la thermographie médicale

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La thermographie médicale :
historique, indications et interprétations
La thermographie ne révèle pas le cancer du sein, mais elle quantifie le risque et identifie une population
qui bénéficiera d’un contrôle sénologique plus approfondi (échographie, IRM, mammographie),
évitant aux
x autres des examens de routine potentiellement dangereux.
Complètement sécuritaire,, l’imagerie digitale par infrarouge offre aux femmes de tous les âges
la possibilité de prendre en main leur destin en changeant leur style de vie bien avant le cancer
La meilleure cure pour le cancer du sein, c’est la prévention
La thermographie médicale : historique, indications et interprétations
L’imagerie digitale par infrarouge représente un outil de premier choix pour la santé préventive, et en particulier pour la détection
précoce des pathologies des seins, aussi bien chez la femme que chez l’homme d’ailleurs, dont la fréquence des tumeurs mammaires,
tout comme les taux d’oestrogènes avec lesquels elles sont en étroite corrélation, ne cessent d’augmenter.
Les raisons de ces déséquilibres hormonaux sont multiples : pilule contraceptive, stress, manque de repos, pollutions, tabagisme,
sédentarité, alimentation. Les mutations anarchiques (cancer) sont provoquées principalement par le manque d’oxygène, la
déshydratation et le stress oxydatif (excès de radicaux libres), l’accumulation de toxines et l’acidité du terrain qui favorise la
croissance de germes pathogènes, sans oublier le stress émotionnel, mais si ce ne sont pas les oestrogènes qui déclenchent le cancer,
en revanche la plupart des cancers sont alimentés par ces hormones, et le corps ne fait pas la distinction entre les hormones
synthétiques et les formes naturelles végétales (phytoestrogènes). Les mutations anarchiques représentent donc la graine, et les
déséquilibres hormonaux se comportent comme des fertilisants.
Contrairement aux examens structurels tels que la mammographie aux rayons X, la résonance magnétique nucléaire, ou
l’ultrasonographie, dont la fonction est de détecter une formation telle qu’un kyste ou une tumeur cancéreuse lorsque la croissance
de celle-ci est déjà suffisamment avancée (généralement un à deux ans) pour être visualisée au moyens de ces techniques, la
thermographie des seins est un examen fonctionnel qui permet de définir précisément les facteurs de risque en s’intéressant aux
changements au niveau de la vascularisation. L’utilisation clinique de la thermographie mammaire rend possible une approche
préventive de la santé et permet de vérifier l’efficacité des mesures prises pour éviter le cancer, alors que les examens structurels
sont correctifs et ne servent qu’à localiser l’endroit précis du problème lorsque celui-ci est bien développé. Le tableau ci-dessous
donne une idée de l’avantage conféré par la détection précoce.
En raison des facteurs causals évoqués ci-dessus, capable d’interférer avec la réplication de l’ADN, chaque division cellulaire comporte
la possibilité d’une mutation pouvant aboutir à la genèse du cancer. A travers la mitose, chaque cellule se dédouble en 90 jours, et il
faut compter entre 6 et 8 ans, en fonction de l’âge et de la densité des seins, avant qu’on puisse détecter une masse, généralement
de la taille d’un petit pois. A ce stade, hélas, le cancer est plus difficile à traiter, en particulier avec des moyens naturels, en raison de
la progression de plus en plus rapide. 3 à 5 ans plus tôt, à la période pendant laquelle le thermogramme peut détecter une anomalie
fonctionnelle, l’organisme jouit d’une meilleure vitalité et a de plus grandes chances de pouvoir inverser le processus par des moyens
simples et naturels, en modifiant certaines habitudes.
