Un peu frisquet et pluvieux ce mois de juillet 2011 à Paris où nous avons
décidé, mon épouse Christine et moi-même, de passer quelques jours de
détente, flâneries, shopping et (re)découvertes culturelles.
Comme à chaque passage dans la capitale, je ne peux m’empêcher de
traverser la majestueuse cour intérieure du Palais du Louvre, pourtant bondée
de monde, avec ses files interminables de touristes étrangers devant l’entrée
du musée, cour que je connais fort bien depuis longtemps déjà, mais qui me
procure à chaque fois un indicible plaisir des sens, surtout ceux du
photographe.
Je ne sais pas si c’est la météo du jour qui en était la cause, mais soudain je
me suis mis à rêver à d’autres horizons, plus lointains, que j’avais visités en
septembre 2010, lors de notre croisière au Proche-Orient, dans les sables
brûlants d’Egypte aux portes du Caire, au pied des Grandes Pyramides, sous
une chaleur accablante de 40° et sans le moindre brin d’ombre salvatrice…