Les heures graves de l’histoire
on oublie, ici, que le temps
est de la «monnaie»
(la richesse)
et là, on estime que le temps
n’est pas du «néant»
(se laisser vivre).
A ces heures de sursaut vital,
Il s’agit de survivre et on entend soudain la fuite des heures.
Dans ces heures-là ce ne sont ni «la richesse», …, ni le malheur
qui comptent, mais les heures elles-mêmes.
On parle alors de la minute indestructible et irrécupérable.
Aux heures graves de l’histoire, le sens du temps, quand il se
réveille, se confond avec l’instinct de conservation.