Il y a deux bonnes opportunités pour aller plus loin que
ce qui s’est fait juqu’alors en maère de développement
économique dans la polique de la ville : la préparaon de
la nouvelle généraon des contrats de ville et des projets
de renouvellement urbain. « Dans cee perspecve, il faut
travailler à plusieurs échelles, arculer les compétences,
engager un partenariat renouvelé et aller à la recherche
d’expériences innovantes pour que les
choses changent dans les quarers,
que les habitants y vivent mieux et
reprennent espoir. Il faut changer nos
praques, nos habitudes, nos idées
reçues sur nos méers », annonce
Cécile Dublanche, directrice de Villes
au Carré en introducon.
Cest dans cet esprit d’approche renouvelée que la journée
a été préparée :
pour partager les travaux menés par Villes au Carré
dans le cadre de la mission naonale CDC-CGET de
promoon du développement économique dans la
nouvelle polique de la ville (cf. encadré en n de
synthèse),
et permere la rencontre entre diérents cercles
(public-privé, élus-professionnels-universitaires,
acteurs de la polique de la ville et du développement
économique...)
Pour Marie-Laure Beauls, consultante à IFACES
Développement, le l conducteur de la journée est de
considérer que « le développement économique, c’est de
la créaon de valeur qui va enclencher une spirale posive
dont les quarers doivent être bénéciaires et pare
prenante. »
Lacvité économique est un facteur dynamisant, mais aussi
de stabilité et de cohésion sociale. Lobjecf est toujours
d’aeindre un équilibre et la cohésion de l’ensemble. « La
dimension économique devra désormais être prise en compte
dès le départ dans les contrats de ville et les programmes
de renouvellement urbain », précise Thierry du Boueez,
conseiller spécial de la commissaire générale à l’égalité
des territoires (CGET), venu présenter les aentes de l’État
sur le volet économique des contrats de ville et les ouls
à mobiliser (comme les convenons interministérielles, la
charte « entreprises et quarers », le plan « entrepreneurs
des quarers », le disposif CitésLab soutenu par la
Caisse des Dépôts…). « La polique
de la ville était jusqu’alors plutôt
l’apanage des acteurs sociaux et
urbains. Il y a beaucoup à défricher
encore sur tout ce qui est économie
de proximité, économie circulaire,
ESS et IAE, ssu de PME, relaons
interentreprises… », esme-t-il.
Les dynamiques de coopéraon locales sont nécessaires
et importantes. « Dans les quarers, il y a beaucoup de
personnes à l’esprit créaf. Il faut mobiliser les acteurs
économiques, développer l’entrepreneuriat, et renforcer
les invesssements. » Il recommande par exemple d’ouvrir
une plateforme de coordinaon et d’animaon de l’aide à
la créaon au niveau d’une aggloméraon. « Cela pourrait
être un objecf dans le cadre d’un contrat de ville. Certains
l’ont déjà fait… à condion de déverrouiller la concurrence
entre certaines structures. »
L
Le développement économique
jusque dans les quartiers
Synthèse de la rencontre d’informaon et déchanges
du 18 septembre 2014
À mesure que la ville sagrandit à travers l’intercommunalité, voire le bassin de vie, le quartier
doit aussi retrouver sa place. Cest dans ce contexte quarrive la nouvelle génération des contrats
de ville avec un volet économique plus ambitieux.
Décembre 2014
Réseau d'acteurs des
politiques de la ville
Des ressources pour agir
www.villesaucarre.fr
Bulletin no 19
La politique de la ville est plutôt
l’apanage des acteurs sociaux et
urbains. Il y a beaucoup à défricher
sur l’économie (économie de
proximité ou circulaire, ESS, IAE...).
Thierry du Bouetiez
«
»
Thierry du Bouetiez, Cécile Dublanche
« Maintenant, avec le tramway, les quarers sont ouverts. Et
il faut garder cet esprit d’ouverture », indique Serge Babary,
maire de Tours et vice-président de Tour(s)Plus chargé
du développement économique. Il faut donc remere
l’ouvrage de la polique de la ville sur le méer. « Amener
des services et du conseil, que les habitants du quarer ont
du mal à aller chercher dans la pare historique de la ville
au moins pour un premier contact. Apporter du nouveau :
des entreprises de services, des nouvelles technologies, la
possibilité de créer des pépinières d’entreprises vont se
développer des start-up », propose Serge Babary.
