Aucun titre de diapositive

publicité
AUNIS
La CIM-10 en psychiatrie
Décembre 2007
Classification internationale des maladies
10ème révision (CIM-10)
Dr Philippe Cormier
1
La CIM 10
Classification et non Nomenclature
fondée sur la fréquence mondiale de rencontre des phénomènes
morbides et sur leur importance en termes de santé publique
Classification statistique
pour la comparaison des données de mortalité et de morbidité
recueillies dans différents pays et à des époques différentes
Origines remontant au XIXème siècle
Dixième révision publiée en 1991 (1993 en français)
La CIM a longtemps été une classification des causes de décès
Elle a été élargie aux causes de morbidité
Les mises à jour de la CIM-10 sont accessibles sur le site Internet
de l’ATIH : www.atih.sante.fr
2
La CIM 10
L'emploi de la CIM permet le codage (et non la codification)
des maladies et des autres motifs de recours aux soins pour :
· homogénéifier les données
· réduire leur volume
· et surtout faciliter leur exploitation
3
La CIM 10
Dans sa version complète la CIM-10 comporte trois volumes
· un volume 1, essentiellement constitué par la table
analytique
· un volume 2 : manuel d'utilisation
· un volume 3 : l’index alphabétique
On décrira ici le volume 1 et l'index alphabétique
4
La CIM 10
Le volume 1comporte 22 chapitres
Les chapitres I à XIX pour décrire les maladies, les lésions
traumatiques, les syndromes et les symptômes.
Le chapitre XX pour décrire les circonstances dans lesquelles
surviennent les lésions traumatiques et les effets toxiques des
médicaments
Le chapitre XXI destiné au codage des motifs recours aux soins
autres que ceux répertoriés dans les 19 premiers : dépistage,
surveillance, motif administratif, problème social...
Le chapitre XXII (applicable depuis 2006) contient les codes
provisoires d’affections nouvelles d’étiologie incertaine et
permet le codage de la résistance aux antibiotiques
5
La CIM 10
La CIM est la classification statistique internationale des
maladies et des problèmes de santé connexes
Elle est en fait une classification des motifs de recours aux
soins
En accord avec la définition de la santé de l’OMS :
un état complet de bien-être physique, mental et social
6
La CIM 10
Les chapitres sont divisés en catégories
Les catégories ont un code à trois caractères, alphanumérique
Exemple : F63 Troubles des habitudes et des impulsions
En fin du volume
- une classification anatomopathologique des tumeurs
- des définitions et des propositions pour la présentation des
données.
7
La CIM 10
Les catégories sont rassemblées en groupes ou blocs
l'intitulé mentionne le contenu et les codes des catégories
regroupées
Exemple : le groupe Troubles mentaux et du comportement liés
à l’utilisation de substances psycho-actives (F10-F19)
Parfois, les catégories ne sont pas subdivisées
Elles se limitent alors à un code à trois caractères et à un intitulé
Exemple : F21 Trouble schizotypique
8
La CIM 10
Le plus souvent, les catégories sont subdivisées en souscatégories au moyen d'un quatrième caractère.
Ce quatrième chiffre :
Apparaît le plus souvent explicitement sous le titre de la
catégorie
Exemple : catégorie F22
Ou bien est commun à plusieurs catégories et est alors signalé
en préambule à celles qui sont concernées ;
Exemple : les catégories F10 à F19
9
La CIM 10
Dans le cadre du PMSI, dès lors que la CIM offre la possibilité d'un
quatrième caractère, son emploi est obligatoire.
Exemple : un trouble affectif bipolaire doit être codé F31.0 à F31.9
l’emploi de F31 n’est pas autorisé
En revanche un trouble spécifique du développement moteur est
codé avec trois caractères : F82
N.B. :
Pour le PMSI on code avec trois caractères si et seulement si la
catégorie n'est pas subdivisée
On code avec quatre caractères toutes les fois que la catégorie
est subdivisée, c'est-à-dire dans la majorité des cas.
