Itinéraires des armées Gauloises et Romaines entre

A la n de l’année 53 av. J.-C. « César ramena l’armée, di-
minuée de deux cohortes, à Durocortorum, capitale des Rè-
mes et, y ayant convoqué l’assemblée de la Gaule, il résolut
de s’occuper de la conjuration des Sénons et des Carnutes.
Acco, qui en avait été le chef, reçut sa sentence de mort et
subit son supplice selon les anciens usages. Quelques autres
prirent la fuite dans la crainte d’un jugement… César établit
deux légions en quartiers d’hiver chez les Trévires, deux chez
les Lingons, et les six autres sur les terres des Sénons, à Age-
dincum. Lorsqu’il eut pourvu aux subsistances de l’armée, il
partit pour l’Italie, selon sa coutume, pour y tenir l’assemblée
du pays ». (Bello Gallico, n du liv 6) César avait accepté,
un an auparavant, la soumission du Sénon Acco qui lui avait
donné cent otages en garantie. Il vient de trahir sa parole, dès
lors la colère gronde. Un autre évènement va précipiter le chef
gaulois Commios dans la révolte : il était encore, l’année pré-
cédente, proche de l’état-major du général romain, mais le gé-
nocide ordonné par César contre le peuple éburon lui pose un
problème de conscience. A cela s’ajoute la tentative d’assas-
sinat fomentée par Labienus (d’après César) contre Commios
qui y échappe et s’enfuit, dès lors il devient un adversaire im-
placable des Romains.
Plutarque dans sa Vie de César (chap. XXV), nous donne des
informations précieuses : César a besoin d’hommes pour com-
bler les pertes dues à ses combats de l’année précédente contre
les Bellovaques : « Pour remplacer les légions qu’il avait per-
dues, il lui en était venu trois d’Italie, dont deux lui avaient été
prêtées par Pompée, et la troisième venait d’être levée dans
la Gaule aux environs du Pô. Cependant, on vit tout à coup se
développer, au fond de la Gaule, des semences de révolte que
les chefs les plus puissants avaient depuis longtemps répan-
dues en secret parmi les peuples les plus belliqueux… On était
d’ailleurs dans le fort de l’hiver ; les rivières étaient glacées,
les forêts couvertes de neige, les campagnes inondées étaient
comme des torrents, les chemins, soit ensevelis sous des mon-
ceaux de neige, soit couverts de marais et d’eaux débordées,
étaient impossibles à reconnaître. Tant de difcultés faisaient
Itinéraires des
armées Gauloises
et Romaines
croire aux Gaulois que César ne pourrait les attaquer. Entre
les nations révoltées, les plus considérables étaient les Arver-
nes et les Carnutes, qui avaient investi Vercingétorix de tout
le pouvoir militaire… » Cependant, il y a doute sur l’endroit
fut formée la dernière légion, car Suétone écrit « Il ajouta
d’autres légions à celles qu’il avait reçues de la république,
et il les entretint à ses frais. Il en forma même, dans la Gaule
Transalpine, une dernière, à laquelle il t prendre le nom gau-
lois d’Alauda, qu’il sut former à la discipline des Romains,
qu’il arma et habilla comme eux...» (Jules César, 24)
entre janvier
et la n mai de
l’année 52 av. J.-C.
Les dates seront indiquées avec le calendrier actuel, an que le lecteur puisse se situer par rapport aux périodes de l’année. Ce sont des dates estimées.
Carte A : Déc -53 à mi-février -52, carte B : entre le 7 fevrier et le 6-7 avril -52, carte C : entre la n de la première semaine d’avril et la n juin -52.
Dans l’album on pourra également voir apparaître les notions « au début de l’hiver»,« vers le » et «aux alentour du ».
A
B
C
Légionnaire romain « époque Guerre des Gaules », une efcacité dans les combats de plaine.
Photos Viaromana - Coralie Cachoir et Marianne Guegan
Extraits du cahier pédagogique de l’album GERGOVIE..
