Nous ne savons rien de Roland; rien ne nous est
étranger de Napoléon. Ses écrits, les témoignages de
ses contemporains, les archives de son administration,
nous sont tous parvenus.
Une surabondante bibliographie lui a été consacrée et
la foule qui se presse aux Invalides pour contempler
son tombeau n’ignore rien des ses amours avec
Joséphine ou de sa mort dans l’Ile de Sainte-Hélène.
Et pourtant, tous les artistes, tous les écrivains, de
DAVID, à GROS, HOFFMANN, BEETHOVEN, CANOVA,
jusqu’à TOLSTOI ont été attirés par lui.