Gérard Hamel, maire de Dreux et président de
l’aggloméraon du Pays de Dreux, déconseille de disnguer
les quarers entre eux. « Nous avons la responsabilité de
mere les quarers au même niveau que le centre-ville. La
ville est un tout. La stratégie du développement économique
est à aborder au niveau de l’aggloméraon, voire du bassin
de vie. Si chacun reste dans sa compétence, il n’y a pas de
raison de générer des conits” entre
les services de la ville-centre et ceux
de l’intercommunalité. Le partenariat
avec l’aggloméraon est indispensable,
même si nous avons au niveau de la ville
une polique propre qui s’exerce sur les
quarers. »
« Dans les petes villes, le développement économique
ne peut pas être ciblé sur un quarer, c’est la dynamique
de l’aggloméraon qu’il faut interroger. Leur dimension
est un avantage pour mener une acon transversale,
même si l’on peut se heurter au cloisonnement des
services administrafs », conrme Christophe Demazière,
professeur en urbanisme à l’université de Tours et vice-
président de Villes au Carré. « Agir à diérentes échelles
n’est pas simple, sachant que grandes entreprises ou
PME, État, collecvités, ont des organisaons diérentes.
Mais des complémentarités peuvent s’établir avec des
élus comme chefs d’orchestre et assembleurs au niveau
local. Décloisonner, c’est un combat : et on peut gagner ce
combat ! »
Frédéric Boullenger, responsable inseron France Nord
chez Schneider Electric, témoigne à ce propos que « dans
les bassins qui marchent bien, il y a un très fort partenariat
entre acteurs publics et privés ». Gageons que la réciproque
est vraie…
« Le retour au quarer, voire
dans le quarer, est bien
en marche », assure Franck
Pilard, directeur Commerce
Valorisaon Collecvités pour
la région Centre-Ouest chez
Veolia Propreté. Les économies
d’échelle trouvent aussi leur
limite. Or, la proximité ore des
avantages et des ressources
parfois insoupçonnées qu’il expérimente sur le terrain, en
mobilisant le personnel de l’entreprise dont une pare est
d’ailleurs logée dans les quarers.
Les quarers sont souvent synonymes de densité de
populaon. Cee densité est un point d‘appui formidable
pour penser et mere en place les services et méers
de demain. Les travaux de prospecve urbaine amènent
à prendre de plus en plus en compte les phénomènes
de congeson urbaine, de chaîne
logisque, de collecte et de distribuon
(en 2025, 19 % du commerce se fera
par internet), mais aussi celle de la
geson des déchets-ressources (société
du recyclage), des encombrants, au
plus près des habitants. Les modèles
de consommaon sont en train d’évoluer et c’est un
nouveau modèle économique qui va émerger, dans lequel
la ressource de l’un est le déchet de l’autre et la geson
des ux et des stocks se devra d’être mutualisée ou, du
moins, pensée à plusieurs, grands et pets acteurs.
Pour les collecvités, ce sont souvent de véritables
casse-têtes que d’agrandir les décheeries, gérer les
encombrants, capter les ux avec les éco-organismes,
imaginer des soluons logisques et de réemploi…
Et si le quarer devenait le socle de la reconstrucon
de la cohérence du territoire ? Lorsque l’on parle de
« changement de regard », il s’agit également d’être
en capacité de remere en queson des manières de
faire tradionnelles. Les acteurs de quarer (inseron,
éducaon, animaon, etc.) sont invités à devenir de
réelles pares prenantes.
Veolia est également concerné par les quarers populaires
où vivent bon nombre de ses salariés.
