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LE MANAGEMENT DES PRODUITS
STRATÉGIE
PRODUITS
ACTUELS
PRODUITS
NOUVEAUX
Cannibalisation
Gestion des lignes de produits :
composition et évolution du portefeuille
produits-marchés
Segmentation
Positionnement
et image
Besoins et
situations de
consommation
Attentes des
consommateurs
Politique de
services
Politique
de marque
Attentes des distributeurs
MIX DISTRIBUTEURS
Distribution
MIX CONSOMMATEURS
Caractéristiques du produit
Concurrence
Couple produit-marché
Prix
Cycle de
vie
Vente
Conditions
de vente
Relations
publiques
Services
Promotion
des ventes
Publicité
ACTION COMMERCIALE
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Aspects
statiques
1. Définition du produit du point de vue marketing
Aspects
statiques
Aspects
dynamiques
Solution technique
pour satisfaire un besoin donné
détecté
sur un segment de marché donné
en un lieu donné
à un moment donné
Le produit, résultante d'un somme de vecteurs,
c'est-à-dire de la configuration des facteurs
d'environnement
Le produit, point de rencontre de 3
forces (schéma):
demande
technologie
marché





2. Cycle de vie
Schéma du cycle de vie
Facteurs technologiques
Facteurs économiques
Facteurs socio-culturels et démographiques
Facteurs psycho-sociologiques
Facteurs institutionnels et politiques
Aspects dynamiques : ces
facteurs changent dans le
temps.
Schéma d'intégration des décisions de
produit (le cercle)
3. Gestion dynamique des lignes
Définition de :
ligne de produits
gamme de produits
portefeuille de produits
mix produits (product mix, profondeur, largeur)
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
DES DIFFÉRENCES NOTABLES DE CONTRAINTES MARKETING SOUS TROIS PERSPECTIVES
Transports
Commerce
de détail
Bâtiment
Électronique et
High Tech
Agro-alimentaire
Nature des produits (caractéristiques)
Nature des marchés & Contextes spécifiques
Grand
public
Industriels
Institutionnels
& gouvernemt.
Exportation
Consommation
durables
non durables
Équipement
Intangibles
(Services)
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Coopératives
PLAN MARKETING GLOBAL ET PAR SEGMENTS
RESSOURCES
TECHNOLOGIQUES ET
ASSISTANCES EXTERNES
Fournisseurs
Licences et brevets disponibles
Centres de recherche
RESSOURCES
DES MARCHÉS
CONCURRENTS
Besoins et ressources des
consommateurs
Leurs vocations et
finalités, leur éthique
Besoins et ressources des
intermédiaires
Législation
Leurs aspirations
(transformateurs, distributeurs,
prescripteurs, etc.)
Contexte social
politique et économique
OPPORTUNITÉS
ET MENACES
Leurs objectifs et stratégies
OPPORTUNITÉS
ET MENACES
POTENTIELS
EXTERNES
RESSOURCES
INTERNES DE
L'ENTREPRISE
Capitaux disponibles
Emprunts possibles
Capacités de production
Avance technique
Brevets & savoir-faire
Produits
Ressources humaines
POSITION
CONCURRENTIELLE
POTENTIELS
INTERNES
CADRE DE RÉFÉRENCE
FONDAMENTAL ET
CONTRAINTES INTERNES
DE L'ENTREPRISE
Vocation, finalité, éthique
OBJECTIFS GÉNÉRAUX DE
L'ENTREPRISE
OBJECTIFS GÉNÉRAUX DE
MARKETING
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Aspirations et volontés
de la direction
Contraintes au niveau
des moyens
OBJECTIFS GÉNÉRAUX DE MARKETING
QUELS MOYENS POUR LES
ATTEINDRE?
QUELS OBJECTIFS?
Résultat à
atteindre (global)
Années
Ventes en unités
Quels besoins?
Ventes en dollars
Quels produits?
Taux de croissance
Années
Marchés à exploiter
Administration
Où (zones géographiques)?
Résultats à atteindre
par segment
Regroupement Éclatement
Années
Stratégie par segment
Budget global de marketing
Regroupement Éclatement
Années
Répartition du budget
par segment
Part de marché
Marché A
Segments
Marché A
Études et recherches
Ventes en unités
Produits, prix
Distribution
Développement de produits
Moyens de distribution
Publicité
Représentants
Services
Moyens publi-promotionnels
Marchés B, C, D et
autres
Marchés B, C, D et
autres
Marché A
Ventes en dollars
Profits
Marchés B, C, D et
autres
Source : Adapté de Michel de Chollet, Le Marketing-mix, Paris, Dunod, 1978.
