GONSEIL DE L’EUROPE------------------------------- COUNCIL OF EUROPE DECS/EGT (71). 12 Or. allemand.', COE074381 COMITE DE L 'ENSEIGNEMENT GENERAL ET TECHNIQUE FILMS ET MOYENS AUDIO-VISUELS POUR L'ENSEIGNEMENT DE LA PHYSIQUE Projet de scénario du film "LE SYSTEME SOLAIRE" qui sera réalisé par l'Institut für Film und Bild (Munich) dans le cadre de la série "La Terre dans l'Espace" 21.179 04.21/51.02 TN 9855 Observations relatives au projet d 1ensemble du Dr Hacker, intitulé "Le système solaire11 Le projet englobe deux phénomènes. Il s’agit, d’une part, d’une description du système planétaire et, d'autre part, de la tentative de trouver une explication physique aux orbites planétaires dans le système de Copernic, à l’aide de la gravitation. Or, cette combinaison exige une attention extrêmement variable de la part du public, en l’occurrence les élèves. Nous proposons, par conséquent, de ne réaliser que la partie descriptive du film. Ainsi que le suggère le Dr Hacker, on peut également envisager de supprimer en grande partie les séquences faisant double emploi avec le film déjà achevé "Kepler und sein Werk" (Kepler et son oeuvre). Les courts métrages mentionnés par le Dr Hacker constituent un catalogue très volumineux. A notre sens, il serait souhaitable de réaliser les films n° 2, 3, 4, 5 et 11. Signé : Herrmann Communication à M. Herrmann Munich, le 4 février 1971 Concerne : Projet d'ensemble "Le système solaire". Il ressort de l'examen du scénario du film de 16 mm qu'il porte sur deux phénomènes totalement différents. D'une part, il s'agit d'une description du système planétaire, qui ne dépasse pas le domaine de la cinématique. D'autre part, à l'aide de la gravitation, une explication physique nous est fournie en ce qui concerne les orbites planétaires dans le système de Copernic. De ce fait, le niveau du film devient très élevé. Personnellement, je proposerais de ne prévoir que la réalisation de la partie descriptive du film. Le double emploi avec le film "Kepler und sein Werk" pourra- de la sorte être réduit au minimum. Parmi les courts métrages, je considère qu'il y en a plusieurs sans grande importance. Je proposerais donc d'envisager la production des courts métrages 2, 3, 4, 5 et 11. signé : Nestle Annexe : Projet d'ensemble "Le système solaire" du Dr. Hacker Dr Konrad HACKER Institut für Film und Bild Le 30. 11. 1970 Munich Objet : Projet d'ensemble : La terre dans l'espace - Le système solaire. Nous vous adressons, ci-joint, le plan général du projet susmentionné, ainsi qu'un résumé succinct des courts métrages proposés (8 mm). Dans sa version la moins longue, la durée de projection du film principal (16 mm) serait d'environ 15 mn. Il serait souhaitable de supprimer la séquence relative aux lois de Kepler dans le film principal et d'en faire l'objet d'un court métrage. Le temps ainsi gagné permettrait une présentation plus détaillée. Pour le court métrage n° 9 , il conviendrait de faire un choix parmi les films dont la projection a été autorisée par la NASA. Le système planétaire Film de 16 mm Image Objectif pédagogique 1. Prise de vue directe (en accéléré) d'un homme à la plage sous un parasol : l'ombre du parasol se déplace. Indication de la date et de l’heure. Orientation de la caméra vers le firmament. Prise de vue directe (en accéléré) du soleil dans le ciel aux environs du 21 mars, à différents moments de la journée : lever du soleil, zénith, coucher du soleil. Trajectoire quotidienne du soleil dans le ciel. Passage par trucage de la prise de vue directe à une représen­ tation du firmament : l’homme se trouve en plein champ, il devient de plus en plus petit, la terre devient de plus en plus petite, le firmament apparaît. Présentation directe de l'orbite du soleil. Explication de la configuration du firmament qui est essentielle pour la compréhension des phénomènes astronomiques. Explication des notions : horizon, lever du soleil, coucher du soleil, zénith, points cardinaux, etc. L'orbite du soleil le 21 mars est montrée. Objectif pédagogique Représentation de la totalité des orbites solaires les 21 juin et 21 décembre. Lever du soleil en accéléré, les 21 mars, 21 juin, 23 septembre et 22 décembre, avec indication de la direction (points cardinaux) et de 1'heure. Le public doit prendre conscience des phénomènes observés dans la nature. Prises de vue par téléobjectif. 