Proposi-
tion
subordon-
née
relative
(adjectives
)
Propositions subordonnées RELATIVES
SUBSTANTIVES :
Qui va à la chasse perd sa place (sujet).
Il sera récompensé par qui tu voudras.
(complément d’agent).
RELATIVES ADJECTIVES :
1) La dame qui habite en
face est très gentille.
(épithète)
2) J’ai les mains qui
tremblent. (attribut de
l’objet)
RELATIVE
SUBSTANTIVE
Où qu’il
aille, je le
suivrai.
Proposit-
ion
subordon-
née
circonstan
-cielle
Il mange
parce qu’il a
faim.
(cause)
Proposi-
tion
subordon-
née
complétive
Que tu ne
viennes pas
ce soir me
déçoit.
Je voudrais
que tu
viennes.
(COD)
Il s’attend à
ce que tu
viennes.
(COI)
Mon plus
grand
souhait est
qu’il lise ce
livre.
Le fait que tu
ne viennes
pas me déçoit.
L’envie que tu
lises ce livre
m’a poussé à
te l’offrir.
Il est content
que tu sois
venue.
Préposi-
tion
Les prépositions ont pour fonction d’introduire certains compléments : elles se placent devant des noms, des groupes nominaux ou des
infinitifs et servent donc à construire les compléments suivants : le COI, le complément d’agent, le complément du nom, le complément
circonstanciel et le complément de l’adjectif. Le COD, parce qu’il est direct, est le seul complément qui n’a pas besoin de préposition pour
sa construction.
Conjonc-
tion de
coordina-
tion
Les conjonctions de coordination ont pour fonction de relier :
1) des mots de même nature : Veux-tu des pommes ou des poires (noms) ? Il aime manger et dormir (verbes à l’infinitif). Il fait son travail
vite et bien (adverbes). Il est beau et gentil (adjectifs).
2) des propositions de même nature : Il mange car il a faim (indépendantes). Il pleure parce qu’il est tombé et qu’il a eu peur
(subordonnées circonstancielles).
Le chat qui était si mignon et qui est mort appartenait à la voisine (subordonnées relatives).
Conjonc-
tion de
subordina-
tion
Les conjonctions de subordination ont pour fonction de relier une proposition principale à sa subordonnée. Certaines conjonctions de
subordination sont vides de sens et ne font que marquer la subordination : c’est le cas du « que » dans les subordonnées complétives.
D’autres apportent un sens à la phrase : c’est le cas des conjonctions de subordination qui introduisent des subordonnées
circonstancielles : « parce que » pour la cause, « pour que » pour le but, « bien que » pour la concession, etc.