Dossier de presse 23/10/2008 Liège, le 23 octobre 2008 DOSSIER DE PRESSE Redéploiement multisite hospitalier : 5 000 m2 de plus aux Bruyères 1/7 Dossier de presse 23/10/2008 Redéploiement multisite hospitalier : 5 000 m2 de plus aux Bruyères Après l’installation de la pédiatrie au printemps 2007, dans des locaux flambants neufs, le CHU de Liège célèbre ce 23 octobre 2008, avec l’inauguration du bâtiment construit sur le site hospitalier N.-D. des Bruyères à Chênée pour accueillir les urgences et la gériatrie, une concrétisation majeure de son plan stratégique. Après deux années de travaux, le bâtiment construit sur le site de N.D. des Bruyères pour accueillir le service des urgences et le service de gériatrie est officiellement inauguré ce jeudi 23 octobre. - La gériatrie y a emménagé en juillet, tandis que les urgences se sont installées dans leurs nouveaux quartiers début octobre. - Ce soir, la cérémonie inaugurale se tiendra en présence de personnalités du monde médical et politique. - Le vendredi 24 octobre, une journée portes ouvertes est organisée à l’intention du personnel des différents sites du CHU de Liège. 1. Le contexte : plan stratégique et redéploiement multisite de l’activité hospitalière Plan COS Pour offrir les soins de la plus haute qualité universitaire, accessibles à tous, tout en sauvegardant la pérennité financière de l’institution, le CHU de Liège a adopté en 2003 un plan stratégique ambitieux. Ce plan COS – acronyme de « contrat organisationnel et stratégique » – vise une amélioration continue de l’efficacité de l’organisation au service des patients, en combinant une approche qualitative et une approche quantitative. Les priorités dégagées s’articulent autour de quatre axes : - axe Patient : améliorer la qualité des soins et la prise en charge globale des patients ; - axe Processus interne : adapter l’organisation pour éviter la dispersion des ressources ; - axe Apprentissage organisationnel : attirer et garder un personnel compétent et motivé ; - axe Finances : dégager des moyens pour investir dans la haute technologie et les missions de l’hôpital ; Une communication adaptée et une gestion du système d’information soutient ces quatre axes. Un des projets majeurs de ce plan, appelé projet « multisite », est de définir les différentes activités hospitalières des trois implantations géographiques. Plan multisite hospitalier Le redéploiement de l’offre médicale privilégie le développement harmonieux et efficace de l’activité hospitalière sur les sites du Sart Tilman, des Bruyères à Chênée et d’Ourthe Amblève à Esneux des trois implantations hospitalières du CHU de Liège voit se développer des centres d’excellence, dans une optique de spécialisation et de complémentarité : le pôle mère-enfant et la gériatrie sur le site de N.D. des Bruyères, un centre de revalidation complet sur le site d’Esneux (chantier en cours), les disciplines de haute technologie sur le site du Sart Tilman. 2/7 Dossier de presse 23/10/2008 Présenté au Conseil d’administration en décembre 2004, le plan de redéploiement multisite nécessite de nombreux chantiers jusqu’en 2010, pour un budget global de 33 millions d’euros (Bruyères : 48 %, Esneux : 39 % ; Sart Tilman : 13 %). 2006 : - Les activités des urgences et des blocs opératoires sont recentrées sur deux sites, le Sart Tilman et les Bruyères. - La médecine interne (30 lits) est localisée au Sart Tilman et renforcée par la création d’une unité d’infectiologie. - L’activité de la gériatrie est développée : nomination d’un chef de service, augmentation du staff médical et paramédical, ouverture de 11 lits supplémentaires pour aboutir à un total de 60 lits. - 20 lits de revalidation neurologique viennent s’ajouter aux 20 lits de revalidation locomotrice déjà présents à Esneux. - L’unité stérile, qui accueille les patients bénéficiant d’une greffe de cellules souches hématopoïétiques, est modernisée (Sart Tilman). - Sur le site des Bruyères, le chantier du nouveau bâtiment débute. 