3 mois
1 an
2 ans
3 ans
4 ans
5 ans
6 ans
7 ans
8 ans
2 cellules
16 cellules
256 cellules
4,096 cellules
65,536 cellules
1,048,576 cellules
16,777,216 cellules
268,453,456 cellules
4,294,967,296 cellules
Premiers signes thermologiques observables
Toujours indétectable par la panoplie d’examens structurels
Masse observable, de la taille d’un petit pois
L’adage « mieux vaut prévenir que guérir » n’est pas nouveau, mais les mesures correctives ont peu à peu remplacé le bon sens et la
prévention des risques à tous les échelons de notre modèle sociétal occidental, à tel point que même nos gens d’armes, par exemple,
submergés de demandes, ne se déplacent plus pour le signalement d’un individu au comportement menaçant, tant que celui-ci n’est
pas passé aux actes, trucidant sa victime ou blessant son épouse. S’il n’est pas facile de bousculer un modèle dont l’inertie a pris des
proportions d’ordre mondial, il est toutefois possible d’opérer quelques réformes et d’adopter peu à peu des comportements plus
responsables, en particulier en ce qui concerne son Être, son corps et sa santé.
Encore peu connue sur le vieux continent, la thermologie clinique a pourtant été utilisée bien avant l’apparition de notre technologie
d’avant-garde. 400 ans avant JC, Hippocrate, le père de la médecine moderne enduisait d’argile les corps de ses patients afin
d’identifier les régions malades en observant les zones où elle séchait en premier. Les premières caméras infrarouges ont été créées
en 1950, et les premières observations cliniques en découlent dès 1956. Le couplage informatique date du début des années 1980 et
prend véritablement son envol 10 ans plus tard, mais les spécialistes sont rares, et les médecins radiologues formés en deux jours
seulement font un travail peu cohésif, disparate et peu concluant, si bien que cette approche d’une grande valeur aurait sombré dans
le discrédit, entraînant aux oubliettes le travail des pionniers s’il n’y avait eu une réaction des principales concernées, nos
mammifères femelles ! Le réveil vient des militantes du nouveau monde, avec des personnalités actives comme Wendy Sellens,
Janique Cook, Angelique Scibetta, et bien d’autres, les femmes se réapproprient leurs corps, prennent en charge leur santé et font un
travail médiatique considérable. Les Etats-Unis d’Amérique abritent aujourd’hui de nombreux praticiens chevronnés, cliniques
spécialisées, collèges et associations de thermologie, firmes de constructeurs et développeurs, ainsi que des services d’interprétations
ouverts aux praticiens du monde entier, avec une uniformisation des protocoles d’examens, ainsi qu’un système d’évaluation du
risque de développer un cancer basé sur l’étude de plus de 300.000 cas cliniques, et restitué sous la forme d’un indice
thermobiologique qui représente la norme internationalement reconnue et adoptée par toutes les institutions soucieuses d’offrir à
leurs patients une médecine intégrative et préventive de qualité.
Classification des risques et définition des signes thermiques
L’évaluation du risque et la définition de l’indice thermobiologique, ou score thermique reposent sur l’étude comparative de 22
marqueurs divisés en deux catégories de signes qualitatifs et quantitatifs interdépendants :
morphologie, netteté des contours, symétrie, homogénéité, foyers isolés, hyperthermies, hypothermies, réactivité,
différence de température aux mamelons, différence de température dans la région péri-aréolaire
péri aréolaire et dans les 4 quadrants.
quadrants
Permettant de définir 5 diathèses qui caractérisent le
le risque de développer un cancer de manière croissante, de 1 à 5, l’étude de tous
ces paramètres interdépendants demande une grande attention, une connaissance approfondie de la vascularisation spécifique des
de
seins, ainsi que de nombreux calculs complexes qui, sans le couplage informatique, occasionneraient un travail inconsidérablement
long. L’utilisation d’un algorithme basé sur plus de 800 études et l’observation d’environ 330.000 cas cliniques symptomatiques,
symptomatiqu avec
prise en charge et compensation de la marge
arge d’erreur représente une avancée technologique formidablement évolutive et pratique.
L’indice Thermobiologique, ou le Score thermique
… sont des traductions possibles de ce que les américains appellent TH-Score (Thermal Score), ou Thermal Risk Classification, ou
encore The Marseille System,, en hommage à l’institut Pasteur de la cité phocéenne. Noté de TH-1
TH à TH-5, il permet d’évaluer le
niveau de risque pour chaque sein individuellement,
individuellement, d’adopter les mesures adéquates et de définir la fréquence
fréq
des contrôles.