2. Mouvement des étoiles fixes Prise de vue en accéléré d'une constellation (par exemple Orion) en ascension (éventuellement planétarium). Le mouvement des étoiles fixes au firmament est montré. Démonstration et explication des phénomènes de l'ascension, de la déclinaison et de la culmination. Prise de vue en accéléré de l'envi­ ronnement de. 1*étoile polaire. En même temps, prise de vue fixe par diapositive. Dessin animé : mouvement des étoiles au firmament. Explication du mouvement des étoiles fixes dans le dessin animé. 3. Trajectoire annuelle du soleil au firmament L’orbite solaire les 21 mars, 21 juin, 23 septembre et 22 décembre, telle qu’elle apparaît dans la deuxième séquence, est encore une fois montrée, cette fois-ci par rapport aux étoiles fixes. La trajectoire quotidienne et annuelle du soleil au firmament est montrée. Dessin animé (accéléré) : le soleil franchit l’écliptique (point de départ 21 mars), tandis que la terre tourne ; le soleil décrit ainsi une spirale. Les 21 juin, 23 septembre, 22 décembre et 21 mars, la date apparaît en fondu et l’orbite diurne du soleil est indiqué en pointillés. 4. Mouvement des planètes Prise de vue au planétarium : Les planètes se déplacent par rapport aux étoiles fixes, mais demeurent à proximité de l'écliptique. Il existe des corps célestes qui, outre leur rotation apparente autour de la terre, effectuent encore un autre mouvement. On les appelle des planètes. Deux de ces planètes (Mercure et Vénus) décrivent une orbite, qui se situe apparemment toujours à proximité du soleil. Mention de Vénus en tant qu'étoile du matin et du soir. Objectif pédagogique à long terme : Les orbites de Mercure et de Vénus se trouvent dans l'orbite terrestre. Vénus présente des phases lunaires : projection d'un certain nombre de photos. Vénus reçoit sa lumière du soleil. Vénus - région orbitale Mercure - région orbitale La région orbitale, dans laquelle se déplacement Mercure et Vénus, est d'abord indiquée en couleur ; ensuite il est démontré que les autres planètes peuvent prendre n'importe quelle position par rapport au soleil, en demeurant, toutefois, toujours à proximité de 1'écliptique. Première mention aux planètes inférieures et supérieures. Toutes les orbites planétaires sont situées approximativement dans le même plan. 5. Les systèmes planétaires de Ptolémée et de Copernic Portrait de Ptolémée, suivi (en fondu) d’un diagramme simple du système planétaire de Ptolémée, l'accent étant mis sur la terre qui occupe la position centrale. Environ 150 après Jésus-Christ. Portrait de Copernic avec, en fondu, le système planétaire de Copernic. (1473-1543) L’accent est mis sur le soleil. Mise en évidence de la différence entre les deux systèmes. ■■v;;.-,:.n * .