10
La CIM 10
Le 4° caractère .8 est généralement utilisé pour les « autres »
affections de la catégorie
L'emploi de la sous-catégorie « autres… » obéit à deux règles :
« autre » signifie toujours « autre que les sous-catégories
précédentes »
« autre » signifie toujours « autre précisé », c'est-à-dire que l'on doit
disposer d'une information supplémentaire, mais qui ne corresponde
à aucune des subdivisions proposées
Cette information doit respecter l’axe choisi pour subdiviser la
catégorie
11
La CIM 10
Exemple : soit à coder une acné du dos
L’acné est classée dans la catégorie L70
Puisque l’intitulé à coder ne correspond pas aux codes L70.0 à
L70.5 on pourrait être tenté de le coder L70.8 en considérant que
l'information « du dos » est une « autre forme » d’acné
Mais les subdivisions de L70 ne sont pas topographiques
Elles prennent en considération la nature ou l’aspect
macroscopique de l’acné
Notre « précision » ne comportant aucun de ces renseignements, le
libellé à coder est sans précision au regard du mode de
subdivision choisi pour la catégorie
Le code de l’acné du dos n’est donc pas L70.8 mais L70.9
12
La CIM 10
Le 4° caractère .9 est le plus souvent destiné au codage d'une
information correspondant au titre de la catégorie sans précision
Cette sous-catégorie « sans précision », le plus souvent codée .9,
appelle deux commentaires :
Elle a le sens de « titre de la catégorie sans précision »
Son usage est toujours préférable à une interprétation de
l'information qui forcerait l'utilisation d'une subdivision plus précise
alors que l’information nécessaire manque
Attention : les sous-catégories .9 ne sont pas toujours « sans
précision » et les souscatégories « sans précision » ne sont pas
toutes codées .9
Exemples : voir les codes K40.9 et I44.3
13
La CIM 10
La CIM propose parfois l'utilisation d'un caractère « supplémentaire
facultatif »
Il est utilisé pour le PMSI et placé en cinquième position des codes
Exemple : kyste de la corne antérieure du ménisque interne M23.01
(M23.0 pour le kyste du ménisque, 1 pour la corne antérieure du
ménisque interne)
D’autres extensions de codes, à cinq et six caractères ont été créées
par le Pernns puis par l’ATIH
Il s’agit d’extensions purement françaises, qui sont utilisées pour le
PMSI
Exemple : Z91.50 Antécédents personnels récents de lésions autoinfligées
14
La CIM 10
Le recueil d’information médicalisée en psychiatrie (RIM-P) permet
d’enregistrer les codes étendus à 5 et 6 caractères :
Ceux des chapitres de la CIM ou créés par l’ATIH
Ceux issus de la Classification internationale des troubles mentaux et
des troubles du comportement : Critères diagnostiques pour la
recherche (« livre vert ») qui inclut les extensions des Descriptions
cliniques et directives pour le diagnostic (« livrebleu »)
L’ATIH insiste sur le fait que les livres bleu et vert contiennent de
nombreuses erreurs de codes, et les libellés peuvent différer de ceux
du volume 1 de la CIM–10, qui reste l’ouvrage de référence…
En psychiatrie, les codes en 5° et 6° positions de ce chapitre sont
d’usage facultatif
15
La CIM 10
Notes d’inclusion
annoncées par « Comprend : »
Les notes d’inclusion indiquent en général des expressions
fréquemment utilisées pour désigner l’affection sujet de la rubrique
Leur rôle est d'apporter une aide au codage
Elles doivent être comprises comme des exemples
Ainsi, celles figurant sous le code F20.1 doivent être comprises
comme F20.1 Schizophrénie hébéphrénique comprend en
particulier, c'est-à-dire entre autres, les entités dites « Hébéphrénie »
et « Schizophrénie désorganisée »
16
La CIM 10
Notes d’exclusion
Elles signalent des entités qui, bien que l’intitulé de la rubrique
semble à première vue inviter à les classer en son sein, doivent
l’être ailleurs
Des notes d’exclusion sont mentionnées dans tous les types de
rubriques de la CIM
Elles sont à chaque fois précédées de la mention « A l'exclusion de »
Pour chaque entité exclue est mentionné entre parenthèses le code
de la rubrique dans laquelle elle doit être classée
