La fin de la période préhistorique
Coïncide avec l’invention de l’écriture, il y a 5000 ans. Ce n’est
pas seulement dû au fait que nous en avons les documents
écrits, mais il y a aussi une accélération des événements:
Si durant la période préhistorique l’homme a appris à subsister
dans un environnement hostile (dans le paléolithique),
l’équilibre entre l’homme et la nature est atteint au
néolithique. Certaines sociétés restent à ce « plateau
néolithique » jusqu’à nos jours.
Mais dans d’autres sociétés, la révolution du néolithique a
permis à la population de s’accroitre dans une telle mesure
que les ressources locales ne suffisent plus, les hommes font
face à une nouvelle menace: l’homme lui-même...
Le croissant fertile
Comme notamment dans le croissant fertile, qui est le berceau des
premières grandes civilisation dont nous sommes les héritiers, celles
de l’Égypte et de la Mésopotamie.
La nouvelle menace (l’accroissement de la population)
comme moteur du développement: le début de
l’histoire
Quand la révolution du néolithique a permis à la population de
s’accroitre dans une telle mesure que les ressources locales ne
suffisent plus, les hommes ont désormais deux solutions: soit
guerres tribales soit une meilleure organisation sociale
(hiérarchie, discipline).
Désormais, en Égypte et en Mésopotamie le croissant fertile »),
les hommes vont vivre dans un monde nouveau: ils n’auront plus
à se mesurer avec les forces de la nature mais entre eux-mêmes.
Cest à partir de là que les événements s’accélèrent, nous en
avons des documents écrits, et l’histoire se met en marche.
L’Égypte
L’Introduction: le début de l’histoire…
Le culte funéraire et lart égyptien
La périodisation
Le style égyptien
La terminologie
Notre connaissance de la civilisation égyptienne se base
presque exclusivement sur les tombes et leur contenu.
La nouvelle signification du culte des morts: si le souci du
culte des morts existe déjà dans le néolithique, les
égyptiens lui donnent une signification nouvelle: ce n’est
plus la crainte des morts qui engendre un culte des
ancêtres, mais un souci d’assurer sa propre survie après la
mort: l’égyptien aisé emménage sa tombe pour que son
esprit (son ka) continu de jouir de mêmes privilèges que
lui, dans un milieu familier.
Le culte funéraire et l’art égyptien
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