2007 : - La pédiatrie est regroupée sur le site des Bruyères, dans des locaux réaménagés. - Au Sart Tilman, l’hospitalisation de jour est repensée, avec la scission de l’hôpital de jour médico-chirurgical en deux unités de plus grande capacité. - A Esneux, la revalidation hospitalière et ambulatoire sont installées provisoirement dans le bâtiment à rue, afin de permettre les travaux nécessaires à la construction d’un nouveau bâtiment destiné à l’accueillir 1 . - La polyclinique de proximité offrant des consultations dans toutes les disciplines est renforcée. 2008 : - A Esneux, le chantier débute. Au premier étage, un grand plateau hospitalier accueillera les 40 lits de revalidation. Au rez-de-chaussée seront installés un plateau ambulatoire et une nouvelle piscine de revalidation. - Aux Bruyères, le nouveau bâtiment est parachevé. Les 60 lits de gériatrie y sont regroupés. Les urgences des Bruyères s’y installent début octobre. La qualité du plan multisite a été récompensée en 2007 par le prix d’excellence en gestion hospitalière décerné par la société Covidien sous la présidence de la KUL et de l’Association belge des hôpitaux. Le redéploiement de l’offre médicale porte déjà ses fruits, comme le montre la croissance du nombre d’admissions classiques (+2,3%), d’admissions aux urgences (+5%) et de consultations en polyclinique (+33,5%) (tous sites confondus). En optant pour le développement aux Bruyères du pôle mère-enfant, de la gériatrie et des urgences, autant de services essentiels pour la population, le CHU de Liège y imprime une indispensable impulsion universitaire tout en renforçant son caractère d’hôpital de proximité. Il s’inscrit également, de manière plus large, dans une politique d’optimalisation de l’offre de soins de santé, cohérente avec la mise en place de bassins de soins. 1 La prise en charge ambulatoire des scléroses en plaque étoffe la revalidation neurologique. 3/7 Dossier de presse 23/10/2008 2. Le pôle mère-enfant Au printemps 2007, le service de pédiatrie du site N.D. des Bruyères s’est installé dans des locaux flambant neufs, dont la conception répond aux normes les plus récentes d’architecture hospitalière pédiatrique. La pédiatrie du Sart Tilman l’y a rejoint dès le mois de mai. Ce regroupement aux Bruyères de l’activité pédiatrique, sous la supervision du Pr. Guy Bricteux, répond à un besoin de la population : localiser la pédiatrie dans une structure de proximité ; il permet en outre de limiter les effets néfastes de la pénurie annoncée de pédiatres hospitaliers. Présence d’un pédiatre vingt-quatre heures sur vingt-quatre, plateau technique de qualité, dialogue renforcé avec les parents, tout est prévu pour prendre les enfants en charge de manière optimale, dans les meilleurs délais et au sein d’une structure architecturalement et fonctionnellement adaptée. 3e étage : hospitalisation et néonatologie Au troisième étage, le service compte 23 lits d’hospitalisation. Chaque chambre comprend un lit et une salle de douche pour le parent qui accompagne le jeune patient. Cinq chambres sont spécialement conçues pour les enfants de moins de trois ans. Une école, une salle de jeux et une salle de détente pour les familles ont également été aménagées. Sur le même plateau sont accueillies de manière intégrée la maternité 2 et la néonatologie. L’intégration dans la maternité des six lits de néonatologie, auparavant hébergés en pédiatrie, permet aux nouveau-nés qui nécessitent une surveillance pédiatrique de rester à proximité immédiate de leur mère, ce qui est essentiel pour l’établissement du lien précoce mère-enfant et pour la réussite de l’allaitement. 