Introduction to Chiropractic - Canadian Chiropractic Association

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Introduction à la
chiropratique
Une présentation de :
< Insérer le nom de l’organisme >
< Insérer la date >
Présentée par : < Insérer le nom de la personne >
En quoi consiste la chiropratique ?

Évaluation, diagnostic et traitement de troubles
neuro-musculosquelettiques, principalement par la
manipulation et autres thérapies manuelles.

Traitement et suivi de cas résultant de problèmes
articulaires, ligamentaires, tendineux, musculaires,
nerveux et vertébraux, ainsi que de leurs effets sur
le corps et le système nerveux.

Nutrition, exercices thérapeutiques, conseils en
matière d’ergonomie et de mode de vie.
1
Formation en chiropratique (CDN)

Deux programmes à temps plein agréés, menant au
diplôme en chiropratique :



Ontario : 3 années d’études universitaires suivies d’un
programme de 4 ans à temps plein au Canadian Memorial
Chiropractic College.
Québec : DEC suivi d’un programme de 5 ans à temps
plein à l’Université du Québec à Trois-Rivières.
Formation théorique et pratique multidisciplinaire :
anatomie, biochimie, physiologie, neurologie, radiologie,
immunologie, microbiologie, pathologie et sciences
cliniques en rapport avec le diagnostic.
2
Réglementation de la chiropratique

La chiropratique est une profession de santé
réglementée :




Champ d’intervention réglementé dans toutes les provinces ;
contrôle réglementaire de la manipulation
Organismes de réglementation provinciaux responsables de
l’agrément, de la formation continue et de la protection du public
Fédération canadienne des organismes de réglementation de la
chiropratique : tient lieu de forum national pour les associations
provinciales
Deux examens nationaux normalisés (compétences
cliniques et connaissances théoriques) en plus d’un
examen d’agrément dispensé par la province où
sera exercée la pratique.
3
Données sur la chiropratique

Nombre de praticiens au Canada : 6 000

Consultations : 4,5 millions de Canadiens/année

Moyenne de visites/année par patient : 10 à 12

Honoraires moyens/consultation : 25 $ à 38 $

Troubles les plus fréquemment traités : lésions et
douleurs musculosquelettiques (87 %)
4
Couverture d’assurance

Couverture assurée par certains régimes d’assurance-maladie
provinciaux.

Protection assurée par la plupart des régimes complémentaires,
généralement pour un montant d’au moins 500 $ par année*.

Couverture assurée par les organismes de santé et sécurité au
travail et la plupart des régimes d’assurance automobile.

Incluse dans les régimes fédéraux : Anciens Combattants, GRC,
etc.
* Hewitt Associates SpecBook Survey 2003/04
5
La chiropratique et la CSST

Tous les organismes de santé et sécurité au travail ont recours
à la chiropratique pour les accidentés du travail

Les données démontrent de façon constante l’efficacité
supérieure de la chiropratique en regard du retour au travail

Autres constats observés chez les accidentés du travail traités
en chiropratique* :



Délai d’attente plus court - temps d’attente moyen de 3 jours
Chronicité moins longue - 11 % des patients requièrent des
soins excédant 12 semaines
Retour au travail plus rapide - absence médiane de 9 jours
*Ont. WSIB 2003 Program of Care Evaluation for Acute Low Back Injuries
6
Fondements scientifiques

Six synthèses gouvernementales officielles (dans le
monde) ont été réalisées. Toutes ont conclu que la
chiropratique moderne est sûre et efficace.

Les Instituts de recherche en santé du Canada, en
partenariat avec l’Association chiropratique
canadienne, offrent des bourses de recherche en
chiropratique.

La Chaire de recherche du Canada sur la fonction
de la colonne vertébrale a été accordée au Dr Greg
Kawchuk, DC
7
Diagnostic

Le chiropraticien est formé et agréé pour poser un
diagnostic différentiel :

Antécédents cliniques, évaluation musculosquelettique,
examen postural/palpatoire, radiologie au besoin

Est-ce un problème musculosquelettique (plutôt
que pathologique) ?