17
La CIM 10
Conventions d'écriture
SAI signifie « sans autre indication » c'est-à-dire « sans précision »
Exemples :
F29 code aussi bien les psychoses précisées non organiques que
les psychoses sans autre précision (Psychose SAI)
F68.8 code les notions de « trouble caractériel » et de « trouble
relationnel » sans précision (SAI)
18
La CIM 10
Conventions d'écriture
Entre parenthèses sont mentionnés des mots facultatifs, dont la
présence ou l'absence dans un libellé ne modifie pas son codage
Exemples :
dans la note d’inclusion de la sous-catégorie F23.2, l'absence ou la
présence du terme « indifférenciée » ne change rien au codage
d'une schizophrénie aiguë : dans les deux
cas on emploie le code F23.2
dans la note d’inclusion de la sous-catégorie F60.0, l'absence ou la
présence de l'un ou des deux termes « expansive », « sensitive »,
ne change rien au codage de la personnalité paranoïaque dont le
code reste F60.0
19
La CIM 10
Conventions d'écriture
Entre crochets sont mentionnés des mots ou expressions
synonymes de ceux qui les précèdent
Exemples
dans l'intitulé du code F06.2, « trouble d'allure schizophrénique »
est synonyme de « trouble délirant organique »
dans celui des codes F06.3 et F34.8, F34.9 et F38.
« troubles affectifs » est synonyme de « troubles de l'humeur »
dans l'intitulé de la catégorie F44, « troubles de conversion » est
synonyme de « troubles dissociatifs »
20
La CIM 10
Conventions d'écriture
Le système de la dague (†) et de l'astérisque (*) permet d'attribuer
deux codes à des libellés diagnostiques contenant des informations
à la fois de nature étiologique et en termes de manifestation morbide.
Le symbole † correspond à un codage selon un axe étiologique et
le symbole * à un axe de manifestation
Exemples
démence d'Alzheimer (F00.0*) / maladie d'Alzheimer (G30.0†)
démence (F02.4*) / liée à une encéphalopathie due au VIH (B22.0†)
21
La CIM 10
Conventions d'écriture
Pour le PMSI en MCO l'emploi des deux codes est obligatoire et obéit
aux règles suivantes :
· lorsque c’est le diagnostic principal (DP) qui correspond à un
double codage, le code astérisque est enregistré comme DP et le
code dague comme diagnostic associé
· lorsque c’est un diagnostic associé (DA) qui correspond à un
double codage, les deux codes astérisque et dague sont enregistrés
comme DA
Le RIM-P comportant un champ pour un diagnostic principal et un
autre pour les « diagnostics et facteurs associés », cette règle peut
aussi être appliquée en psychiatrie.
Seuls les codes sont saisis, les signes « * » et « † » ne doivent pas
l’être
22
La CIM 10
Conventions d'écriture
Le mot « et » a le sens de « et/ou »
Exemple : F07.8 Autres troubles organiques de la personnalité et
du comportement dus à une affection, une lésion et un
dysfonctionnement cérébraux
Les termes situés à gauche d’une accolade ne peuvent pas être
lus indépendamment de ceux situés à sa droite
Exemple : l’inclusion Cancer généralisé de la catégorie C80 ne
peut s’appliquer qu’à une tumeur maligne dont le siège est ignoré
Le signe « : » est employé lorsque des mots doivent être précisés
par d’autres, pour pouvoir être classés dans la rubrique concernée
Exemple : on ne peut coder un purpura D69.0 qu’à condition qu’il
soit précisé
23
La CIM 10
Le volume 3 : l’index alphabétique
Il est divisé en trois sections :
La plus importante est l'index des chapitres I à XIX et XXI, elle
contient une table des tumeurs
L'index des causes de morbidité et de mortalité classables au
moyen du chapitre XX
Le tableau des médicaments et substances chimiques
Les médicaments y sont classés par ordre alphabétique de leur
principe actif (DCI)
Pour chacun, on trouve le code correspondant à la notion
« d’empoisonnement » et les codes avec lesquels on peut
distinguer les circonstances accidentelles et volontaires ou les
effets indésirables des médicaments
24
La CIM 10
L'index se présente en colonnes
Le libellé principal vient en premier avec des qualificatifs à différents
niveaux de retrait en dessous de lui.