Pour les indices 1 et 2, on peut pratiquement exclure la probabilité de cancer, alors que l’indice 5 représente une probabilité de 90 à
96% de cancer déjà présent, même s’il n’est encore qu’à un stade microscopique.
Pour les indices 3 et 4, tous deux potentiellement anormaux,
anormaux une
ne première analyse devrait toujours être suivie d’un premier contrôle
entre 2 et 6 mois, afin d’apprécier la dégradation,
dégradation l’évolution, ou la stabilité dans le temps. En effet, si
s les signes thermiques suggestifs
d’un déclin de la santé du sein sont plus prononcés, le niveau de risque augmente proportionnellement. Si au contraire les signes
thermiques qualitatifs et quantitatifs sont moins prononcés, le risque diminue, et si les signatures thermiques
the
restent stables au fil
des mois et des années, cela traduit une condition de santé du sein parfaitement stable, même avec un indice équivoque.
L’indice 3 représente un thermogramme équivoque,
équivoque mais pas forcément anormal.
L’indice 4 représente un thermogramme anormal, mais pas forcément lié au cancer.
La probabilité de développer un cancer est tout de même de :
10% à 25% en moyenne, et jusqu’à 40% pour l’indice 3 (risque modéré à fort), et de
41% à 89% avec une incidence moyenne de 65% à 85% pour l’indice 4 (haut risque).
C’est donc avec le temps et plusieurs contrôles que l’on peut mettre en évidence le risque personnel.
personnel
La prévention du cancer du sein, qui touche 12 à 13% des femmes et de plus en plus d’hommes, est sans doute l’indication majeure
de la thermographie médicale.
TH - 1 : NEGATIF
Thermogramme normal, risque très faible
La première catégorie de la classification définit l’absence totale de signe thermique ou de critère associés au risque de développer
une tumeur maligne. C’est un profil thermobiologique idéal, uniforme, sans vascularisation ni aucune hyperthermie focale
significative, dans lequel on discerne bien les contours.
Certaines patientes présentent tout de même parfois des figures hypothermiques distinctes et significatives, fréquemment associées
à des kystes et/ou des fibroadénomes bénins. Un examen structurel est alors indiqué (échographie-IRM).
Certaines patientes ayant subi une mammographie conclusive, avec indication immédiate de biopsie ont été réconfortées par un
thermogramme normal de catégorie TH-1, indiquant la nature bénigne des masses observées aux rayons X.
TH - 2 : BORDERLINE NORMAL
Thermogramme normal, risque faible
La seconde catégorie définit un modèle thermovasculaire symétrique, non complexe et modérément hyperthermique. L’indice 2
représente un profil thermobiologique exempt de signes ou de critères associés au risque de développer une tumeur maligne.
Cependant, bien que fortement improbable, il est toutefois possible qu’une tumeur maligne soit à l’état quiescent, avec un
développement vasculaire minimal : carcinomes in situ, carcinomes micro-invasifs (≤ 5mm), carcinomes T1 (< 2mm). Dans cette
éventualité qui présente un risque statistique de 10%,, les signes mineurs pourraient se trouver en deçà du seuil de détection,
particulièrement lors d’un premier examen.
Cette catégorie thermologique est bien plus fréquemment associée à des modifications fonctionnelles et hormonales dues à la
grossesse et à la lactation, ou à des changements bénins tels que : hyperplasie glandulaire, dysplasie fibrokystique avec
développement de kystes de taille petite à moyenne, et/ou de fibroadénomes à croissance lente.
Malgré toutes les probabilités de pathologies énumérées, l’indice 2 est caractéristique d’un sein en bonne santé et représente un
risque minime. En l’absence de signes cliniques, une thermographie comparative annuelle est généralement suffisante. Un contrôle
avant échéance peut être souhaité afin d’apprécier l’efficience d’une intervention.