Quel est le problème fonctionnel spécifique ?
8
Techniques de traitement
chiropractique

Thérapies manuelles :


Ajustement (90 %),
mobilisation,
techniques de relâche
myofasciale
Thérapies
complémentaires:



Exercice :

Démonstration et
supervision (75 %)

Éducation :

9
Ultrasons, TENS, CIF,
laser, etc.
Glace, chaleur,
massothérapie, etc.
Adaptée au contexte :
mode de vie,
ergonomie, nutrition
Indications de demande de
consultation

Douleur dorsale / sciatique

Douleurs cervicales

Céphalées

Foulures répétées

Syndromes de douleurs myofasciales

Affections des membres
10
Objectifs du traitement

Soins aigus :




Soulager la douleur
Réduire les spasmes musculaires et l’inflammation
Améliorer la souplesse
Rétablir les fonctions et l’amplitude de mouvement
Favoriser le retour le plus rapide possible
aux activités courantes
11
Objectifs du traitement - suite

Réadaptation




Stabiliser
Renforcer
Maintenir la souplesse
Prévention



Corriger des habitudes
Modifier les facteurs ergonomiques
Minimiser la récurrence
12
Répartition des affections
6% Membres
6% Autres
13%
Tête/Cou
75% Dos


Durée : 50 % < 3 sem ; 25 % >12 sem
Début : 26 % traumatisme important
Shekelle et al, Ann Intern Med, 1998
13
Douleurs dorsales

Le problème le plus courant.

Selon l’Institut de recherche sur le travail et la
recherche, les douleurs lombaires affectent 85 % de
la population active et représentent la principale
cause d’invalidité et d’absentéisme.
Cassidy et al, Spine 1998
14
Essai UK BEAM (2004)

“…this is the first study…to show convincingly that
both manipulation alone and manipulation followed
by exercise provide cost-effective additions to best
care [for low back pain patients] in general practice.”
(Pour la première fois, une étude démontre de façon
convaincante que la manipulation, seule ou suivie d’exercices,
se révèle un ajout efficace aux meilleurs soins (pour les
douleurs lombaires) de pratique générale.)
BMJ, 19 nov. 2004
15
Legoretta et al (2004)

Les bénéficiaires de régimes d’avantages sociaux
avec protection chiropratique par opposition aux
non-bénéficiaires ; étude de 4 ans sur les demandes
d’indemnité pour douleurs lombaires.

Avec soins chiropratiques :




Recours moindre aux radiographies et IRM
Moins d’hospitalisations
Moins d’interventions chirurgicales
Coûts inférieurs
Legoretta et al. Arch Int. Med 2004
16
Recensions d’experts

U.K. Clinical Standards Advisory Group 1994 :
recommande pour les douleurs lombaires la
manipulation combinée à l’exercice ou à l’activité
physique.

New Zealand Acute Low Back Pain Guide 1997 :
inclut la manipulation dans les traitements indiqués
contre les douleurs lombaires aiguës.
17
Recensions d’experts - suite

Danish Institute for Higher Technology Assessment
1999 : l’ajustement est indiqué pour le traitement de
douleurs lombaires aiguës, récurrentes et
chroniques.

Ontario WCB Guidelines for Chronic Pain 2001 :
dans le cas de douleurs lombaires chroniques,
l’ajustement est plus efficace que les traitements
habituels, les analgésiques ou la massothérapie.
18
Douleurs cervicales

Prévalence:*



à vie : 65%
chroniques : 10%
Selon une recension de Cochrane sur la thérapie
manipulative et la mobilisation dans des cas de
douleurs cervicales mécaniques : Les techniques
multiples (SMT/mobilisations), combinées à
l’exercise, sont plus efficaces que la physiothérapie
ou d’autres traitements courants.*
* Cote et al. Pain, 2004
* Gross et al. Spine, 2004
19
Affections myofasciales

Céphalées de tension avec facteur déclenchant
myogène

Blessures sportives

Foulures répétées

Coup de fouet et troubles associés au coup de fouet
20
Effets indésirables

Sensibilité et raideur musculaires temporaires

Fracture de côte

Accident cérébro-vasculaire transitoire de nature
ischémique (TIA)/délamination
21
Taux de risque

Les effets indésirables graves associés à la
manipulation cervicale sont rares :
 Les estimations varient
 Un à deux cas par million d’ajustements
cervicaux
- Meeker WC, Haldeman S. Annals of Internal Medicine, 2002
- Rothwell DM, Bondy SJ, Williams JI. Stroke, 2001
- Herzog W, Symons BP, Leonard T. Journal of Manipulative and
Physiological Therapeutics, 2002
22
Qu’attendre d’une consultation

Examen physique musculosquelettique et diagnostic

Radiologie – au besoin

Consentement éclairé au traitement

Communications avec le médecin (rapport initial, suivi, fin de
traitement)

Nouvelle consultation médicale en cas d’absence de progrès,
de contre-indications ou de pathologies

Thérapie axée sur les résultats
23
Avantages de la collaboration

Continuité des soins

Évaluation, traitement et rapports de suivi rapides

Collaboration entre professionnnels de la santé

Satisfaction du patient
24
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