4e étage : hôpital de jour et consultations Au quatrième étage sont installés l’hôpital pédiatrique de jour (8 lits) et les consultations de pédiatrie générale, de gastro-entérologie, de pneumologie-allergologie, de neurologie et d’endocrinologie pédiatriques. Une infirmière est chargée d’accueillir les jeunes patients et d’organiser au mieux leur circuit de consultation. Urgences pédiatriques : un circuit spécifique La construction du nouveau service des urgences permet d’organiser un circuit spécifique pour les enfants (voir plus loin). Certaines activités pédiatriques universitaires sont maintenues sur d’autres sites : - L’hôpital de jour du Sart Tilman continue à accueillir les jeunes patients. - Pédiatres et spécialistes « pour adultes » poursuivent leur collaboration pour traiter les enfants transplantés, hospitalisés au centre des brûlés ou en neurochirurgie. Dans le même ordre d’idées, certains examens nécessitant un équipement lourd, comme la RMN ou le PET-scan, sont maintenus au Sart Tilman. - La collaboration avec le CHR de la Citadelle se poursuit dans le cadre du département universitaire de pédiatrie, notamment pour les soins intensifs néonataux (NIC) et pédiatriques (PIC), l’oncologie, les affections neuromusculaires et l’unité pluridisciplinaire de la mucoviscidose. 2 Rappelons que la maternité est depuis toujours localisée aux Bruyères : avant la fusion avec la clinique NotreDame des Bruyères en 2002, le CHU de Liège ne disposait pas d’une maternité. 4/7 Dossier de presse 23/10/2008 3. La gériatrie Avec l’augmentation de l’espérance de vie, qui impose notamment des soins de plus en plus lourds et de plus en plus spécifiques, le vieillissement de la population représente un enjeu important de santé publique. La gériatrie est donc, logiquement, une branche de la médecine qui est amenée à se développer. Il y a trois ans, le CHU et l’Université de Liège ont décidé de promouvoir une gériatrie de qualité universitaire et d’encourager la formation de jeunes gériatres. Dans cette logique, le nombre de lits gériatriques du CHU de Liège est passé de 45 à 60 et le service de gériatrie a été réorganisé en 2006, avec l’arrivée à sa tête du Pr. Jean Petermans, nommé à la même époque titulaire de la chaire de gériatrie créée à l’Université de Liège. Un pôle d’excellence aux Bruyères Aujourd’hui, les activités de la gériatrie hospitalière sont regroupées aux Bruyères. Le choix de l’implantation s’est imposé pour trois raisons : la localisation dans une région dont la population est vieillissante, les possibilités d’extension architecturale ainsi que la présence aux Bruyères de toutes les ressources nécessaires en termes d’encadrement médical (plateau technique, soins intensifs, urgences). Ce regroupement garantit une meilleure continuité des soins et permet un élargissement des activités. Il est aussi le garant d’un seuil d’activité critique, indispensable au développement d’un secteur d’excellence en médecine gériatrique. Deux unités de trente lits chacune sont installées au premier étage du nouveau bâtiment. Décorés de couleurs vives, les locaux sont fonctionnels, conviviaux et lumineux. Les soins médicaux sont organisés non seulement afin de traiter les maladies, mais aussi d’en évaluer l’impact fonctionnel. Une salle de kinésithérapie, une salle d’ergothérapie, une salle de gymnastique et un local de logopédie complètent les outils à la disposition de l’équipe multidisciplinaire (gériatres et médecins assistants, agents de soins, ergothérapeutes, logopèdes, diététiciens, psychologues, kinésithérapeutes, assistants sociaux). Les patients sont encouragés à prendre leurs repas dans la salle à manger plutôt que dans leur chambre, ce qui leur procure non seulement un bénéfice en termes de sociabilité, mais aussi en termes de ration calorique : les patients gériatriques absorbent 10 à 20 % de calories en plus lorsqu’ils mangent ensemble. Gériatrie de liaison : partout au CHU de Liège Chaque année, 8 000 personnes de plus de 75 ans sont accueillies dans l’ensemble des services du CHU, tant aux Bruyères qu’au Sart Tilman. Tous ces patients âgés ne sont bien sûr pas systématiquement hospitalisés en gériatrie. Toutefois, un certain nombre d’entre eux présentent un profil de fragilité caractérisé par des polypathologies, un état nutritionnel affaibli, des troubles cognitifs, des chutes et une perte d’autonomie. Ce profil gériatrique nécessite une prise en charge spécialisée destinée, entre autres, à réduire les durées de séjour et à limiter le nombre de réhospitalisations et de placements en maison de repos. C’est le rôle de la « gériatrie de liaison », développée