marqueurs cardiaques fev 11

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LES MARQUEURS CARDIAQUES
Les recommandations de la HAS
2010 (consensus formalisé sans
groupe de cotation extérieur..)
+ Prescrire
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé. 1er février 2011
Mes liens d intérêts
2
Spécialiste en médecine générale en activité
Membre du comité de validation des recommandations de
la HAS
Je déclare n avoir aucun lien, direct ou indirect, avec des
entreprises ou établissements produisant ou exploitant des
produits de santé non plus qu'avec des organismes de
conseil intervenant sur ces produits*
* Mention obligatoire selon l'article L4113-13 du Code de la Santé
Publique (inséré par la Loi n°2002-303 du 4 mars 2002, art. 26 du
Journal Officiel du 5 mars 2002)
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Mes sources documentaires
3
¨ 
Les 4 documents de la HAS publiés en 2010
utilisation des marqueurs cardiaques dans la maladie
coronarienne et l insuffisance cardiaque chez l adulte
en médecine ambulatoire
¤  Note
de cadrage commune SCA et IC (fév. 2010,
demandeur : CNAMTS)
¤  Argumentaire (juillet 2010)
¤  Texte court (juillet 2010)
¨ 
Fiches de Bon Usage des Technologies de santé
¤  SCA
(sept 2010)
¤  Insuffisance cardiaque (Nov. 2010)
¨ 
Et les synthèses de Prescrire©
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Le Groupe de Travail
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Le champ de la reco
5
¨ 
Les marqueurs usuels de la maladie coronarienne et
de l IC
¨ 
Et la protéine C réactive ultra sensible (CRP us)
¨ 
En médecine ambulatoire
¨ 
La recherche documentaire : 2005/oct. 2009
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
La biologie (JB)
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¨ 
Fascination
¨ 
Facilité : le diagnostic sur ordonnance !
¨ 
Mais de nombreux pièges : ne remplace
Ni la clinique
¤  Ni la réflexion
¤ 
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Un biomarqueur : qu est-ce ?
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¨ 
La définition (pas vraiment limpide !) :
« Caractéristique biologique mesurée de façon
objective et évaluée comme un indicateur soit de
processus biologiques, normaux ou pathologiques, soit
de réponses pharmacologiques résultant d une
intervention thérapeutique »
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
La note de cadrage : pourquoi cette reco ?
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éviter la prescription d examens inutiles ou
redondants
¨  L histoire des marqueurs cardiaques
¨ 
¤  1954
: ASAT (puis LDH) et IDM
¤  1960 : CPK
¤  1990 : MYOGLOBINE puis
TROPONINE
n  Peptides natriuretiques
n 
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Le coût
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¨ 
¨ 
¨ 
¨ 
¨ 
TROPONINE B 65 (soit 17€)
PEPTIDES NATRIURETIQUES (ANP, BNP,NT-PROBNP) B
85 (soit 23€)
Le tarif de la cotation B s élève à 0,27 euros en
métropole (données du 29 février 2008).
2008 : 900 000 dosages de la tropo en ambulatoire,
dont 400 000 par les MG (soit 10 /MG/an)
Et autant de peptides natriurétiques (500 000 en MG)
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
La maladie coronarienne : nosologie
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¨ 
¨ 
l angor stable
les SCA
sans sus-décalage du segment ST (IDM sans onde Q et
angor instable) ;
¤  avec sus-décalage du segment ST (IDM avec onde Q).
¤ 
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La définition de l IDM : l un
quelconque des critères suivants
¨ 
Elévation et/ou d une baisse des biomarqueurs cardiaques (la
troponine de préférence) avec au moins une valeur au dessus
du 99e percentile de la limite supérieure de référence, associée
à des signes d ischémie myocardique avec au moins un des
symptômes suivants :
symptômes d ischémie ;
¤  modifications d un électrocardiogramme (ECG) indiquant une
nouvelle ischémie (nouvelles modifications du segment ST, de l onde
T dans le contexte d un nouveau bloc de branche gauche)
¤  développement d ondes Q pathologiques visibles à l ECG
¤  preuve d une nouvelle perte de myocarde viable ou d une nouvelle
anomalie de la contractilité régionale de la paroi myocardique à
l examen d imagerie.