Certaines patientes ayant subi une mammographie conclusive, avec indication immédiate de biopsie ont été réconfortées par un
thermogramme normal de catégorie TH-2, indiquant la nature bénigne des masses observées aux rayons X.
L’indice 2 ne doit toutefois pas être interprété comme une substitution à d’autres moyens d’investigations ni encourager la négligence
de symptômes préoccupants.
TH - 3 : BORDERLINE EQUIVOQUE / ANORMAL, BORDERLINE HAUT RISQUE
Thermogramme équivoque, mais pas forcément anormal
La troisième catégorie définit un processus métabolique ou vasculaire atypique, qui peut reposer sur la mise en évidence :
-
d’un foyer ou d’un modèle vasculaire asymétrique et hyperthermique ;
d’une hyperthermie asymétrique et diffuse concernant la région péri-aréolaire ou l’ensemble du sein ;
d’une aire discrète dans le modèle thermovasculaire qui ne répond pas à la procédure de stimulation neurovégétative ;
ou d’une rupture de continuité physique des contours (distorsion), asymétrique, avec une hyperthermie localisée.
Ce profil thermobiologique atypique représente généralement un risque modéré de développer une tumeur maligne (<10-20%), en
particulier lors du premier examen, et les signes thermiques sont alors associés à des changements bénins tels que : caractéristiques
individuelles, inflammations, infections, dysplasie fibrokystique avec de multiples kystes en phase aiguë et/ou fibroadénomes en
développement rapide. Un premier contrôle effectué entre deux et six mois révèle généralement un changement de statut vers la
catégorie inférieure (> TH-2). S’il n’y a pas de changements, prévoir 2 ou 3 contrôles à raison d’un tous les six mois, puis à raison d’un
contrôle annuel si la situation est stable. Même en l’absence de signes cliniques, une IRM est indiquée, suivie d’une biopsie si celle-ci
se révèle positive.
Une corrélation clinique est indiquée en cas de changements au niveau de la peau ou de découverte d’une masse, qui augmenteraient
le pourcentage de risque de développer un processus malin (jusqu’à 40%), d’autant plus s’il y a un risque héréditaire ou personnel
associé. Dans ce cas, une IRM est particulièrement indiquée et fortement conseillée, suivie d’une biopsie si celle-ci se révèle positive.
Lorsque ce profil comporte des signes thermopathologiques significatifs et distincts (BORDERLINE HAUT RISQUE), cela peut traduire
l’expression de carcinomes in situ, carcinomes micro-invasifs (≤ 5mm), carcinomes T1 (< 2mm), ainsi que des formes infiltrantes plus
rares comme les carcinomes colloïdes à production de mucine et les carcinomes médullaires jeunes.
D’autres techniques d’investigation peuvent être indiquées. Une échographie ciblée semble représenter le complément idéal de la
thermographie dans le suivi des patientes présentant un thermogramme atypique ou anormal.
TH - 4 : POSITIF / HAUT RISQUE
Thermogramme anormal
Avec une probabilité significative de 65-85%
65 85% de risque de développer une tumeur maligne, la quatrième catégorie
doit être considérée comme un thermogramme positif et requiert un suivi de haute diligence. L’indice 4 ne
représente pas un diagnostic de cancer, mais la plupart des signes métaboliques et thermovasculaires qui lui sont
associés sont présents, et les probabilités sont très fortes, requérant une réaction prompte.
Une corrélation clinique est indiquée en
n cas de changements au niveau de la peau ou de découverte d’une masse,
masse et tous les autres
moyens disponibles d’évaluation objective sont indiqués. Il faut cependant garder à l’esprit qu’un thermogramme positif de catégorie
ca
4 peut parfois précéder de 5 à 8 ans un test positif avec les autres techniques d’évaluation, bien que dans la plupart des cas le délai
avant une possible détection par les examens structurels soit plus court (1 à 5 ans).
