Figure 1 : Effets comparés
de la libération d’interleukine 1
chez les invertébrés et chez les
vertébrés.
« PLS, n°231, janvier 1997»
Figure 2 : Comparaison des systèmes immunitaires innés de la drosophile et
des vertébrés. « PLS, Octobre 2000 »
drosomycine diptéricine Interleukine 1 Costimulateur B7
défensine Interleukine 6
Protéine
spaetzle
bactériechampignon
Domaine VH
Position du résidu
variabilité
B
A
D
Figure 3 : Diversité des
immunoglobulines.
A : Organisation moléculaire d’une Ig G.
B : Variabilité des résidus du domaine
variable de la chaîne lourde d’une
immunoglobuline.
C : Analyse par Southern blot du génome
codant pour la chaîne légère k.
D : Organisation génomique de segments
de gènes codant pour les chaînes d’Ig
chez différents vertébrés.
Cellule de myélome Cellule embryonnaire
Isoler
les ARNm Isoler
l’ADN
ADN
ARNm de la
chaîne légère k
marqué au 32PDigérer avec des
endonucléases
Fragments
de restriction
Hybrider le
[ 32P]-ARNm
avec les fragments
d’ADN simple brin
électrophorèse
ADN de
myélome ADN
embryonnaire
C
Figure 5 : Immunodiffusion double : Technique d’Ouchterlony.
« Immunologie de Roitt, Brostoff et Male »
La technique d’immunodiffusion double
(technique d’Ouchterlony) peut être
utilisée pour étudier les relations entre
les antigènes (en bleu) et un anticorps
donné (en jaune).
Des puits sont creusés dans des gels
d’agar et remplis d’antigènes (en haut) et
d’anticorps (en bas). Antigènes et
anticorps peuvent diffuser; quand ils se
rencontrent, ils se combinent et
précipitent sous forme d’une ligne.
Les chiffres dans les puits bleus font
référence aux épitopes présents sur
l’antigène étudié.
Agent pathogène
1
Entrée de Ca2+
Fuite de K+et Cl-
Transmission des signaux d’alarme
aux cellules voisines et éloignées
23
4
8
7
5
6
Synthèse de
phytoalexines
Protéines de
défense
9
10
Signal
d’auto-
destruction
Figure 4 : Réactions consécutives à l’attaque d’un agent pathogène
dans une cellule végétale. « PLS, n° 262, août 1999 »
Figure 7 : Élimination des cellules infectées par un virus par les lymphocytes T CD8+.
Figure 6 : Cellules coelomiques des Annélides oligochètes.
B
A
Figure 9 : Activité hémolytique.
A : Activité hémolytique chez quelques Arthropodes.
B : Induction de l’activité hémolytique chez Galleria mellonella.
Immunisation par injection de bactéries Pseudomonas aeruginosa fixées au
formaldéhyde. Le titre hémolytique est égal à l’inverse de la plus forte dilution encore
capable de provoquer un cercle de lyse d’au moins 5 mm de diamètre dans de l’agarose
contenant 0,8 % d’un mélange d’hématies. Le nombre de bactéries tuées est déterminé
par comptage des colonies qui apparaissent après incubation in vitro en présence
d’hémolymphe. Le pourcentage de protection correspond au nombre de larves qui
survivent à une injection massive de bactéries.
A
Réaction de rejet
Greffe souche A 2e Greffe souche A +
1ère greffe souche B
Rejet de A Rejet de A Rejet de B
jours
B
Figure 8 : Intensité et rapidité de la réponse immunitaire lors d'une seconde exposition.
A : Réponse humorale.
B : Réponse cellulaire.
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