Tous les quarers font pare intégrante de la ville et en
sont indissociables. Chacun avec son histoire, sa culture,
ses habitants et son ssu économique, comme autant
d’éléments d’un patchwork sur lequel il faut s’appuyer,
dans un contexte qui change. À la nuance près que « la
diversité des territoires et des quarers impose de plus en
plus de prendre en compte leur localisaon et leur état
rénovaon urbaine faite ou à venir », fait remarquer
Isabelle Séry, responsable de la geson urbaine et de
la geson sociale des quarers à l’Union Sociale pour
l’Habitat.
Nous avons la responsabilité
de mettre les quartiers au
même niveau que le centre
ville. La ville est un tout.
Gérard Hamel
«
»
Christophe Demazière, Marie-Laure Beauls, Gérard Hamel, Serge Babary
Franck Pilard
Témoignage : Bondy qui rebondit
Ou l’art et la manière de s’appuyer sur les forces
d’un quarer pour enclencher une démarche de
développement économique urbain dans un projet de
rénovaon urbaine.
« Pour commencer, il
faut aller à la rencontre
des acteurs du territoire
et des habitants,
dans leur diversité »,
explique Marie-Laure
Beauls. « Pet à
pet, on idene un nouveau champ des possibles… Sur
ce territoire, encore fallait-il imaginer aussi de travailler
avec de “grosses machines” comme un ministère, ou
l’APHP (pour le centre hospitalier). Pourtant, grâce à
notre démarche de développement économique urbain,
nous avons abou entre autres à ouvrir l’IRD (Instut de
recherche pour développement) comme point d’accueil
pour des porteurs de projets et à le connecter avec les
dynamiques du quarer. Cest à parr du contenu (ce qui
existe sur le territoire) qu’on peut travailler sur le contenant
(les projets à mere en place). La méthodologie consiste
à bien analyser l’environnement, l’écosystème. Il faut
regarder le territoire comme une organisaon productrice
de valeurs, en idenant les chaînons de la producon de
valeur et en favorisant la coopéraon. »
Pour revoir l’intervenon complète de Marie-Laure Beauls
en vidéo et en savoir plus sur l’expérience de Bondy :
hp://youtu.be/rm5iZeUnckg
Après cet exemple concret qui illustre pleinement les
noons de développement économique urbain et
d’économie plurielle, Marie Bizeray, chargée de missions
à Villes au Carré a présenté le résultat des réunions par
cercles d’acteurs, organisées par le centre de ressources
pour explorer des pistes nouvelles pour les contrats de
ville avec des entreprises, des représentants de l’IAE, de
l’ESS et de l’aide à la créaon d’acvité issus des régions
Centre et Poitou-Charentes. Ces réunions par cercles,
animées selon la méthode de la CCI du Cher pour les
grappes d’entreprises, ont été très producves. Leurs
conclusions sont compilées dans une synthèse1 diusée
en amont dans le dossier parcipant.
« L’idée est de mobiliser les bons cercles d’acteurs pour
rendre possibles ou probables des projets grâce à des
partenariats innovants, des projets adaptés aux besoins
des territoires et de leurs habitants, pour partager des
objecfs communs mobilisateurs. »
Le pari est que les méthodes et les ouls se diversient,
s’enrichissent au gré notamment des praques et des
expérimentaons. « Le volet économique des contrats
de ville doit s’appuyer sur les ressources des quarers :
sa localisaon et son organisaon, la société civile, les
acteurs de l’économie plurielle, les habitants » résume
Marie Bizeray.
De leur côté, les oces d’HLM
contribuent, ou peuvent
contribuer, au développement
économique, selon Isabelle
Séry. Ils disposent de trois
leviers importants pour cela :
la commande, ulisée pour
les clauses d’inseron dans les
marchés publics (environ 13
millions d’heures d’inseron
comptabilisées au niveau
naonal), le recrutement (les
OPHLM emploient environ 1.500 personnes en « emploi
d’avenir ») et le patrimoine (les bailleurs sociaux peuvent
proposer une ore qui manque souvent : celle des pets
locaux d’acvité à pet prix). Elle préconise d’intégrer
cee ore dans une stratégie économique des contrats
de ville.