Des caractéristiques personnelles
elles ou des processus bénins sont possibles, quoique peu probables en tant que facteurs causals de
cette catégorie anormale, en particulier s’il s’agit d’un premier examen. Un premier contrôle effectué entre deux et trois mois
mo
représente un complément d’information indispensable à la compréhension et à l’accompagnement
l’accompagnement de ce profil thermobiologique.
Même en l’absence de signes cliniques, une IRM est indiquée, suivie d’une biopsie si celle-ci
celle ci se révèle positive. Si l’IRM est négative,
de même que la clinique, et que le premier contrôle thermographique ne montre pas de dégradation, un examen de routine est
indiqué tous les six mois.
TH - 5 : SEVERE, TRES HAUT RISQUE
Thermogramme intensément anormal
La cinquième catégorie représente la probabilité maximale (90% à 100%) qu’un processus malin, même
microscopique, soit déjà présent. Des caractéristiques individuelles ou des processus bénins sont pratiquement
improbables en tant que facteurs causals de cette classification,
classification, en particulier s’il s’agit d’un premier
premi examen.
Un premier contrôle effectué entre deux et trois mois représente un complément d’information indispensable à la compréhension et
à l’accompagnement de ce profil thermobiologique. Une corrélation clinique est indiquée en
n cas de changements au niveau de la
peau ou de découverte d’une masse. Sans équivoque, une patiente présentant un tel score doit être prise en charge avec
empressement et examinée par tous les moyens disponibles d’objectivation.
Il faut cependant garder à l’espritt qu’un thermogramme positif de catégorie 5 peut parfois précéder de 5 à 8 ans un test positif avec
les autres techniques d’évaluation, bien que dans la plupart des cas le délai avant une possible détection par les examens structurels
st
soit plus court (1 à 5 ans).
Notation complémentaire
Le score TH est parfois complété d’une lettre F,
F L, M, ou S.
La lettre F indique un thermogramme normal avec des figures hypothermiques associées à la fibrose kystique et/ou au fibroadénome
fibroadén
de nature bénigne.
Les lettres L et M indiquent respectivement lumpectomie et mastectomie. Lumpectomie est une traduction phonétique
pho
de l’anglais
Lumpectomy,, mais les termes francophones sont : tumorectomie, ou segmentectomie, ou encore quadrantectomie.
En tous les cas ce sont des processus chirurgicaux (en anglais Surgery,, ce à quoi correspond la lettre S) susceptibles d’endommager
des structures nerveuses et vasculaires, d’engendrer un gonflement des tissus et d’altérer le métabolisme, ce qui limite la valeur
v
des
informations obtenues par le thermogramme pendant au moins trois mois. Un traitement du cancer par irradiation (radiothérapie)
(radi
peut affecter la thermobiologie du sein pendant une période bien plus longue, mais certains praticiens décident néanmoins d’avoir
d’a
recours à la thermographie pour évaluer la progression post-chirurgicale,
post chirurgicale, et la fonction des lettres L, M et S représente
repr
essentiellement une information à prendre en considération dans les comparaisons des thermogrammes. Ceux-ci
Ceux qui fournissent alors
des informations de première importance dans le suivi thérapeutique, indiquant notamment la persistance ou la récurrence
récurrenc des
signes associés au risque de développer cancer, en particulier au niveau de la chaîne ganglionnaire de la région axillaire.
Que faire si mon bilan thermologique révèle un score élevé ?
Le score thermique TH-1 est défini comme un thermogramme normal, symétrique et sans
vascularisation, excluant pratiquement toute probabilité de risque de développer un cancer. Le
rêve idéal, un bulletin météo affichant un soleil radieux, et avec une fiabilité optimale les
prévisions à long terme annoncent que ce beau temps stable est appelé à durer plusieurs saisons.
Mais . . . existe t‘il vraiment thermogramme normal ? La nature n’a-t-elle pas prévu des
asymétries qui nous rendent tous uniques, de la forme du visage aux mécanismes les plus
profonds de notre métabolisme ? Assurément ! Et cette empreinte est importante, car ce qui te
soigne me tuera peut-être, et vice-versa. Les dosages et les protocoles doivent être adaptés
individuellement, et il en va de même des interprétations de n’importe quel bilan biométrique.