// Mcnd " •: ' it r^..t Figure 55« Système de Ptolémée : Distance des planètes à la terre par ordre croissant. - r ** V '* ‘i *. . . . a. y : t».A vv' , -i Figure 58. Système de Copernic : Distance des planètes du soleil, par ordre croissant. Dessin extrait de l’ouvrage "Uber die Kreisbewegungen der Himmelskörper" de Copernic (1543)- "9 " DECS/EGT (71*) 12 Soleil Objectif pédagogique : Equivalence des deux systèmes de référence : le soleil tourne autour de la terre ; la terre tourne autour du soleil. Terre Les deux conceptions sont fondées sur la même observation. L'explication du mouvement apparent des planètes, qui a causé à Ptolémée des difficultés considé­ rables, devient très facile dans le système héliocentrique. Terre 'Soleil '■ Explication du fait que Mercure et Vénus n'apparaissent que dans les limites d'une distance angulaire donnée par rapport au soleil. Mercure et Vénus sont des planètes inférieures. Venus Mercure D'abord l'orbite de Mercure, suivie de celle de Vénus. Vénus (ainsi que Mercure) est soumise à des changements de phase, elle n'émet donc pas elle-même de la lumière. Le système planétaire devient plus petit, l'orbite de Mars apparaît Mars apparaît dans toutes ses positions à proximité de l'écliptique, étant donné qu'il s'agit d'une planète supérieure. Mars Terre Soleil Rétrogression apparente. Position de Mars par rapport aux étoiles fixes, vue de la terre La boucle orbitale est due au fait que l'orbite de Mars n'est pas située exactement dans le même plan que l'orbite terrestre. 6. Gravitation et rotation Truquage : soleil avec planètes en rotation. Pour obtenir une orbite circulaire, il faut une force agissant vers le centre. Fondu : lanceur de marteau (vu d'en haut, au ralenti). Lanceur de marteau vu de côté, jette le marteau (direct) ; ensuite la même scène projetée en marche arrière, ralenti très marqué. Force (indication de la force centri­ fuge et de la force centripète, sur la masse en rotation). Nouvelle apparition du lanceur de t e S < * e f ° ndU enCtoîné : SÏStê,æ a ^ Terre ^-0 Lune PassaSe à 13 cavitation. Un homme monte sur une balance. La balance indique un poids de 60 kg. La caméra se déplace. <] Pesanteur = attraction vers le centre de la terre. Oc* La pesanteur diminue avec 1'augmentation de la distance de la terre. Changement de secteur. Portrait de J. Newton La lune est maintenue sur l’orbite circu­ laire par la force de gravitation. o Terre Lune Indication de la force centripète et de la force centrifuge. La lune tourne autour de la terre. O Soleil o Planète Même image pour le soleil et une planète. Lois de Kepler Portrait de Copernic Initiation aux lois de Kepler Le cercle se transforme en ellipse à deux foyers. L’ellipse se déplace jusqu'à ce que le soleil constitue l'un de ses foyers. Explication du théorème des dimensions, Le vecteur a se met en position. Apparition du portrait de Kepler. La planète tourne à des vitesses variables (les chiffres indiquent les vitesses relatives). Le vecteur disparaît au cours de la deuxième révolution. > Vecteur Ai Ail Alt At Les surfaces se transforment en carrés à surface identique. Expérience correspondante : h r "If" En exerçant une traction en A on fait parcourir à la masse M une orbite elliptique. !' Démonstration graphique de la troisième loi de Kepler. CX La planète 1 achève une révolution ; apparaît. L'image devient plus petite. Les distances et forment un cube. ✓ 3 a ^V Agencement du système planétaire Représentation de l’ensemble du système planétaire à l’échelle approximative de 1:1,6 . 1010. Agencement du système planétaire. Les intervalles sont indiqués par rapport aux dimensions d ’un terrain de football et de ses alentours. Soleil = ballon sur un terrain de football. Pondu : apparition du ballon sur le globe . embrasé 14 cm. L’objectif de la caméra s’éloigne du soleil. Les planètes apparaissent comme des points faiblement lumineux sur le terrain de football et ses alentours. (De préférence à l’aide d ’une vue aérienne en couleurs.) Brève mention des astéroïdes qui se rencontrent essentiellement entre Mars et Jupiter. j Mercure Vénus Terre Mars Jupiter 1,9 Saturne Uranus Neptune Pluton En mm 0,8 env. demi-axe a 9 ni 16 m 22 m 1,9 1,0 22 116 m 19 8 8 1 210 440 670 890 34 m m m m m Démonstration du mouvement orbital des planètes autour du soleil. Les planètes sont visibles (1). La caméra se rapproche (position 2), les orbites des planètes inférieures deviennent progressivement visibles. 