Années
Recherche et développement
Production, stocks, personnel
Profits
Éclatement
Budget des moyens à
mettre en oeuvre
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Salaires et commissions
Logistique services
Regroupement
Années
STRATÉGIE MARKETING
•SUR QUEL TERRAIN LIVRER LA
BATAILLE?
RECHERCHE D’UN AVANTAGE
CONCURRENTIEL
SUR LES COÛTS ET LE
PRIX?
SUR LA
DIFFÉRENCIATION?
•AVEC QUELS MOYENS
(MARKETING MIX)?
LE PRODUIT ET LE PRIX
LA DISTRIBUTION
•ET AVEC QUEL DÉPLOIEMENT ET
QUELLE INTENSITÉ DANS LE TEMPS
ET DANS L’ESPACE?
LA COMMUNICATION
PLAN MARKETING
POUR QUELLE RENTABILITÉ?
AVEC QUELS RISQUES?
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Le triangle de la rentabilité
Rentabilité
Avantage concurrentiel
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Les facteurs clés
et la recherche d'un avantage distinctif (compétitif)
satisfaction des clientèles et qualité de gestion de la relation client
les produits tiennent les promesses faites
l'esprit d'innovation
la motivation et l'implication du personnel à tous les niveaux
cycle time )
efficience de l'organisation, des structures et des méthodes (
"timing" approprié des décisions et de leur mise en oeuvre
structure des coûts
accès aux sources de financement nécessaires
autres? lesquels dans votre industrie? dans votre cas spécifique?
L' avantage distinctif ou compétitif ou concurrentiel
peut être recherché parmi les facteurs clés ci-dessus,
en s'interrogeant
sur son caractère imitable ou non,
sur le temps de réaction des concurrrents
sur sa durée de vie
sur ses implications humaines, fnancières et techniques
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Déterminants internes et leviers stratégiques
Aux facteurs de succès mentionnés précédemment doivent s'ajouter
d'autres déterminants internes, qui dans certains cas, pourraient s'avérer
tout aussi importants que ceux de la liste précédente.
Le nombre de ces déterminants est élevé, tous n'ont pas le même poids
dans la prise de décision stratégique (voir à cet effet les différentes
check-lists disponibles)
On peut distinguer ceux qui,dans l'horizon de planification retenu
, agissent
comme contraintes
permanentes (ex. définition de la mission),
modifiables (ex. méthodes de travail)
ou évolutives (ex. savoir-faire du personnel),
et ceux qui peuvent être utilisés comme des leviers ou démultiplicateurs
du résultat de l'action voir
( la théorie des leviers de J-P Salllenave
), par exemple:
levier financier
levier opérationnel
levier de production
levier marketing
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
LEVIERS STRATÉGIQUES
fonction de:
leviers
structurels
levier financier
levier opérationnel
structure du passif
structure des coûts
D p/p
Actif
Capitaux propres
Marge brute
Bénéfice net
D Q/Q
leviers
dynamiques
levier de production
courbe d'expérience
levier marketing
élasticité du profit
au prix
ratio de capital
D PQ
DA
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
volume cumulé
de production
D p/p
D P/P
Marge brute
Bénéfice net
LES DIX ERREURS LES PLUS FRÉQUENTES EN STRATÉGIE COMMERCIALE
1. MAUVAISE ORIENTATION DES
EFFORTS COMMERCIAUX
 Imitation pure et simple des concurrents
 Inadaptation de la stratégie au marché
2. RETARD SUR L'ÉVOLUTION
DE L'ENVIRONNEMENT
 Exemples: les chemins de fer supplantés par l'avion et par l'automobile, le cinéma par la
télévision et par les discothèques
3. AVANCE SUR L'ÉVOLUTION
DE L'ENVIRONNEMENT
 Sous-estimation des blocages politiques économiques ou sociaux comme pour
l'avion Concorde, la voiture électrique ou les hypermarchés
4. MAUVAIS CHOIX DES CIRCUITS
DE DISTRIBUTION
 Pour des raisons d'image : image des points de vente incompatibles avec le produit
 Pour des raisons de service après vente: insuffisances des distributeurs
 Pour des raisons de taille: exigences de clients trop gros dépassant les capacités de l'entreprise
 Pour des raisons de tendances défavorables d'évolution des circuits de distribution choisis
5. PRIX MAL ADAPTÉS
 Prix trop élevés
 Prix trop bas
6. INADÉQUATION DES MOYENS
AUX OBJECTIFS
 Problèmes de technicité (diversification vers des produits aux exigences techniques
dépassant les possibilités de l'entreprise)
 Délais de paiement incompatibles avec 1a trésorerie: marché des administrations,
marchés à l'exportation
 Absence de mise en place d'un service après-vente
 Mauvaise répartition du chiffre d'affaires dans les différents domaines: exploitation de
