Le Maroc n’a pas été touché par la première vague de la crise,
marquée par la hausse des prix des produits de base et la
flambée des cours du pétrole, pour deux principales raisons :
Solidité du secteur 
financier marocain
(absence de titres toxiques, 
faible recours du système 
bancaire au marché financier 
international, faible 
proportion de l’endettement 
en devise (environ 20%))
1- Impact de la crise sur l’économie marocaine
Stabilité du cadre 
macroéconomique au cours des 
cinq dernières années (un taux de 
croissance annuel moyen de plus de 5%, 
une inflation maîtrisée (-3%), un déficit 
budgétaire ne dépassant pas les 3%, un 
compte courant de la balance des 
paiements excédentaire depuis 2001 
jusqu’en 2007)