3. La caméra se rapproche encore plus. Fondu : image projetée du système planétaire. L'orbite de Pluton est fortement inclinée par rapport aux autres orbites (approximativement 17,3°)• Mention des étoiles fixes Retour au système planétaire avec le terrain de football. La caméra s'éloigne de plus en plus ; on aperçoit des parties toujours plus grandes de la surface terrestre. L'étoile fixe la plus proche apparaît à une distance d'environ 6.000 km, ce qui correspond à la distance entre l'Europe centrale et l'Afrique équatoriale. Fin Extrait de film : le module lunaire Eagle s'approche du vaisseau spatial. Des parties de la lune et de la terre sont visibles. Autre extrait : astronaute dans l'espace. Image du lanceur de marteau, d'un rotor, etc. Ce film nous a permis de nous familia­ riser avec les lois physiques, qui déterminent les mouvements du système planétaire. Les mêmes lois sont valables pour les vols spatiaux. Grâce à ces lois, on peut calculer d'avance avec précision les orbites des satellites et capsules spatiales. Ces lois sont également valables chez nous sur la terre. Série de diapositives les planètes Photographies de la terre prises dans l'espace. Les continents doivent être visibles. Forme sphérique de la terre. Dessin : représentation à échelle réduite des planètes y compris leurs satellites (dans la mesure où ils sont connus). Comparaison des dimensions. Photographies des différentes planètes : Si possible en couleurs. Mention des perturbations atmosphériques. Mercure Vénus (avec phases) Jupiter (avec satellites) Mars Saturne (anneau) Uranus ) Neptune ) Pluton ) Chaque diapositive comportant 2 images, prises à des époques différentes, de sorte que le mouvement par rapport aux étoiles fixes est mis en évidence. Prise de vue en accéléré d'un paysage au coucher de soleil. Démonstration du phénomène de la tombée de la nuit. Plusieurs prises de vue directes de la terre à partir d'un vaisseau spatial. Démonstration de la variation de la longueur et de la direction des ombres. Images truquées du globe terrestre illuminé au début du printemps, de l'été, de l'automne et de l'hiver. Durée du jour et de la nuit pendant les différentes saisons. Diapositives : Soleil de minuit à différentes heures. Nuit polaire et soleil de minuit. Prises de vue directes des phases , lunaires et de leur formation, due à la position de la lune par rapport au soleil. Phases lunaires, Représentation de la formation des phases lunaires par truquage ; mention de l’inclinaison de l'orbite lunaire par rapport à l'orbite terrestre. Formation des phases lunaires. Des prises de vue directes montrent que la lune peut passer "au-dessus" et "en-dessous" du soleil. L'éclipse se produit lorsque la lune franchit l'axe terre-soleil. Les éclipses ne peuvent se produire que lorsque, à l'époque de la nouvelle lune ou de la pleine lune, la lune franchit les points de jonction. Prise de vue directe d'un four solaire. Le soleil émet de l'énergie vers la terre. Des piles solaires alimentent un moteur électrique. Constante solaire. Données quantitatives relatives à 1'énergie diffusée. Prise de vue directe du soleil. Représentation schématique du cycle Bethe - Weizsäcker. Représentation du bilan d'énergie. Représentation synoptique de la perte de masse solaire. Production d'énergie sur le soleil. Prise de vue directe du soleil. Photographies prises à travers différents filtres. Démonstration de la granulation. Photographies de taches solaires, si possible en accéléré, sur lesquelles la rotation est visible. Rotation. Photographies de taches solaires au moment où elles sont au maximum et au minimum. Cycle des taches solaires. Gros plan d'un certain nombre de