Exemple :
On lit Schizophrénie F20.9
et quelques lignes plus bas :
– forme
– – de l’enfance F84.5
– – indifférenciée F20.3
– – – aigüe F20.3
La dernière ligne se lit : « Schizophrénie, forme, indifférenciée, aigüe
F20.3
25
La CIM 10
Les parenthèses et le sigle NCA ont le même sens que dans le
volume 1
Des renvois sont indiqués, ils constituent une aide au codage
Le codage d'une entité morbide doit faire appel aux deux volumes
1 et 3 :
Le code doit être d'abord recherché dans l'index alphabétique puis
la justesse de ce qu'on a trouvé doit être vérifiée dans la table
analytique
26
Coder un alcoolisme chronique : F10.2
27
Coder une conduite addictive avec l’alcool
Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool
F10.0
intoxication aiguë
F10.1
utilisation nocive pour la santé
F10.2
syndrome de dépendance
F10.3
syndrome de sevrage
F10.4
syndrome de sevrage avec delirium
F10.5
trouble psychotique
F10.6
syndrome amnésique
F10.7
trouble résiduel ou psychotique de survenue tardive
F10.8
Autres troubles mentaux et du comportement
F10.9
Troubles mentaux et du comportement, sans précision
28
Coder une conduite addictive avec l’alcool, extensions CIM 2007
F10.00 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, sans complication
F10.01 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, avec traumatismes ou autres blessures physiques
F10.02 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, avec d'autres complications médicales
F10.03 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, avec délirium
F10.04 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, avec distorsion des perceptions
F10.05 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, avec coma
F10.06 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe par l'alcool, avec convulsions
F10.07 Troubles mentaux et du comportement dus à une intoxication
aigüe pathologique par l'alcool
29
Coder une conduite addictive avec l’alcool, extensions CIM 2007
F102.0 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne actuellement
abstinente
F102.00 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne actuellement
abstinente en rémission récente
F102.01 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne actuellement
abstinente en rémission partielle
F102.02 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne actuellement
abstinente en rémission complète
F102.1 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne actuellement
abstinente mais dans un environnement protégé
F102.2 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne suivant
actuellement un régime de maintenance ou de substitution sous
surveillance médicale
F102.3 Syndrome de dépendance à l'alcool, personne actuellement
abstinente, mais prenant des médicaments aversifs ou bloquants
30
Coder une affection liée à l’alcool
G31.2
Dégénérescence du système nerveux liée à l'alcool
G62.1
Polynévrite alcoolique
G72.1
Myopathie alcoolique
I42.6
Myocardiopathie alcoolique
K29.2
Gastrite alcoolique
K70.1
Hépatite alcoolique
K70.3
Cirrhose alcoolique (du foie)
K70.4
Insuffisance hépatique alcoolique
K85.2
Pancréatite aiguë alcoolique
K86.0
Pancréatite chronique alcoolique
O35.4 Soins maternels pour lésions foetales (présumées) dues à
l'alcoolisme maternel
P04.3
Foetus et nouveau-né affectés par l'alcoolisme de la mère
Q86.0
Syndrome d'alcoolisme foetal (dysmorphique)
31
Coder une affection liée à l’alcool
R78.0
Présence d'alcool dans le sang
T51.0
Effet toxique de l'éthanol
X45.0 Intoxication accidentelle par l'alcool et exposition à l'alcool,
domicile
X650
Auto-intoxication par l'alcool et exposition à l'alcool, domicile
Y90.0
Alcoolémie inférieure à 20 mg/100 ml
Y91.0
Intoxication alcoolique légère
Z50.2
Sevrage d'alcool
Z71.4
Conseil et surveillance pour alcoolisme
Z72.1
Difficultés liées à la consommation d'alcool (sans abus)
Z81.1
Antécédents familiaux d'abus d'alcool
32
Coder une affection liée à l’alcool
R18
Ascite
K76.6
Hypertension portale
I98.20 Varices oesophagiennes au cours de maladies classées ailleurs,
hémorragiques
Liste non exhaustive !