Dans les dimensions subtiles, le temps n’est pas linéaire, aussi on ne sait jamais vraiment si on
observe le passé dans le présent, ou le futur, c’est pourquoi dans notre représentation linéaire
nous avons besoin d’un deuxième point de mesure afin de comprendre la direction du temps de
ce que l’on a observé, ou en d’autres termes, s’il y a amélioration ou péjoration, mais entre une
thèse et son contraire, l’antithèse, il y a la synthèse, l’équilibre, représenté par une condition
stable, sans changements.
D’après une étude basée sur le suivi thermographique de patientes en parfaite santé (TH-1 ) pendant
au moins cinq ans, la différence de température moyenne d’un sein à l’autre n’est que d’un demi
degré C, pourtant la plupart des femmes présentent des différences plus importantes et atteignent
un score thermique TH-3, et 5% seulement évoluent vers un risque accru et développent
éventuellement un cancer. 95% d’entre elles sont normales. De ces 95%, 50% redescendent dans la
seconde catégorie au premier contrôle (TH-2), et 45% restent stables dans la catégorie TH-3, qui
représente leur signature thermique physiologique.
De même, certains préfèrent le climat de la montagne à celui de la mer. Le but n’est donc pas
forcément d’atteindre un score thermique TH-1. Lorsqu’une patiente présente une stabilité dans la
catégorie TH-3, confirmée par deux tests sans changements à six mois d’intervalle, elle est
considérée comme normale, avec un risque à peine supérieur à la catégorie précédente (TH-2), et
dans ce cas un contrôle thermologique annuel est amplement suffisant
Quoiqu’il en soit, les informations prévisionnelles de la thermographie doivent être interprétées
comme un encouragement à adopter des comportements conscients, préventifs, et en aucun cas
pris comme un diagnostic de maladie.
Comprendre les défis modernes par rapport au cancer du sein
Entre psyché et soma
Bien souvent le cancer est un programme biologique qui est déclenché par un conflit émotionnel si intense que la raison
n’arrive pas à gérer seule, faisant entrer en jeu des mécanismes profonds et inconscients, qui à leur tour tentent de
trouver une solution réparatrice en construisant de nouvelles cellules. Parfois le cancer est le résultat d’une rupture
d’équilibre avec l’environnement telle que le matériel génétique de la cellule est endommagé et reproduit des
aberrations, comme chez les personnes qui ont été exposées aux radiations. Dans tous les cas le corps et l’esprit sont
concernés, si bien que la prévention ne doit négliger aucun aspect.
Pollutions
Du point de vue physico-chimique, le défi majeur est la pollution, ou plutôt les pollutions, car il en existe de toute nature,
mais une des plus dangereuses vient des métaux lourds. De manière significative, beaucoup de femmes ayant développé
un cancer du sein étaient porteuses d’amalgames métalliques en bouche, dont les fuites exposent particulièrement la
thyroïde et les seins, véritable dépotoir lymphatique de la bouche. L’impact de problèmes dentaires sur les seins a été
clairement mis en évidence grâce à la thermographie. Un contrôle de votre bouche auprès d’un praticien éclairé en
dentisterie durable est un geste préventif de première importance.