Pascal Homann, directeur régional de la Caisse des
Dépôts du Centre, venu pour la conclusion de la journée,
assure qu’une pare de la méthode consiste aussi à
redorer l’image des quarers et valoriser leurs habitants,
surtout ceux qui ont du talent pour les présenter en
exemple aux jeunes. « La CDC, qui porte une enveloppe
spécique de 400 millions d’euros, peut accompagner
ce genre d’expérience dans la durée et dans le cadre des
contrats de ville. »
1 Les enseignements des rencontres par cercles d’acteurs économiques
locaux organisées par Villes au Carré. Septembre 2014, 22 pages, pdf
Pascal Hoffmann
Des partenariats à (re)mobiliser
Des institutions s’engagent pour les
contrats de ville
Rencontres annuelles de l’entrepreneuriat innovant Nord Sud à l’IRD
Quelques exemples de leviers innovants, issus des
cercles organisés par Villes au Carré.
Plus d’informaons sur ces expériences et d’autres à
retrouver dans le dossier parcipant.
« 100 chances, 100 emplois ».
Frédéric Boullenger,
responsable inseron
France Nord chez
Schneider Electric, a
présen le disposif
« 100 chances, 100
emplois » mené par un
réseau d’entreprises en coopéraon avec les instuons
et qui mobilise le ssu associaf. Le principe : favoriser le
retour à l’emploi des jeunes grâce à des entreprises qui
se mobilisent pour les aider à lever les freins auxquels ils
sont confrontés (préparaon aux entreens d’embauche,
aide à la préparaon de projets professionnels, stages…).
Les seuls prérequis sont : la movaon pour aller
travailler, le respect des codes sociaux, et avoir un projet
professionnel clair. 2.800 jeunes ont intégré le disposif
depuis son lancement il y a 10 ans, et il y a eu 74 % de
sores posives.
La coopérave d’acvité et d’emploi.
« Il a fallu onze années d’expérimentaon pour arriver à
dénir la coopérave d’acvité et d’emploi », explique
Alain Bouchon, directeur d’ACEA Scop et de ScopAdom
(spécialisée sur les services à la personne). Il en existe 70
en France, qui représentent plus de 7.000 entrepreneurs
salariés. Plus de 80 % sont des demandeurs d’emploi à
l’origine.
La plupart sont des coopéraves généralistes, mais
certaines sont spécialisées, par exemple sur le champ
culturel, dans l’écoconstrucon, ou dans les circuits
courts de distribuon de producons agricoles. L’idée
de base est simple : il s’agit de créer son acvité et son
propre emploi de façon très sécurisée : la CAE ore
un hébergement complet de l’entreprise (juridique,
scal, social, nancier…). Le créateur bénécie d’un
accompagnement à la mise en œuvre, notamment sur le
plan commercial pour aller chercher les premiers clients.
La coopérave ulise le contrat CAPE (contrat d’appui au
projet d’entreprise) pour sécuriser le parcours du créateur
d’entreprise au démarrage. Avant de lui proposer un
contrat de travail en CDI.
La coopérave jeunesse de services.
Importée en France il y a trois ans sur le modèle québécois,
la coopérave jeunesse de services s’adresse à des jeunes
de 16 à 18 ans qui veulent créer une entreprise coopérave
à plusieurs pour proposer des services. Ils vont la gérer
complètement de façon démocraque. Cee entreprise
est soutenue par un comité local et animée par deux
personnes, l’une ayant un prol économique et l’autre un
prol d’animateur. Le prot de l’acvité peut être répar
entre les jeunes, par exemple sous la forme d’un salaire,
ou il peut servir à conforter le capital social pour ceux
qui vont prendre la suite. Cest une opportunité pour
découvrir le monde de l’entreprise et pour apprendre à
entreprendre à plusieurs.
Réseau d’acteurs des poliques de la ville en région Centre et Poitou-Charentes, Villes au Carré forme, informe
et accompagne les acteurs chargés du développement des territoires urbains. Lieu de ressources, d’échanges
et d’experses, il facilite depuis 2007 la conduite des poliques publiques de cohésion urbaine et sociale en
régions. Villes au Carré est membre du réseau naonal des centres de ressources de la polique de la ville.