Attention les articles présentés ici ne sont pas complets...
Vercingétorix prend le pouvoir.
Toujours dans le Bello Gallico (liv 7-§ 1 à 3) : « Les princi-
paux de la Gaule s’assemblent dans des lieux écartés et dans
les bois ; ils s’y plaignent de la mort d’Acco ; ils se disent qu’il
peut leur en arriver autant ; ils déplorent le sort commun de
la Gaule ; ils offrent toutes les récompenses à ceux qui com-
menceront la guerre et rendront la liberté à la Gaule au péril
de leur vie. Tous conviennent que la première chose à faire,
avant que leurs projets secrets éclatent, est d’empêcher César
de rejoindre l’armée ; ce qui sera facile parce que, pendant
son absence, les légions n’oseront pas sortir de leurs quartiers
d’hiver, et que lui-même n’y pourra parvenir sans escorte...
A la suite de cette discussion, les Carnutes déclarent qu’ils
s’exposeront à tous les dangers pour la cause commune... Ce
jour arrivé, les Carnutes, sous les ordres de Cotuatos et de
Conconnetodumnos, hommes déterminés à tout, se jettent, à
un signal donné, dans Cenabum (Orléans), massacrent les ci-
toyens romains qui s’y trouvaient pour affaires de commerce,
entre autres C. Fusius Cita, estimable chevalier romain, que
César avait mis à la tête des vivres, et ils pillent tous leurs
biens. La nouvelle en parvient bientôt à toutes les cités de la
Gaule… En effet, la première veille n’était pas encore écoulée
que les Arvernes savaient ce qui s’était passé à Cenabum au
lever du soleil, c’est-à-dire à cent soixante milles environ de
chez eux. »
C’est à ce moment qu’apparaît «… Un jeune Arverne très puis-
sant, Vercingétorix, ls de Celtillos qui avait tenu le premier
rang dans la Gaule et que sa cité avait fait mourir parce qu’il
visait à la royauté, qui assemble ses clients et les échauffe sans
peine. Dès que l’on connaît son dessein, on court aux armes
; son oncle Gobannitio, et les autres chefs qui ne jugeaient
pas à propos de courir une pareille chance, le chassent de la
ville de Gergovie. Cependant, il ne renonce pas à son projet,
et lève dans la campagne un corps de vagabonds et de misé-
rables. Suivi de cette troupe, il amène à ses vues tous ceux
de la cité qu’il rencontre ; il les exhorte à prendre les armes
pour la liberté commune. Ayant ainsi réuni de grandes forces,
il expulse à son tour du pays les adversaires qui, peu de temps
auparavant, l’avaient chassé lui-même. On lui donne le titre
de roi et il envoie des députés réclamer partout l’exécution
des promesses que l’on a faites. Bientôt, il entraîne les Sénons,
les Parisii, les Pictons, les Cadurques, les Turons, les Auler-
ques, les Lémovices, les Andes et tous les autres peuples qui
bordent l’océan : tous s’accordent à lui déférer le commande-
ment. Revêtu de ce pouvoir, il exige des otages de toutes les
cités, donne ordre qu’on lui amène promptement un certain
nombre de soldats et décide ce que chaque cité doit fabriquer
d’armes, et l’époque où elle les livrera. Surtout, il s’occupe de
la cavalerie ; à l’activité la plus grande il joint la plus grande
sévérité ; il détermine les incertains par l’énormité des châti-
ments... » (liv 7-4)
César résume en ces quelques lignes l’ascension de Vercin-
gétorix.