Le déséquilibre hormonal
L’excès d’œstrogène stimule les divisions cellulaires du tissu mammaire et stimule également d’autres hormones qui à
leur tour stimulent les divisions cellulaires du tissu mammaire, favorisant aussi l’augmentation des cancers hormonosensibles. Une fois le cancer présent, il continue d’être nourri et stimulé par l’excès d’œstrogène, et le manque
d’oxygène. Alors comment se prémunir ? Quelles sont les causes principales ? On retrouve bien sûr les pollutions, ondes,
métaux, solvants, pesticides, fumées industrielles, tabagisme, alcool, médicaments, contraception, mais la première
mesure de protection vient de l’eau de boisson et des aliments. Non filtrée, l’eau du robinet contient des résidus
d’hormones et des perturbateurs endocriniens biopersistants, et les animaux que nous mangeons ont été traités à coups
antibiotiques et d’hormones, de telle manière qu’ils ont été eux-aussi en déséquilibre hormonal. L’agriculture utilise des
composés synthétiques comme les parabens, herbicides, et bien d’autres encore, qui sont des xenoestrogènes
biopersistants, ce qui signifie qu’ils ne sont pas facilement dégradés et qu’ils s’accumulent, que dis-je, ils s’accumoncèlent
dans nos graisses, y compris dans le sein, et jouent un rôle dans la prise de poids, la baisse de la fertilité, le vieillissement
prématuré, augmentant les risques et nourrissant le cancer. Les thérapies aux hormones de substitution, le soya, les
ersatz transgéniques, et même les phytoestrogènes de source naturelle contribuent au cercle vicieux du déséquilibre.
Par où commencer ?
De nombreuses techniques modernes de biométrie sont à votre disposition pour évaluer votre métabolisme, sa vitalité
électromagnétique et sa capacité à évacuer les toxines, son équilibre macro- et oligo-minéral, ses excès et déficits, la
charge toxique en métaux lourds, le stress oxydatif et la protection antioxydante, l’impact des émotions, et bien plus
encore pour vous guider vers de meilleurs choix en fonction de vos besoins personnels.
Paroles de femmes
« Quand j’ai reçu un score TH-4, j’étais très effrayée, mais en réduisant le stress et en mangeant mieux mon score s’est
amélioré, et je pense aujourd’hui que cela m’a sauvé la vie »
« J’ai subi un tas d’interventions chirurgicales parce que les mammographies ne permettaient pas de faire la différence
entre kyste bénin et tumeur maligne »
« Je n’arrivais pas à croire que ce test n’ait ni radiation, ni effet secondaire, ni douleur, c’était trop beau pour être vrai !
« Cela n’a pris que 30 minutes et j’ai reçu un résultat dans la semaine, je remercie le ciel que mon amie m’ait parlé de
la thermographie »
« Au début, je n’étais pas rassurée, mais l’examen s’est déroulé facilement. Quand je pense à toutes ces années
d’écrasement, j’ai envie de pleurer ! Maintenant que j’ai essayé la thermographie, je ne reviendrai jamais en arrière.
Maintenant je n’ai plus peur et je n’annule plus mes examens ! »
« Chaque année ils me découvraient une masse, suivie d’une biopsie, avec le stress que ça comporte pour entendre
finalement que ce n’était rien. Avec la thermographie ils arrivent facilement à faire la différence entre un kyste et un
cancer, et pour la première fois depuis des années je vis sans stress et sans chirurgie ! »
« J’ai eu ma première thermo pendant la grossesse, car je ne pouvais pas subir de mammo »
« C’est si doux que l’on peut faire des thermographies répétées pendant la radiothérapie, la chimio, ou juste après une
opération, cela permet d’évaluer les progrès »
« La préparation à la thermographie est simple, comparée à certains examens du sang pour lesquels il faut jeuner
pendant 24 heures. Réveil, pas de douche, pas de make-up, se rendre à la clinique et rentrer pour le petit-déjeuner »
« Mes mammographies n’étaient pas conclusives et je n’avais aucun risque héréditaire, je ne pensais donc pas avoir
besoin d’effectuer une thermographie. Je remercie Dieu que mon amie ait insisté, car mon score était à haut risque, et
je pense honnêtement que si je n’avais pas corrigé ma façon de vivre à ce moment-là, on aurait découvert un cancer
tôt ou tard, mais trop tard ! »
« J’ai toujours été stressée à chaque contrôle mammographique annuel, sachant que j’avais une chance sur deux de
perdre ma poitrine. C’est tellement rassurant de savoir que quoiqu’on découvre à la thermographie peut être corrigé
par la diète, l’exercice et la relaxation. 5 ans et tellement plus d’options, j’adore la thermographie ! »
Jan 2015
Flavio PIERVITTORI
Biométrie
079 239 28 60
[email protected]
Centre Prévention & Santé
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