Villes au Carré
4, allée du Plessis - 37 000 Tours
Tél. : 02 47 61 11 85 – Mail : villesaucarre@villesaucarre.org
www.villesaucarre.fr – Suivez-nous sur et !
Réseau d'acteurs des
politiques de la ville
Des ressources pour agir
www.villesaucarre.fr
Directrice de publicaon : Cécile Dublanche
Rédacteurs : Patrice Dezallé, Marie Bizeray
Maqueste : Vianney Barbin
Pour aller plus loin
Retrouvez tous les documents de la rencontre (PowerPoint de
présentaon, éléments du dossier parcipant...) sur le site internet
de Villes au Carré.
Cee synthèse est téléchargeable depuis le site internet de
Villes au Carré, rubrique Nos axes de travail / Développement
économique - Inseron
Pour cee rencontre, Villes au Carré a bénécié du souen de :
Liberté • Égalité Fraternité
DRJSCS Centre
Marie-Laure Beauls, Alain Bouchon, Isabelle Sery, Franck Pilard, Frédéric Boullenger
Des expériences de terrain pour
l’intégration économique
Le développement économique urbain à Villes au Carré
Constatant la place encore trop faible prise par les thèmes du développement économique et de l’emploi
dans les stratégies locales de revitalisaon et de rénovaon des quarers relevant de la polique de la
Ville, le Commissariat Général à l’Égalité des Territoires (CGET) et la Caisse des Dépôts (CDC) ont lancé
une animaon naonale en faveur de la promoon du développement économique urbain dans et
pour les quarers sensibles en s’appuyant sur le réseau des centres de ressources polique de la ville.
Il s’agit de :
favoriser et intensier le partage d’expériences avec les acteurs de la polique de la ville, du
développement économique et de l’inseron professionnelle,
mere en place dans les régions une ore d’animaon et de qualicaon des professionnels
intéressés.
En savoir plus sur la mission naonale du développement économique urbain
Villes au Carré décline localement la démarche lancée au niveau naonal, dans la connuité de son
travail mené sur le développement économique depuis sa créaon et comme composante de son
grand chaner « Préparons ensemble les contrats de ville » (en complément d’autres thèmes comme
le cadre de vie et la geson urbaine, la parcipaon citoyenne et la santé).
Les travaux sur le développement économique urbain prennent plusieurs formes :
capitalisaon d’expériences : Saint-Jean-de-Braye : une démarche communale de développement
économique inclusif (octobre 2012) et Maison de l’Emploi du Blaisois : la lue contre les fausses
représentaons au service du développement économique (février 2013)
parcipaon à des travaux de recherche, notamment celle portant sur l’Observaon des
dynamiques économiques et stratégies des villes petes et moyennes en région Centre. Villes au
Carré est partenaire non-académique de la recherche et 16 ches-portraits socio-économiques
ont été réalisées sur 10 territoires en polique de la ville.
rencontres de réseau et de journées de qualicaon : la rencontre d’octobre 2012 sur le
renouvellement des stratégies de développement économique urbain dans ou pour les quarers et
cee rencontre du 18 septembre 2014 (point d’étape au 2/3 de la l’avancement de la mission).
Le par pris de Villes au Carré pour la déclinaison locale de la mission s’appuie sur deux démarches
complémentaires menées de front :
comprendre et faire connaître les dynamiques économiques à une échelle plus large
(l’aggloméraon, le bassin d’emploi, voire la région) :
dans et pour les quarers en polique de la ville
dans les villes petes et moyennes (dont certaines ont des quarers prioritaires)
élargir la noon du développement économique :
dans une accepon d’économie plurielle
comme point d’entrée, avant l’emploi et l’inseron
en explorant par cercles d’acteurs des partenariats élargis comme les entreprises, les bailleurs,
les acteurs de l’ESS et de l’IAE...)
en repérant des expériences innovantes, des envies d’agir.
En savoir plus sur le site de Villes au Carré
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