¤ 
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Et un peu d épidémiologie
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¨ 
SCA
¤  80
000 /an en France (soit 2/MG)
¤  40 000 décès (1/ MG) en 2005, en baisse régulière
depuis 1980 : (-43 % entre 1985 et 2005)
¨ 
la létalité des patients présentant un SCA (hormis
l angor instable)
¤  50
% dans le premier mois suivant l événement
¤  40 % de ces décès survenaient dans les 24 premières
heures ++
¨ 
Angor stable chez les hommes
2-5 % de 45 à 54 ans
¤  10-20 % de 55 à 74 ans.
¤ 
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Le diagnostic
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¨ 
De l angor stable
¤  Interrogatoire
et facteurs de risque++
¤  ECG N 1fois /2
¤  Les autres examens complémentaires : EE…
¤  Pas de place pour les marqueurs
¨ 
Du SCA
¤  La
clinique
¤  ECG
¤  Marqueurs
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Les troponines
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¨ 
¨ 
¨ 
¨ 
Après un IDM, les taux s élèvent après deux à quatre
heures, avec un pic plasmatique aux alentours de 14 heures
et restent élevés pendant 75 à 140 heures
La troponine n est pas spécifique : elle augmente ds bp de
pathologies cardiaques ET non cardiaques
Dosage non standardisé++
L avenir (?): Récemment, des techniques de dosage dites «
ultrasensibles » de la troponine ont été commercialisées :
L utilisation de ces dosages pourrait modifier dans un avenir
proche les indications du dosage des troponines, en permettant
par exemple de remplacer la myoglobine dans le diagnostic
précoce du syndrome coronarien aigu…à suivre
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Les marqueurs de la Maladie Coronarienne
Aigue (rien en patho chronique)
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¨ 
la troponine
¨ 
la myoglobine
¨ 
la CK-MB massique
¨ 
les marqueurs cardiaques non spécifiques, tels que
l ASAT et la LDH, ne sont plus recommandés
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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La recommandation phare (mais
consensus mou !) :
« La suspicion d un SCA est une urgence vitale.
En médecine ambulatoire, la priorité est d appeler
le Samu centre 15. Il n y a pas lieu de réaliser un
dosage de marqueurs cardiaques. »
Le centre 15 et l aide à la décision ? (collégiale)
accord relatif (médiane 9, intervalle de distribution [5
à 9])
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Et pour éliminer un SCA
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¨ 
¨ 
La myoglobine peut éventuellement être utile dans
les 6 heures qui suivent le début des symptômes en
raison de sa forte valeur prédictive négative.
[Si faible probabilité de SCA , id D.Dimères pour la
thrombose ? (JB)]
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
et une exception…nuancée et accord fort
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(médiane 9, intervalle de distribution [7 à 9]).
« Il existe des suspicions de SCA où le pronostic vital immédiat n est
pas en jeu (symptômes datant de plus de 3 jours et patient
asymptomatique le jour de la consultation) et où le clinicien, en
médecine ambulatoire, peut éventuellement faire appel au dosage
de la troponine pour l aider à prendre une décision concernant la
prise en charge du patient.
Si ce dosage est positif, cela implique d hospitaliser le patient
rapidement et, si le dosage est négatif, il faut orienter le patient
vers une consultation cardiologique pour d autres explorations.
le médecin et le patient doivent avoir conscience du délai nécessaire
à l obtention des résultats (réalisation du prélèvement, analyse par
le laboratoire et transmission des résultats) ; le dosage de la
troponine doit être réalisé sans délai, au mieux au sein d un service
d urgences hospitalier ».
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
CRP ultrasensible
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un marqueur indépendant du risque de maladie
coronarienne (sans causalité : ce n est pas un facteur
de risque)
¨  La reco : le dosage de la CRP us n est pas indiqué
dans la prévention primaire de la maladie
coronarienne.