taches. Photographies en accéléré de protubérances. Le soleil n'a pas de surface solide. Court métrage N° 5 : La vitesse de la lumière d'après Olaf Römer Prises de vue de Jupiter et de ses satellites (si possible en accéléré, sinon truquage). L’univers est équipé d’une "montre" très précise, qui indique des unités de temps de 42 h 28’ 36". Prise de vue directe de l’éclipse du satellite inférieur et de sa sortie de l’ombre. Images truquées du satellite de Jupiter en rotation et de la terre, qui se déplace sur son orbite. Plus la terre s’éloigne de Jupiter, plus le retour de la luminosité sur la terre est observé tardivement. La lumière a une vitesse finie. Truquage : L'un après l'autre, un rayon lumineux rouge, vert et violet, est projeté sur la surface de séparation de deux matières, l'angle de réflexion étant diminué. Dispersion. Répétition de l'expérience avec un prisme. .Raie spectrale = image d'une couleur donnée. A l'aide d'une fente et d'une lentille convergente, un large faisceau lumineux parallèle est obtenu, qui traverse le prisme et est de nouveau concentré par une deuxième lentille. Il en résulte des images colorées de la fente. Meme image avec de la lumière blanche. Court métrage N° 7 ' Le Zodiaque Dessin animé : Firmament avec équateur et écliptique. Sur 1’écliptique apparaissent les 12 signes du zodiaque. Explication : Zodiaque = écliptique avec environnement La position du soleil dans le zodiaque est indiquée pour les différentes saisons. Le firmament effectue chaque fois une rotation. Le soleil traverse 1’écliptique une fois par an. Truquage La terre tourne autour du soleil. Le soleil apparaît de la sorte dans les différentes constellations du zodiaque. Représentation des phénomènes observés dans le système héliocentrique. Court, métrage N° 8 : Nécessité de l'année bissextile - jour solaire et jour sidéral Dessin animé : Les deux mouvements de la terre, à savoir la rotation autour de son axe et son orbite autour du soleil, sont montrés. Indication du temps correspondant : 1 an = 365 jours 5 h 48 mn et 46". La position de la terre sur son orbite autour du soleil est montrée aux dates suivantes : 1.1.1969 1.1.1970 1.1.1971 1.1.1972 1.1.1973 (position de la terre en gros la même que le I.I.I969). Etant donné que 5 h 48' 46" correspondent à un quart de jour, la terre prend du £ retard, et il faut prévoir tous les ^ 4 ans un jour intercalaire. Court métrage N° 9 : Film tourné dans l'espace Court métrage N° 10 : Détermination de l'âge par la désintégration radioactive Explication sommaire de la désintégration radioactive : courbe de désintégration et période pour différentes substances. Si un mélange de deux isotopes radio­ actifs (par exemple 235 U et 238 U) se désintègre, il est possible de tirer des conclusions sur le début de la désintégration, à partir des périodes connues et du rapport actuel des isotopes. Il est cependant nécessaire d'admettre qu'au début de la désin­ tégration, le même nombre d'atomes était présent. Explication plus complète d'une méthode de détermination radioactive de l'âge, Court métrage N° 11 : Dimensions et distances dans le système planétaire Détermination du rayon de la terre par Eratosthenes. Accent sur l'extraordinaire performance intellectuelle et la grande précision de la mesure (15? d'erreurs). Mesure de la distance de la lune à l'aide de la parallaxe lunaire. Remarque : les mesures trigonométriques sont également possibles dans l'univers dès lors que la distance n'est pas trop grande. Mesure de la parallaxe solaire, très imprécise. Pour cette raison, mesure de la parallaxe de l'astéroïde Eros. Grâce à la troisième loi de Kepler, on peut calculer la distance de la terre au soleil (= 1 unité astronomique), ainsi que la distance des autres planètes au soleil. Eros se rapproche beaucoup de la terre.