Les principaux chefs gaulois s’assemblent au milieu
des bois et dans des lieux écartés. Lors de ces réunions, les
Gaulois constituent un conseil suprême. Quel est celui qui peut
devenir chef de la coalition ? Sans aucun doute, le prince d’un
peuple important. Les Bellovaques pansent leurs plaies de l’an-
née précédente ; restent, plus au Sud, deux peuples puissants
:
les Eduens et les Arvernes. A cette époque, les Eduens sont,
par leur système de démocratie élective, complètement divi-
sés. C’est donc parmi les Arvernes, que les Gaulois conjurés
choisissent leur chef. Cela tombe bien, le royaume Arverne est
situé au beau milieu de la Gaule « Celtique » et Vercingétorix
est un excellent tribun. L’assemblée désigne également un vé-
ritable conseil constitué de chefs qui ont une grande person-
nalité mais aussi une grande expérience : le Carnute Cotuatos,
associé à un autre chef (mais
hormis le déclenchement des
hostilités à Cenabum, César ne
les mentionne plus), Commios
l’Atrébate, et Luctérios le Ca-
durque. Ces deux personnages
représentent deux populations
gauloises géographiquement
éloignées, les Atrébates locali-
sés entre la Lys et l’Escaut, na-
tion faisant partie des peuples
bellovaques, et les Cadurques
situés dans la région de Ca-
hors. Ces deux chefs donneront
du l à retordre à César, bien
après Alésia.
César entreprend la pacication des cités gauloises.
« Le lendemain, étant arrivé à Vellaunodunum, ville des Sé-
nons, et ne voulant pas laisser d’ennemi derrière lui pour que
les vivres circulassent librement, il résolut d’en faire le siège,
et en acheva la circonvallation en deux jours. Le troisième jour,
la ville envoya des députés pour se rendre ; et il fut ordonné
aux assiégés d’apporter leurs armes, de livrer leurs chevaux
et de donner six cents otages. César laissa, pour faire exécuter
le traité, le lieutenant C. Trébonius et, sans perdre de temps, il
marcha sur Cenabum, ville des Carnutes, qui tout récemment
instruits du siège de Vellaunodunum, et croyant qu’il durerait
plus longtemps, rassemblaient des troupes qu’ils devaient en-
voyer au secours de la première ville. César y arriva le second
jour et établit son camp devant la place ; mais l’approche de
Photo Teuta Arverni - Julien Romiguière
Ces Gaulois arvernes sur le site de Corent, en marche pour Gergovie, n’ont pas encore, pour les
plus riches d’entre eux, revêtu leur cote de mailles. Casques et glaives sont dans les baluchons.
Seuls boucliers, lances et enseigne indiquent qu’ils vont rejoindre une concentration armée.
Cavalier gaulois
Photo Mediomatrici
la nuit le força à remettre l’attaque au lendemain : il ordonna
aux soldats de tenir prêt tout ce qu’il faut en pareil cas et,
comme la ville de Cenabum avait un pont sur la Loire, dans
la crainte que les habitants ne s’échappent la nuit, il t veiller
deux légions en armes. Un peu avant minuit, les assiégés sor-
tirent en silence et commencèrent à passer le euve. César,
averti par les éclaireurs, mit le feu aux portes, t entrer les
légions qui avaient reçu l’ordre d’être prêtes et s’empara de la
place. Très peu d’ennemis s’échappèrent ; presque tous furent
pris, parce que la faible largeur du pont et des issues arrêta la
multitude dans sa fuite. César pilla et brûla la ville, abandonna
le butin aux soldats, t passer la Loire à l’armée et arriva sur
le territoire des Bituriges.» (liv7-11) Le calendrier plausible
donné par nos cartes suit le Bello Gallico : « Vercingétorix, à
la nouvelle de l’approche de César, leva le siège et partit au-
devant de lui. César avait résolu d’assiéger Noviodunum, ville
des Bituriges, placée sur sa route.»