dans le cadre d’un programme pilote du Ministère de la santé publique. Une équipe pluridisciplinaire est constituée depuis septembre 2007. Sous la supervision d’un médecin gériatre, une infirmière, une ergothérapeute, une psychologue, une diététicienne et une logopède ont pour mission d’identifier les patients présentant un profil de fragilité, de discuter avec les médecins et les équipes de soins de la capacité du patient à supporter certains traitements et d’adapter le suivi. Cette collaboration permet de limiter le déclin fonctionnel, de déceler la présence d’éventuelles pathologies sous-jacentes et d’évaluer la possibilité du retour au domicile, en préparant la sortie du patient. Des infirmières-relais, présentes dans chaque salle d’hospitalisation susceptible d’accueillir des personnes âgées, sont spécifiquement formées pour dépister les patients à risque et demander l’intervention de la gériatrie de liaison. L’équipe de liaison intervient également dès l’admission aux urgences d’une personne âgée risquant de présenter des complications gériatriques. Il est d’ailleurs conseillé aux médecins traitants de prévenir directement le service de gériatrie de l’arrivée imminente en urgence d’un patient « à risque », afin de favoriser une prise en charge rapide et de limiter autant que possible les sources de stress, très dommageables pour les patients gériatriques. 5/7 Dossier de presse 23/10/2008 Cette fonction de gériatrie de liaison répond à une récente obligation légale, qui impose à tous les hôpitaux généraux de développer le programme de soins pour le patient gériatrique. Hôpital de jour : à la polyclinique Brull Confusion et troubles de la mémoire, chutes et anomalies de la marche, malnutrition sont les causes les plus fréquentes d’une consultation en hôpital de jour gériatrique. Installé sur le site de la polyclinique Brull, quai Godefroid Kurth, l’hôpital de jour gériatrique du CHU de Liège permet de réaliser en un seul lieu et une seule journée la mise au point des grands syndromes gériatriques. Son objectif est de retarder le déclin fonctionnel des patients âgés, afin de favoriser leur maintien à domicile en partenariat avec les médecins traitants. Il travaille en étroite collaboration avec le centre de la mémoire, installé au même endroit. 4. Les urgences Avec une surface utile multipliée par dix et une architecture répondant aux normes les plus modernes, le nouveau plateau des urgences, au rez-de-chaussée du bâtiment, offre enfin l’espace nécessaire pour accueillir les patients dans des conditions optimales de sécurité, d’intimité et de confort. Dès la fusion avec la clinique Notre-Dame des Bruyères, en 2002, le CHU de Liège s’est engagé à développer prioritairement le service des urgences, vraiment trop à l’étroit dans des locaux préfabriqués qui ne répondaient plus ni aux normes d’agrément des services d’urgences spécialisés (SUS), ni à une fréquentation en expansion constante. Cet engagement s’est encore renforcé avec le plan de redéploiement multisite et le développement sur le site des Bruyères des pôles d’excellence en pédiatrie et en gériatrie, deux disciplines pour lesquelles 85 % des hospitalisations s’opèrent via le service des urgences. Une refonte complète du service était indispensable. Première étape : l’élargissement et la haute qualification du cadre Pour adapter l’offre médicale à la demande des patients, l’effort a d’abord porté sur l’élargissement de l’encadrement médical et infirmier et sur le renforcement de la haute qualification du personnel, avec la volonté affirmée de constituer des équipes permanentes attachées au cadre statutaire hospitalier, plutôt que des gardes ponctuelles assurées par des personnes dont l’urgence n’est pas le premier métier. Cette permanence facilite la mise en place de procédures efficaces de prise en charge des patients. Elle renforce également les liens avec les médecins généralistes de première ligne, d’une part, et les structures hospitalières, d’autre part. En 2005, le service comptait 4 personnes statutaires. Aujourd’hui, il en compte 14. Parallèlement, le