trop de marchés en déclin et/ou de trop de marchés en phase de démarrage
 Mauvaise répartition du risque conjoncturel: présence sur un seul marché
 Un seul client = pourcentage trop important du chiffre d'affaires
 Mauvaise répartition de 1a clientèle par tranches de chiffre d'affaires
 Implantation trop disséminée sur le territoire ou chez des clientèles hétéroclites
7. MAUVAISE RÉPARTITION DES
RISQUES
pour les segments de marché visés
8. INSUFFISANCE DE COORDINATION
DES EFFORTS COMMERCIAUX
 Trop grand nombre de produits ou de clients
 Actions publicitaires ou promotionnelles trop faibles
9. MAUVAISE COORDINATION DES
EFFORTS COMMERCIAUX
 Lancement avant mise au point
 Décalage (avance ou retard) ou entre publicité et actions auprès des distributeurs
10. MÉCONNAISSANCE DU POINT
DE VUE DES AUTRES
 Différents stades de la distribution
 Prescripteurs , c'est-à-dire ceux qui influencent fortement l'acheteur
 Législation (exemple: normes agrément des pouvoirs publics, douane...)
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
L’horloge stratégique:
options de stratégie concurrentielle selon Bowman
Différenciation
Élevée
4
Hybride
VALEUR
PERÇUE
Prix
faible
3
5
6
2
7
1
Fible
Prix faible /
faible valeur perçue
Faible
Différenciation
haut de gamme
8
PRIX
Stratégies
vouées à
l’échec
Élevé
Source: D,après les travaux de Cliff Bowman. C.Bowman and D.Faulkner. Competitive and Corporate Strategy, Irwin, 1996.
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
L’horloge stratégique
1 Prix faible / faible valeur perçue
Spécifique au segment
2 Prix faible
Risque de guerre de prix et faibles marges
nécessité d’être le leader sur les coûts
3 Hybride
Coûts faibles et réinvestissement dans une
politique de prix bas et de différenciation
4 Differenciation
(a) sans surprix
Valeur perçue par l’utilisateur à l’origine de
la part de marché
(b) avec surprix
Valeur perçue suffisante pour justifier
le surprix
5 Differenciation
haut de gamme
Valeur perçue par un segment particulier
justifiant le surprix
6 Surprix /valeur standard
Marges plus élevées si les concurrents ne
suivent pas / risque de perte de part de
marché
7 Surprix / valeur faible
Seulement en situation de monopole
8 Valeur faible / prix standard
Perte de part de marché
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Les politiques de prix bas peuvent réussir si:
• La firme est leader sur les coûts
... Mais est-ce soutenable?
• Toutes les sources d’avantage de coût sont exploitées et si l’on
développe les compétences de gestion à faible coût
... Mais le danger est celui d’une faible valeur perçue du
produit ou du service
• La firme dispose d’un avantage de coût sur ses concurrents
dans les segments de marché sensibles au prix
... Mais cela peut cantonner la firme à ces segments
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Le succès des stratégies de différenciation dépend :
• De l’identification claire du consommateur
• De la compréhension du concept de valeur pour le
consommateur
• De l’identification claire des concurrents et de la valeur
qu’ils offrent
• De bases de differenciation difficiles à imiter
• De la prise de conscience que les bases de differenciation
peuvent être appelées à changer
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
La differentiation de niche haut de gamme
• La globalisation des marchés rend nécessaire un ciblage plus
précis
• Une définition claire des besoins de consommateurs dans les
segments de marché visé est indispensable
• À l’intérieur d’un segment, le choix des orientations
stratégiques se fait par rapport aux concurrents présents
dans ce segment
• Dans certains marchés, il est possible d’utiliser des stratégies
multi-cibles
• Mais ces efforts peuvent être difficiles
• Les différences entre les segments peuvent s’éroder,
provoquant une redondance ou une interférence des bases
de différenciation
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
Questions clés dans les choix stratégiques
• Les choix stratégiques doivent considérer
l’environnement et reposer sur les compétences clés
• Les choix stratégiques doivent considérer les attentes et
l’influence des stakeholders
• L’orientation stratégique et les méthodes devraient
reposer sur les grands choix stratégiques
• Les ressources et les compétences devraient être
construites pour mettre en oeuvre et soutenir les
stratégies choisies
Guy Ara – Faculté d’administration,
Université de Sherbrooke, 2007
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