¨  Il n a pas été démontré que l utilisation de la CRP
us dans le cadre de la prédiction du risque
améliore les résultats cliniques comparativement à
une stratégie ne l utilisant pas
¨ 
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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Et maintenant , l insuffisance
cardiaque…
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Le constat
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¨ 
¨ 
une maladie sous diagnostiquée en
France, surtout chez la personne âgée
l utilisation des peptides natriurétiques
pourrait permettre d améliorer cette
situation ?
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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L insuffisance cardiaque : définition et
classification
¨ 
Définition : trois critères, dont les deux premiers sont
indispensables :
¤  symptômes
et signes d IC (au repos ou à
l exercice) ;
¤  mise en évidence objective d une dysfonction
cardiaque au repos ;
¤  en cas de doute, réponse favorable au traitement.
¨ 
différents types d IC.
¤  Aigue
et chronique
¤  Systolique et..non systolique (alias diastolique)…et
mixte AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1 février 2011
er
IC : un peu d épidémiologie
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¨ 
¨ 
Augmentation incidence et prévalence X 2 en 10
ans (≠ insce coronaire)
En France : prévalence
1 % de la population générale (15/ MG ?)
¤  10 à 20 % > 70 ans
¤ 
¨ 
mortalité de 50 % à 4 ans (1 an pour les formes
sévères)
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
IC : le diagnostic
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¨ 
¨ 
Clinique sensible mais peu spécifique (nb faux
positifs)
EC indispensables :
¤  RP
¤  ECG
¤  échocardiographie
¤ 
Et la biologie??
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
BNP et pro BNP : des peptides natriurétiques.
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¨ 
Non spécifiques++: nb pathologies secrétrices
Pathologie pulmonaire aiguë et chronique avec retentissement ventriculaire
droit. Valvulopathies. Hypertrophie ventriculaire gauche primitive et
secondaire. Insuffisance rénale. Arythmie auriculaire. Sepsis. Ischémie
myocardique aiguë. Dysfonction systolique chronique. Hyperthyroïdie.
Maladie de Cushing ou prise de glucocorticoïdes. Hyperaldostéronisme
primaire. Maladie d Addison. Diabète. Cirrhose avec ascite. Syndrome
paranéoplasique. Hémorragie sous-arachnoïdienne.
¨ 
quatre facteurs confondants qui sont l âge, le sexe, l obésité et la fonction
rénale+++
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
BNP ou NT-proBNP ?
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Mêmes performances
¨  Impossibilité de comparer les résultats de ces deux
marqueurs (pas de formule permettant de passer
de l un à l autre)
¨  Pour un même patient, il faut donc utiliser un même
peptide natriurétique dosé dans un même
laboratoire
¨  Dosé dans le même laboratoire (même analyseur)
et dans les plus brefs délais après le prélèvement.
¨ 
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Diagnostic de l insuffisance cardiaque
chronique : l apport des marqueurs
¨ 
Haute VPN…mais
¨ 
Médicocre VPP
¨ 
Pas de consensus pour les valeurs seuil
¨ 
Utile si clinique atypique : Des concentrations
inférieures à 100 ng/l pour le BNP et à 300 ng/lpour
le NT-proBNP rendent peu probable ce diagnostic.
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Tableau typique d IC chronique
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¨ 
consultation cardiologique dès que possible.
Le dosage des peptides natriurétiques n est pas
indiqué.
(Résultat cotation : accord fort)
¨ 
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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suspicion clinique de décompensation
de l insuffisance cardiaque chronique
¨ 
Le dosage des peptides natriurétiques peut aider à
orienter la démarche diagnostique et
thérapeutique.
Seule est significative une augmentation des
concentrations d au moins 50 % de la valeur
mesurée chez le patient stable.
(Résultat cotation : accord fort)
¨ 
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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tableau clinique typique de
décompensation
¨ 
¨ 
Consultation cardiologique ou
une hospitalisation rapides.