niveau de qualification du personnel a été sensiblement accru. Le succès est au rendez-vous et témoigne de la confiance renouvelée des patients et des généralistes : de 2006 à 2008, la fréquentation des urgences a triplé. Le service des urgences du CHU de Liège (Sart Tilman + Bruyères) est dirigé par le Pr. Vincent D’Orio ; le responsable des urgences pour le site des Bruyères est le Dr Edmond Brasseur. Deuxième étape : l’emménagement dans des locaux performants Aujourd’hui, avec l’emménagement dans des locaux spacieux et bien conçus, le nouveau plateau des urgences intègre les toutes dernières normes architecturales, fonctionnelles et techniques propres aux services d’urgences spécialisés, en connexion immédiate avec l’imagerie médicale et la biologie clinique. - Une desserte spécifique peut accueillir simultanément trois ambulances. Un parking est réservé aux patients qui se rendent aux urgences par leurs propres moyens, avec un accès piétonnier spécialement aménagé. - Dès l’entrée dans le bâtiment, les patients sont pris en charge de manière personnalisée. Un personnel qualifié évalue le degré de gravité et assure l’orientation des patients vers les filières de 6/7 Dossier de presse 23/10/2008 soins adaptées : la filière ambulatoire, la filière hospitalisation et la filière soins intensifs (zone de déchoquage), sur le modèle déjà développé aux urgences du Sart Tilman. - Un circuit pédiatrique distinct protège les enfants admis aux urgences de tout contact avec des patients adultes. Chacune des trois filières évoquées ci-dessus est donc doublée d’un équivalent pédiatrique, dans des locaux spécifiques. Cette séparation complète des patients pédiatriques et adultes répond aux nouvelles normes d’agrément imposées par le Ministère de la santé publique. - Une « zone tampon » d’hospitalisation provisoire permet de prolonger la prise en charge pendant vingt-quatre heures, tant pour le circuit adulte que pour le circuit pédiatrique. Confortable et équipée d’un matériel de surveillance dernier cri, cette zone tampon accueille les patients en attente d’un diagnostic définitif ou d’une prise en charge par les unités d’hospitalisation traditionnelles. - Pour les adultes uniquement, une unité d’hospitalisation de courte durée (maximum une semaine) vient en outre d’ouvrir ses portes pour permettre aux patients nécessitant une surveillance rapprochée de bénéficier de la continuité des soins prodigués par l’équipe des urgences, avec des délais d’examens plus courts et une charge administrative réduite. Cette formule est particulièrement adaptée aux patients qui n’entrent pas clairement dans le cadre d’une spécialité hospitalière (exemples : intoxication médicamenteuse, commotion cérébrale). Avec la centralisation sur le site des Bruyères des gardes pédiatrique, gériatrique et obstétrique, cette refonte du service des urgences complète l’impulsion universitaire donnée à une clinique de proximité, en renforçant ses pôles d’excellence dans une optique d’amélioration continue de la qualité des soins prodigués. La nouvelle organisation des urgences offre une réponse pionnière à l’évolution de la demande de soins aigus. Le développement conjoint aux Bruyères de la pédiatrie, de la gériatrie et des urgences montre la grande cohérence du plan de redéploiement multisite mis en œuvre par le CHU de Liège : - Ces trois disciplines présentent un indispensable caractère de proximité, très important pour la couverture en soins de santé de la population de la région. - Elles nécessitent la présence d’un plateau technique complet et performant. - 85 % des hospitalisations en pédiatrie et en gériatrie s’effectuent via un passage par les urgences. Contact : C. Faidherbe (Service Communication) : 0478/280.500 Pr. Vincent D’Orio (chef du service des Urgences) : 04/366 77 22 ([email protected]) Pr. Jean Petermans (chef du service de Gériatrie) : 04/367 93 91 ([email protected]) Pr. Guy Bricteux (chef du service de Pédiatrie) : 04/367 94 10 ([email protected]) Pr. Frédéric Kridelka (chef du service de Gynécologie) : 04/367 92 93 ([email protected]) 7/7