne est d’avoir confondu programme et programmeur ! Nous ne faisons ici que
refléter l’opinion d’un certain nombre de biologistes, dont notamment, Ruppert Sheldrake,
spécialiste de la biochimie et de la biologie cellulaire, chercheur à l’institut international
d’Hyderabad en Inde. Auteur de deux livres assez denses, « une nouvelle science de la vie » et
« la mémoire de l’univers ». Il y présente une théorie féconde pour élucider les mystères de la
morphogénèse, ou naissance de la forme. De quelle manière les formes vivantes voient-elles le
jour, et comment les diverses théories s’accordent aux faits. L’explication conventionnelle de la
base évolutive de la morphogénèse parle, bien sur, d’héritage de gènes chimiques. L'hypothèse
de la causalité formative implique une vision plus vaste de l’hérédité, et appréhende l’héritage
de la forme organique (y compris la forme des molécules) en termes d’héritage de champs
organisateurs dotés d’une sorte de mémoire innée. L’hypothèse de la causalité formative n’est
pas nouvelle. Elle a été développée au début des années 1920 par 3 biologistes, au moins qui
suggérèrent indépendamment que, dans les organismes vivants, la morphogénèse était