Le dosage des peptides natriurétiques n est
pas indiqué en médecine ambulatoire.
Résultat cotation : accord fort
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Stratification du risque et pronostic
dans l insuffisance cardiaque
chronique
Il existe une corrélation entre les concentrations en
peptides natriurétiques et le pronostic.
¨  Les modalités pratiques d utilisation ne sont pas
encore bien déterminées, et l impact du résultat sur
la prise en charge des patients n est actuellement
pas suffisamment documenté.
¨  Il n est donc pas actuellement indiqué de doser
les peptides natriurétiques dans le seul but
d établir un pronostic.
¨ 
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Dépistage de l insuffisance cardiaque latente
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Le dépistage, en routine de la dysfonction
ventriculaire gauche par le dosage des peptides
natriurétiques dans de larges populations
asymptomatiques sans facteur de risque d IC ou à
haut risque d IC, n est pas indiqué.
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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Suivi et adaptation thérapeutique de
l insuffisance cardiaque chronique
¨ 
¨ 
¨ 
¨ 
¨ 
L adaptation du traitement en vue d atteindre des concentrations cibles de
peptides natriurétiques n est pour l instant pas recommandée
chez l insuffisant cardiaque chronique stable sous traitement optimal, la répétition
du dosage des peptides natriurétiques n est pas indiquée ;
en cas de suspicion clinique de décompensation de l insuffisance cardiaque
chronique, le dosage des peptides natriurétiques peut aider à orienter la
démarche diagnostique et thérapeutique
Si l on dispose d une valeur mesurée chez le patient stable, seule sera considérée
comme significative une augmentation de la concentration d au moins 50 % ;
devant un tableau clinique typique de décompensation, une consultation
cardiologique ou une hospitalisation s impose dès que possible, sans réalisation
préalable d un dosage des peptides natriurétiques.
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Stratification du risque et pronostic dans la
maladie coronarienne chronique
40
¨ 
¨ 
les peptides natriurétiques sont des marqueurs
pronostiques indépendants de la maladie
coronarienne chronique stable…mais
Pas de données permettant de statuer sur leur
éventuelle place en pratique clinique => pas de
dosage systématique
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Et Prescrire© ?
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¨ 
« Le dosage du taux de BNP, ou du NTproBNP, est utile
lorsque le diagnostic reste incertain après réalisation
d une radiographie thoracique, surtout pour exclure
l insuffisance cardiaque aiguë. »
Revue prescrire 2009; 29 (313)
¨ 
« l orientation initiale chez un patient dyspnéique
repose d abord sur la clinique, la RP et l ECG. Au terme
de ce bilan, si le diagnostic reste incertain, l examen de
2ème ligne est le dosage des peptides natriurètiques »
Revue prescrire 2010; 30(325)
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
Prescrire© encore !
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¨ 
Les peptides natriurétiques de type B : Une aide
pour exclure le diagnostic d insuffisance cardiaque
aiguë
Rev Prescrire 2009 ; 29 (313) : 835-838.
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé1er février 2011
Pour la pratique : SCA à retenir++
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Pas de tropo en cas de SCA….sauf
¨  Symptomatologie > 72 heures et
¨ 
état stable
¤  ECG non contributif
¤ 
¨ 
Les filières d urgence de la médecine ambulatoire
(SOS médecin, médecins affiliés Samu, etc.) ne sont
pas concernées par la non-indication du dosage des
marqueurs de nécrose myocardique en cas de
suspicion de syndrome coronarien aigu s ils
possèdent un automate mobile de dosage
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé.1er février 2011
Pour la pratique : IC à retenir++
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Utile si symptomatologie atypique (exclure le
diagnostic)
¨  Non recommandé pour
¨ 
le pronostic
¤  Le dépistage
¤ 
Éventuellement utile si suspicion atypique de
décompensation
¨  CRP us : actuellement non recommandée
¨ 
AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
MERCI
[email protected]
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AMMPPU . Cycle Analyse des Recommandations. J.Birgé 1er février 2011
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