Vercingétorix est en retard
sur le chef romain, il ne peut qu’envoyer sa cavalerie, et c’est
que nous faisons jouer un rôle à Vercassivellaunos, son cousin
au regard du texte de César. Toutes les légions romaines ne sont
pas encore arrivées quand « Des députés en étaient sortis
pour le prier de leur pardonner et de leur conserver la vie
;
César… leur ordonna de lui apporter les armes, lui amener
les chevaux, lui donner des otages. Une partie des otages avait
déjà été livrée, et le reste du traité s’exécutait en présence des
centurions et de quelques soldats qu’on avait introduits dans
la place pour recueillir les armes et les chevaux, lorsqu’on
aperçut au loin la cavalerie des ennemis qui précédait l’armée
de Vercingétorix. Dès qu’ils l’aperçurent et qu’ils eurent l’es-
poir d’être secourus, les habitants poussèrent un cri et com-
mencèrent à prendre les armes, à fermer les portes… Les cen-
turions qui étaient dans la ville, comprenant aux mouvements
des Gaulois qu’ils tramaient quelque nouveau dessein, s’em-
parèrent des portes l’épée à la main et se retirèrent sans perte,
ainsi que tous leurs soldats. » (liv7-12) On peut estimer qu’il
faut, pour un effectif de près de 50000 hommes (sans compter
les auxiliaires), au moins trois journées entre l’arrivée d’une
première légion et celle des dernières sur un lieu proche. A
Noviodunum, la cavalerie gauloise arrive un peu tard, mais en-
gage le combat. La cavalerie romaine venue en renfort semble
sur le point de plier à son tour quand, sans doute parce qu’ils
viennent d’arriver, les cavaliers germains s’élancent dans le
combat. « César t sortir du camp sa cavalerie et engagea le
combat avec celle des Gaulois. La nôtre commençant à plier, il
la t soutenir par environ six cents ca-
valiers germains qu’il s’était attachés
depuis le commencement de la guerre.
Les Gaulois ne purent soutenir le choc,
prirent la fuite et se replièrent sur leur
armée avec beaucoup de pertes. Cette
déroute ayant jeté de nouveau la ter-
reur dans la ville, les habitants saisi-
rent ceux qu’ils crurent avoir excité
le peuple, les amenèrent à César et se
rendirent à lui. Cette affaire terminée,
César marcha sur Avaricum (Bourges),
la plus grande et la plus forte place des
Bituriges » (liv7-13)
Le conseil suprême gaulois ne peut que
constater la réalité des choses : César a
engagé dans son périple toutes ses lé-
gions (12 légions, soit environ 55000 à
60000 hommes, sans compter les auxi-
liaires, 25000 à 30000 hommes). Les
cités gauloises de plaine, même celles
s’appuyant sur des rivières, ne résistent
pas aux légions romaines. En plaine il
ne reste plus qu’une seule stratégie valable : la pratique de la terre
brûlée. « Cet avis étant unanimement approuvé, on brûla en un
jour plus de vingt villes des Bituriges… On délibéra dans l’assem-
blée générale s’il convenait de brûler ou de défendre Avaricum.
Les Bituriges se jetèrent aux pieds des autres Gaulois : Qu’on
ne les force pas à brûler de leurs mains la plus belle ville de pres-
que toute la Gaule, le soutien et l’ornement de leur pays ; ils la
défendront facilement, dirent-ils, vu sa posi
tion naturelle ; car
presque entièrement entourée de rivières et d’un marais, elle
n’offre qu’un accès d’une extrême étroitesse ”. » (liv7-15)
Pendant le siège d’Avaricum,
les Gaulois développent plusieurs stratégies simultanées.
Comment interpréter le texte de César sur l’attaque avortée
d’un campement de Vercingétorix pendant le siège d’Avari-
cum ? Il va pouvoir mettre la main sur le chef gaulois et donc
économiser un siège quand il renonce brusquement : « César
Les Gaulois attaquent des fourrageurs protégés par un groupe de légionnaires.
Photo Pax Augusta
Dans les zones marécageuses, les Gaulois excel-
lent face aux troupes romaines, détruisant les quel-
ques ponts derrière eux.
Ainsi, pendant le siège d’Avaricum, César doit
abandonner l’attaque du campement de Vercingé-
torix, sans doute après avoir mené des tentatives
infructeuses dans les marais entourant le campe-
ment du chef gaulois.