33
Coder en pédiatrie
Chapitre V Troubles mentaux et du comportement (F00-F99)
Troubles mentaux et du comportement (F00-F99)
F81.0
Trouble spécifique de la lecture
Troubles du comportement et troubles émotionnels apparaissant
habituellement durant l'enfance et l'adolescence (F90-F98)
F98.5
Bégaiement
34
Coder en pédiatrie
Chapitre WVIII Symptômes, signes et résultats anormaux d'examens
cliniques et de laboratoire, non classés ailleurs (R00-R99)
Symptômes et signes relatifs à la connaissance, la perception,
l'humeur et le comportement (R40-R46)
R45.7 État de choc émotionnel et tension, sans précision
R46.0 Hygiène personnelle très défectueuse
Symptômes et signes relatifs au langage et à la voix (R47-R49)
R48.0 Dyslexie et alexie
35
Coder en pédiatrie
Chapitre XXI Facteurs influant sur l'état de santé et motifs de recours
aux services de santé (Z00-Z99)
Sujets dont la santé peut être menacée par des conditions socioéconomiques et psycho-sociales (Z50-Z65)
Z61.6 Difficultés liées à de possibles sévices physiques infligés à un
enfant
Z62.1
Difficultés liées à une surprotection parentale
Sujets ayant recours aux services de santé pour d'autres motifs (Z70Z76)
Z74.2 Besoin d'assistance à domicile, aucun autre membre du foyer
n'étant capable d'assurer les soins
Z75.1 Sujet attendant d'être admis ailleurs, dans un établissement
adéquat
36
Coder en pédiatrie
Les codes des autres chapitres de la CIM
XIX
Lésions traumatiques, empoisonnements et certaines
autres conséquences de causes externes (S00-T98)
T74.0
Délaissement et abandon
T74.2
Sévices sexuels
XX
Causes externes de morbidité et de mortalité (V01-Y98)
W54.0 Morsure ou coup donné par un chien, domicile
Y95
Facteurs nosocomiaux
37
Coder en pédiatrie
Les codes des autres chapitres de la CIM
XVI
Certaines affections dont l'origine se situe dans la
période périnatale (P00-P96)
P04.4 Foetus et nouveau-né affectés par toxicomanie de la
mère
XVII
Malformations congénitales et anomalies
chromosomiques (Q00-Q99)
Q90.9 Syndrome de Down, sans précision
38
Coder en pédiatrie
Les codes des autres chapitres de la CIM
VI
Maladies du système nerveux (G00-G99)
G40.3 Épilepsie et syndromes épileptiques généralisés
idiopathiques
IV
Maladies endocriniennes, nutritionnelles et
métaboliques (E00-E90)
E66.00 Obésité due à un excès calorique, avec indice de masse
corporelle inférieur à 40kg/m²
39
Soyons précis
« Je suis au regret de vous annoncer le décès de votre patient »
Nous aussi, il est mort de quoi ?
« Ce patient présente des séquelles d’hémiplégie »
Pour « ce patient présente une hémiplégie séquellaire d’un AVC »
« Ce patient présente une petite insuffisance rénale »
C’est quoi petite ? Je ne connais que les insuffisances rénales
aiguës et les chroniques
40
Passons aux exercices
41
Téléchargement