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Anthropologie
Semestre 4 licence sociologie
marine
CHAVANNES et GERONDO avaient posé comme base, on pensait déjà
à cette nécessité du travail de terrain, et qu’il fallait s’immerger.
Durant Le XIX il y a deux courants une anthropologie de « cabinet »
et une anthropologie de terrain. Les premiers travailler à partir des
« données de secondes mains » recueillies par des personnes tierces
qui ont été elles au contact (le problème qui été posés c’est qui
recueille ces données de secondes mains quelques fois c’était par des
anthropologues mais très souvent récupérées par des personnes qui
sont administrateur colonial, évangélisateur, militaires) or si on
replace le contexte historique du XIX celui des expansions coloniales et
territoriale (qui ne se sont pas déroulement pacifiquement) pour la
France et la Grande-Bretagne en particulier. Ces personnes n’étaient
absolument pas spécialisée dans ce genre d’étude, ni apte à la
compréhension sociale et culturelle. De façon parallèle à ces
expansions c’est la montée en puissance du racisme biologique inspiré
de DARWIN. Ces théories racistes ont commencé à installer une sorte
de ségrégation entre les populations blanches et les populations
« extra-européenne ». Au XIXème siècle il y a réellement peu
d’anthropologues de terrain. Quand on regarde aujourd'hui le travail
de terrain, on observe qu’au début de l’anthropologie de terrain les
anthropologues restaient relativement peu de temps en immersion
avec les populations étudiées.
On se retrouve face à un facteur épistémologique, on a encore
l’héritage direct des lumières et mouvement encyclopédistes. La
tendance est de parcourir le monde est d’essayer d’acquérir le plus
possible de donner (rands inventaires), la volonté des anthropologues
et de sociologues était de parvenir à créer une histoire universelle du
culturelle. Cette idée de faire des inventaires très larges fait que les
anthropologues restaient peu de temps sur le terrain pour vite en
étudier une autre. Il s’agit là d’une anthropologie extensive.
Durant ce séjour de courte durée les anthropologues ne parlaient pas
et donc ne pratiquaient pas la langue vernaculaire (c'est-à-dire propre
à telle population). Comme ils ne parlaient pas ils avaient recours à
des interprètes. Ces derniers étaient souvent locaux et ne
connaissaient que quelques rudiments de la langue. (maintenant au