Photo Christian D. Muller - Mediomatrici
partit en silence au milieu de la nuit, et arriva le matin près
du camp des ennemis...Là, l’affaire semble engagée. César
poursuit : « La colline était en pente douce depuis sa base ;
un marais large au plus de cinquante pieds l’entourait pres-
que de tous côtés et en rendait l’accès difcile et dangereux.
Les Gaulois, après avoir rompu les ponts, se tenaient sur cette
colline, pleins de conance dans leur position, et rangés par
familles et par cités, ils avaient placé des gardes à tous les
gués et au détour du marais ...À ne voir que la proximité des
deux armées, on aurait cru l’ennemi animé d’une ardeur pres-
que égale à la nôtre ; à considérer l’inégalité des positions,
on se rendait compte que ses démonstrations n’étaient qu’une
vaine parade. Indignés qu’à si peu de distance il pût soutenir
leur vue, nos soldats demandaient le signal du combat ; Cé-
sar leur expliqua ‟par combien de sacrices, par la mort de
combien de braves, il faudrait acheter la victoire ; il serait le
plus coupable des hommes si, disposés comme ils le sont à
tout braver pour sa gloire, leur vie ne lui était pas plus chère
que la sienne.” Après les avoir ainsi calmés, il les ramena le
même jour au camp, voulant achever tous les préparatifs qui
concernaient le siège.» (liv7-19)
Que s’est-il vraiment passé ? Et si, pour desserrer l’étau autour
d’Avaricum, les Gaulois avaient tendu un piège aux Romains ?
César se déplace dans la nuit… Y a-t-il eu quelques assauts sur
une position gauloise mal reconnue, protégée par la forêt et les
marais ? Toujours est-il que César renonce à se rendre maître
de cette position...
Gaulois sur un pont en bois comme il en existait
à l’époque de la Guerre des Gaules.
Le Carnyx, une trompe gauloise en bronze à tête
de sanglier est utilisé par les sonneurs gaulois
pour galvaniser les troupes et pour diverses son-
neries donnant des ordres (attaque, retraite etc...)
pendant les combats.
Les larges oreilles en tôle xées de chaque côté
de la tête permettent d’augmenter la portée du
son.
Carnyx réalisé par Louis Baumans.
Photo les Rauraci
AVARICUM
Nous n’avons pas abordé le siège d’Avaricum, pour déve-
lopper dans deux pages spéciques de la n de l’album,
avec des chercheurs universitaires, des aspects plus techni-
ques sur les différents types et caractéristiques des machi-
nes de siège utilisées à Avaricum.
César indique cependant la durée de construction de la ter-
rasse, dressée en 25 jours. A peine terminée, la terrasse fut
minée, les tours endommagées et partiellement incendiées.
César dut les faire reculer.
Le surlendemain, César t progresser une tour (sans doute
sur une partie de la terrasse encore intacte. Si celle ci ne
peut plus accoster les remparts, le tir d’un scorpio placé
à son sommet peut encore provoquer des dégats) quand
survint une pluie abondante et violente. Est-ce la pluie sal-
vatrice voulue par les dieux pour les Romains? Est-ce une
pluie éteignant le feu couvant dans la terrasse, signe de
mauvais présage pour les Gaulois ? Les Gaulois étaient-ils
trop conants devant le revers qu’ils venaient d’iniger aux
Romains affamés et avaient-ils diminué le nombre de sen-
tinelles sous les trombes d’eau ? Toujours est-il que César
ordonna à ses légionnaires de monter à l’assaut des rem-
parts sans utiliser les tours prévues à cet effet. Les Gaulois
furent complètement surpris : soldats et civils, hommes,
femmes et enfants furent alors massacrés.
Photo Yann Kervran - les Ambiani Document AssoR Hist & BD - Eriamel.
GONDOLE - GERGOVIE
Egalement dans le cahier pédagogique de l’album...
Deux articles sur les fouilles réalisées en région clermon-
toise rédigés par deux archéologues...
Trois pages avec photos, croquis et plans.
Extraits du cahier pédagogique de l’album GERGOVIE..
Attention les articles présentés ici ne sont pas complets...
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